(en réalité,le P/E* du jour est monté différemment du film - Mike s'arrête au bord de la route, prend à son bord (il conduit une Jaguar, pauvre chou) Christina qui fuit (elle va mal finir, désolé) puis commence son enquête (il passe par une salle de boxe, chère à l'hôte de ces commentaires) boit du whisky - sourire de sa secrétaire Velda - sourire de la poule du tueur pour qui il n'est pas sans charme (c'est Mike Hammer il faut dire, interprété par Ralph Meeker) film noirissime c'en est sans doute le parangon - moi c'est un de mes films préférés - un noir et blanc scintillant qui se termine en apothéose - j'adore le garagiste qui "Voum vavavoum... tri di pan !!!" (Nick, Nick Dennis - j'en parlais un jour dans le garage de la maison[s]témoin) des faux semblants, des mensonges, des erreurs, Nat king Cole dans le générique de début (image Ernest Laszlo comme souvent) (une rubrique à réaliser, celle des couples réalisateur/opérateur directeur photo) (non,mais c'est qu'on aime l'image) - cynisme et cruauté (pauvre Nick qui meurt écrasé dans l'exercice de son travail...) allégorie et mythologie (le Mac Guffin, comme on dit, qui ressort du nucléaire sans doute, on ne sait pas trop) (adapté d'un livre de Mickey Spillane genre facho mais tant pis - un peu de Clint Eastwood, un peu de Don Siegel - à droite toute - mais l'adaptation ici ne tombe pas dans ce travers) un sommet : Kiss me deadly (En quatrième vitesse en français) Robert Aldrich, 1955
Oui j'aime beaucoup ce film vu il y a bien longtemps mais je me souviens toujours de la jeune femme qui court sur la route au début et de la lueur blanche maléfique qui s'échappe de la boîte plombée à la fin. J'ai aussi repris l'expression "va va voum" (allitération comme dans ce poème express) dans un autre poème sur "l'automobile"
Clermont-Ferrand, semaine de la poésie, en mars 2024
Dunkerque, performance au LAAC, le 5 mai 2024
Hazebrouck, pour les 30 ans du Marais du livre, le 5 septembre 2024
VILLENEUVE D'ASCQ, le samedi 15 février 2025, à 16h, lecture publique en solo, dans le cadre de l'exposition "éd. etc." organisée par l'association "La belle époque" à L'Isolée, Galerie de La Belle Epoque, 17 chemin des Vieux Arbres, Villeneuve d’Ascq (Métro Hôtel de ville). Je lirai en priorité "Chapelet des Plages", un portefolio de poèmes sérigraphiés consacrés aux plages belges, de La Panne à Knokke-Le-Zoute. Entrée libre.
METZ, dans le cadre de Poema, à la librairie "Autour du monde" le 25 avril 2025 à 18h30, soirée Dernier Télégramme avec L. Suel et J. Boutonnier
BULLY LES MINES, le 15 novembre 2025, je serai présent au Salon du Livre organisé par la Médiathèque
TOULOUSE, le 13 janvier 2026, à La Cave Poésie René-Gouzenne, exposition, lecture-performance... plus d'informations bientôt
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3 Comments:
(en réalité,le P/E* du jour est monté différemment du film - Mike s'arrête au bord de la route, prend à son bord (il conduit une Jaguar, pauvre chou) Christina qui fuit (elle va mal finir, désolé) puis commence son enquête (il passe par une salle de boxe, chère à l'hôte de ces commentaires) boit du whisky - sourire de sa secrétaire Velda - sourire de la poule du tueur pour qui il n'est pas sans charme (c'est Mike Hammer il faut dire, interprété par Ralph Meeker) film noirissime c'en est sans doute le parangon - moi c'est un de mes films préférés - un noir et blanc scintillant qui se termine en apothéose - j'adore le garagiste qui "Voum vavavoum... tri di pan !!!" (Nick, Nick Dennis - j'en parlais un jour dans le garage de la maison[s]témoin) des faux semblants, des mensonges, des erreurs, Nat king Cole dans le générique de début (image Ernest Laszlo comme souvent) (une rubrique à réaliser, celle des couples réalisateur/opérateur directeur photo) (non,mais c'est qu'on aime l'image) - cynisme et cruauté (pauvre Nick qui meurt écrasé dans l'exercice de son travail...) allégorie et mythologie (le Mac Guffin, comme on dit, qui ressort du nucléaire sans doute, on ne sait pas trop) (adapté d'un livre de Mickey Spillane genre facho mais tant pis - un peu de Clint Eastwood, un peu de Don Siegel - à droite toute - mais l'adaptation ici ne tombe pas dans ce travers) un sommet : Kiss me deadly (En quatrième vitesse en français) Robert Aldrich, 1955
Oui j'aime beaucoup ce film vu il y a bien longtemps mais je me souviens toujours de la jeune femme qui court sur la route au début et de la lueur blanche maléfique qui s'échappe de la boîte plombée à la fin. J'ai aussi repris l'expression "va va voum" (allitération comme dans ce poème express) dans un autre poème sur "l'automobile"
c'est foutu d'un coup
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