(en réalité,le P/E* du jour est monté différemment du film - Mike s'arrête au bord de la route, prend à son bord (il conduit une Jaguar, pauvre chou) Christina qui fuit (elle va mal finir, désolé) puis commence son enquête (il passe par une salle de boxe, chère à l'hôte de ces commentaires) boit du whisky - sourire de sa secrétaire Velda - sourire de la poule du tueur pour qui il n'est pas sans charme (c'est Mike Hammer il faut dire, interprété par Ralph Meeker) film noirissime c'en est sans doute le parangon - moi c'est un de mes films préférés - un noir et blanc scintillant qui se termine en apothéose - j'adore le garagiste qui "Voum vavavoum... tri di pan !!!" (Nick, Nick Dennis - j'en parlais un jour dans le garage de la maison[s]témoin) des faux semblants, des mensonges, des erreurs, Nat king Cole dans le générique de début (image Ernest Laszlo comme souvent) (une rubrique à réaliser, celle des couples réalisateur/opérateur directeur photo) (non,mais c'est qu'on aime l'image) - cynisme et cruauté (pauvre Nick qui meurt écrasé dans l'exercice de son travail...) allégorie et mythologie (le Mac Guffin, comme on dit, qui ressort du nucléaire sans doute, on ne sait pas trop) (adapté d'un livre de Mickey Spillane genre facho mais tant pis - un peu de Clint Eastwood, un peu de Don Siegel - à droite toute - mais l'adaptation ici ne tombe pas dans ce travers) un sommet : Kiss me deadly (En quatrième vitesse en français) Robert Aldrich, 1955
Oui j'aime beaucoup ce film vu il y a bien longtemps mais je me souviens toujours de la jeune femme qui court sur la route au début et de la lueur blanche maléfique qui s'échappe de la boîte plombée à la fin. J'ai aussi repris l'expression "va va voum" (allitération comme dans ce poème express) dans un autre poème sur "l'automobile"
DOUAI, le 17 janvier, rencontre avec une classe de 1ère du Lycée Châtelet autour de mon dernier roman "Rivière"
BRUXELLES, les 31 mars et 1er avril, présence à la Foire du Livre, lecture publique en compagnie de Jacques Darras le vendredi soir dans le cadre d'un entretien avec Alexandra Oury et pendant les deux jours, le vendredi et le samedi matin, signature de mon roman "Rivière" sur le stand des éditions Cours toujours. Organisation par l'AR2L.
MONTREUIL SUR MER, 6 avril, à 19 h, dans la salle de musique de l'Hôtel Loysel Le Gaucher, avec la Fabrique poétique, lecture-performance sur le thème des jardins
METZ, les 15 et 16 avril, invité par le festival POEMA dans le cadre du "Livre à Metz". Signature de "Rivière" et participation à une table ronde le dimanche à 15 h sur "Le Vertige de l’amour" en compagnie de Fanny Chiarello pour son roman "L'Evaporée" écrit en duo avec Wendy Delorme (animation par Elodie Karaki). Signature sur le stand de la librairie "Autour du Monde".
AMIENS, le Réseau des maisons d'écrivain et des patrimoines littéraires des Hauts-de-France qui organise depuis 2016 le Festival Résonances, rencontres du patrimoine littéraire et de la création, m'invite à participer à la conclusion de sa journée d'étude qui se tiendra le 4 mai 2023 à l'Université de Picardie Jules Verne, Pôle Citadelle. Je participerai à la table ronde "Visages d'écrivains" avec des lectures d'extraits de mes ouvrages tout en répondant aux questions d'Alexandra Oury.
CHÂTEAU-THIERRY, le 13 mai, présence aux Rencontres poétiques, signatures et dédicaces, présentation à la médiathèque : "Poésie sonore au Nord" lecture-performance (20 mn)
HAZEBROUCK, le 17 mai, à 18 h 30, Musée des Augustins, salle Jonas, lecture publique de "La Justification de l'abbé Lemire", dans le cadre du festival Résonances 2023
PARIS, le 22 juin, dans le cadre des Périphéries du marché de la poésie et à l'occasion de la re-parution de la revue DOC(k)S, soirée de performance à la Bibliothèque Marguerite Audoux, avec Ségolène Thuillart, Natacha Guiller, Ma Desheng et Lucien Suel
SETE, du 21 au 29 juillet, invité au Festival Voix Vives...
LIMOGES, le 23 septembre, parution du "Livre des poèmes express" aux éditions du Dernier Télégramme
ALENÇON, du 14 au 16 octobre, invité au festival Poésie & Davantage
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(en réalité,le P/E* du jour est monté différemment du film - Mike s'arrête au bord de la route, prend à son bord (il conduit une Jaguar, pauvre chou) Christina qui fuit (elle va mal finir, désolé) puis commence son enquête (il passe par une salle de boxe, chère à l'hôte de ces commentaires) boit du whisky - sourire de sa secrétaire Velda - sourire de la poule du tueur pour qui il n'est pas sans charme (c'est Mike Hammer il faut dire, interprété par Ralph Meeker) film noirissime c'en est sans doute le parangon - moi c'est un de mes films préférés - un noir et blanc scintillant qui se termine en apothéose - j'adore le garagiste qui "Voum vavavoum... tri di pan !!!" (Nick, Nick Dennis - j'en parlais un jour dans le garage de la maison[s]témoin) des faux semblants, des mensonges, des erreurs, Nat king Cole dans le générique de début (image Ernest Laszlo comme souvent) (une rubrique à réaliser, celle des couples réalisateur/opérateur directeur photo) (non,mais c'est qu'on aime l'image) - cynisme et cruauté (pauvre Nick qui meurt écrasé dans l'exercice de son travail...) allégorie et mythologie (le Mac Guffin, comme on dit, qui ressort du nucléaire sans doute, on ne sait pas trop) (adapté d'un livre de Mickey Spillane genre facho mais tant pis - un peu de Clint Eastwood, un peu de Don Siegel - à droite toute - mais l'adaptation ici ne tombe pas dans ce travers) un sommet : Kiss me deadly (En quatrième vitesse en français) Robert Aldrich, 1955
Oui j'aime beaucoup ce film vu il y a bien longtemps mais je me souviens toujours de la jeune femme qui court sur la route au début et de la lueur blanche maléfique qui s'échappe de la boîte plombée à la fin. J'ai aussi repris l'expression "va va voum" (allitération comme dans ce poème express) dans un autre poème sur "l'automobile"
c'est foutu d'un coup
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