Les dérivées 16-17/144
le temps des
rayons dorés
est fini/que
tombe l'onde
glacée/pluie
drue sauvage
et continue/
que la marée
soit belle à
engloutir de
l'oeil/repas
de Nosferatu
17
robot jovial
contrôle élu
disque dur &
lubrifié/les
bits sondent
les mémoires
enfilent les
informations
la bande son
accélère son
rythme/écran
qui implose/
Libellés : dérivées, Feuilleton, Lucien Suel, poésie à contraintes, Vers arithmogrammatiques