(ahahah je ne veux pas croire que ce 777 P/E* soit inspiré par les frasques et les turpitudes endurées par le malheureux et si innocent présent ministre de l'écologie alors si chef de perchoir et si aimanté par la joie de favoriser celles et ceux qu'il invitait - avec sa femme, Séverine, ça ne s'invente pas - à des agapes financées par l'impôt des pauvres) (je ne veux pas le croire mais le type reste à sa place, avec son logement social à Nantes et les travaux de réfection de son appartement de fonction de l'hôtel de Lassay - ce n'est rien, c'est juste un ami de l'hypocrite au costume cintré qui l'emploie, premier magistrat de ce beau pays et chef des armées...) (laisse, ça va être la pause estivale : les gens vont penser à autre chose, ça va se reposer, tongs et barbecue, pour entreprendre d'un bon pas, sûr et confiant, une nouvelle année - moi aussi, t'inquiète) (non, en fait je m'égare - ici c'est du cinéma dont on s'entretient - la hauteur des plafonds fait penser à Orson Welles - le P/E* 736 parle déjà de ce Kane - la neige aussi, Xanadu, la boule Rosebud - comme il est né en 15, ça lui faisait vingt cinq ans, à Welles quand il réalise ce chef d'oeuvre - musique Bernard Hermann quand même aussi) non, je garde tant pis, ça fera deux fois pour le même film - c'est quand même une merveille - quand je pense à l'état des journaux aujourd'hui, ce film qui a près de quatre vingts ans (1941) n'a rien de passéiste : les milliardaires dictent toujours aux pisse-copie les mots qu'il faut pour garder et affermir leurs intérêts - mon comptable avait coutume de dire "il faut que tout le monde vive" mais il m'a trahi à un moment crucial de ma vie professionnelle - il ne faut jamais écouter les comptables) (777 pour un épilogue c'est magique et magnifique - je me souviens aussi de double zéro sept licence to kill et Sean Connery - le seul dans le rôle) et donc Citizen Kane (Orson Welles, 1941) (à plus camarade poète, on y sera)
Comme cela arrive souvent, le poème express a ce côté "prophétique". Il a effectivement été composé avant que ne soient révélées ces nouvelles turpitudes des princes en carton bouilli qui nous gouvernent avec arrogance et mépris. Nous connaissons leur inhumanité et leur avidité. De même, méfions-nous des comptables. Merci cher Piero, pour toutes ces ambiances cinématographiques que tu crées dans ton style inimitable (entre parenthèses) autour des poèmes express. A bientôt (après la pause) pour de nouvelles aventures. Je profite aussi de ce commentaire pour remercier le sieur ste dont la concision des poèmes express dans le poème express me ravit aussi chaque semaine. Bonne vacance (au singulier) a tutti.
4 Comments:
petit ciel plutôt doux
(ahahah je ne veux pas croire que ce 777 P/E* soit inspiré par les frasques et les turpitudes endurées par le malheureux et si innocent présent ministre de l'écologie alors si chef de perchoir et si aimanté par la joie de favoriser celles et ceux qu'il invitait - avec sa femme, Séverine, ça ne s'invente pas - à des agapes financées par l'impôt des pauvres) (je ne veux pas le croire mais le type reste à sa place, avec son logement social à Nantes et les travaux de réfection de son appartement de fonction de l'hôtel de Lassay - ce n'est rien, c'est juste un ami de l'hypocrite au costume cintré qui l'emploie, premier magistrat de ce beau pays et chef des armées...) (laisse, ça va être la pause estivale : les gens vont penser à autre chose, ça va se reposer, tongs et barbecue, pour entreprendre d'un bon pas, sûr et confiant, une nouvelle année - moi aussi, t'inquiète) (non, en fait je m'égare - ici c'est du cinéma dont on s'entretient - la hauteur des plafonds fait penser à Orson Welles - le P/E* 736 parle déjà de ce Kane - la neige aussi, Xanadu, la boule Rosebud - comme il est né en 15, ça lui faisait vingt cinq ans, à Welles quand il réalise ce chef d'oeuvre - musique Bernard Hermann quand même aussi) non, je garde tant pis, ça fera deux fois pour le même film - c'est quand même une merveille - quand je pense à l'état des journaux aujourd'hui, ce film qui a près de quatre vingts ans (1941) n'a rien de passéiste : les milliardaires dictent toujours aux pisse-copie les mots qu'il faut pour garder et affermir leurs intérêts - mon comptable avait coutume de dire "il faut que tout le monde vive" mais il m'a trahi à un moment crucial de ma vie professionnelle - il ne faut jamais écouter les comptables) (777 pour un épilogue c'est magique et magnifique - je me souviens aussi de double zéro sept licence to kill et Sean Connery - le seul dans le rôle) et donc Citizen Kane (Orson Welles, 1941) (à plus camarade poète, on y sera)
Comme cela arrive souvent, le poème express a ce côté "prophétique". Il a effectivement été composé avant que ne soient révélées ces nouvelles turpitudes des princes en carton bouilli qui nous gouvernent avec arrogance et mépris. Nous connaissons leur inhumanité et leur avidité. De même, méfions-nous des comptables.
Merci cher Piero, pour toutes ces ambiances cinématographiques que tu crées dans ton style inimitable (entre parenthèses) autour des poèmes express.
A bientôt (après la pause) pour de nouvelles aventures.
Je profite aussi de ce commentaire pour remercier le sieur ste dont la concision des poèmes express dans le poème express me ravit aussi chaque semaine.
Bonne vacance (au singulier) a tutti.
bonnes vacances (je repense à Peter Fonda, On the road to heaven) aussi à vous ! :-)
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