(ce n'est pas tellement qu'elle soit (une) reine (du) solitaire mais elle l'est quand même, seule - il y a sa gouvernante (eh oui, une gouvernante... : Dominique Davray, son habilleuse, son alliée sa complice mais son employée...) il y aura son amant (vieux beau, José interprété par José Luis de Villalonga), il y aura son musicien (elle est chanteuse) et son parolier, il y aura son amie (Dorothée qui conduit une décapotable - Dorothée Blanck) et puis sa rencontre avec le soldat (Antoine - Bourseiller-, amant de la réalisatrice à l'époque - je crois bien père de Rosalie) c'est toute une époque - il y aura aussi le médecin dans un coupé qui file hors champ avec la caméra dans la cour de la Salpétrière (ce plan, quelle merveille) , il y aura une femme qui conduit un taxi (Lucienne Marchand, amie d'Ixelles de la réalisatrice - elle conduit une DS d'alors), des apparitions des amis (Jean-Luc Godard et sa promise d'alors, Anna Karina, plus Daniele Delorme et son mari, Yves Robert, plus Eddie Constantine plus Samy Frey, plus le producteur du film, Georges de Beauregard j'en oublie, Jean-Claude Brialy aussi, oui : toute la bande) - elle est même très entourée (le musicien, comme la réalisatrice, vient de s'en aller vers un monde qu'on leur souhaite (s'il pouvait exister) meilleur que celui-ci) (lui c'est Michel Legrand)- mais lorsque ça commence, premièrement c'est en couleur, et deuxièmement la voyante (Loye Payen, inquiétante...) retourne la carte de la mort (Ah, Cléo, ce n'est pas un oracle, allons) - elle nous chantera "Sans toi" magnifique, mais sans doute trop triste, non, elle ne pourra chanter ça (Cléo c'est Corinne Marchand) promenade au parc Montsouris, ça se passe entre cinq et sept à Paris, c'est une des merveilles du monde et de tout l'univers - il fallait bien qu'on en parle - mais on aurait aussi bien pu aller au lycée ensemble (non, je n'avais pas dix ans) - quand je passe par Denfert Rochereau, je pense à elle (bonne route, allez) (Cléo de 5 à 7, Agnès Varda, 1962)
DOUAI, le 17 janvier, rencontre avec une classe de 1ère du Lycée Châtelet autour de mon dernier roman "Rivière"
BRUXELLES, les 31 mars et 1er avril, présence à la Foire du Livre, lecture publique en compagnie de Jacques Darras le vendredi soir dans le cadre d'un entretien avec Alexandra Oury et pendant les deux jours, le vendredi et le samedi matin, signature de mon roman "Rivière" sur le stand des éditions Cours toujours. Organisation par l'AR2L.
MONTREUIL SUR MER, 6 avril, à 19 h, dans la salle de musique de l'Hôtel Loysel Le Gaucher, avec la Fabrique poétique, lecture-performance sur le thème des jardins
METZ, les 15 et 16 avril, invité par le festival POEMA dans le cadre du "Livre à Metz". Signature de "Rivière" et participation à une table ronde le dimanche à 15 h sur "Le Vertige de l’amour" en compagnie de Fanny Chiarello pour son roman "L'Evaporée" écrit en duo avec Wendy Delorme (animation par Elodie Karaki). Signature sur le stand de la librairie "Autour du Monde".
AMIENS, le Réseau des maisons d'écrivain et des patrimoines littéraires des Hauts-de-France qui organise depuis 2016 le Festival Résonances, rencontres du patrimoine littéraire et de la création, m'invite à participer à la conclusion de sa journée d'étude qui se tiendra le 4 mai 2023 à l'Université de Picardie Jules Verne, Pôle Citadelle. Je participerai à la table ronde "Visages d'écrivains" avec des lectures d'extraits de mes ouvrages tout en répondant aux questions d'Alexandra Oury.
CHÂTEAU-THIERRY, le 13 mai, présence aux Rencontres poétiques, signatures et dédicaces, présentation à la médiathèque : "Poésie sonore au Nord" lecture-performance (20 mn)
HAZEBROUCK, le 17 mai, à 18 h 30, Musée des Augustins, salle Jonas, lecture publique de "La Justification de l'abbé Lemire", dans le cadre du festival Résonances 2023
PARIS, le 22 juin, dans le cadre des Périphéries du marché de la poésie et à l'occasion de la re-parution de la revue DOC(k)S, soirée de performance à la Bibliothèque Marguerite Audoux, avec Ségolène Thuillart, Natacha Guiller, Ma Desheng et Lucien Suel
SETE, du 21 au 29 juillet, invité au Festival Voix Vives...
LIMOGES, le 23 septembre, parution du "Livre des poèmes express" aux éditions du Dernier Télégramme
ALENÇON, du 14 au 16 octobre, invité au festival Poésie & Davantage
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(ce n'est pas tellement qu'elle soit (une) reine (du) solitaire mais elle l'est quand même, seule - il y a sa gouvernante (eh oui, une gouvernante... : Dominique Davray, son habilleuse, son alliée sa complice mais son employée...) il y aura son amant (vieux beau, José interprété par José Luis de Villalonga), il y aura son musicien (elle est chanteuse) et son parolier, il y aura son amie (Dorothée qui conduit une décapotable - Dorothée Blanck) et puis sa rencontre avec le soldat (Antoine - Bourseiller-, amant de la réalisatrice à l'époque - je crois bien père de Rosalie) c'est toute une époque - il y aura aussi le médecin dans un coupé qui file hors champ avec la caméra dans la cour de la Salpétrière (ce plan, quelle merveille) , il y aura une femme qui conduit un taxi (Lucienne Marchand, amie d'Ixelles de la réalisatrice - elle conduit une DS d'alors), des apparitions des amis (Jean-Luc Godard et sa promise d'alors, Anna Karina, plus Daniele Delorme et son mari, Yves Robert, plus Eddie Constantine plus Samy Frey, plus le producteur du film, Georges de Beauregard j'en oublie, Jean-Claude Brialy aussi, oui : toute la bande) - elle est même très entourée (le musicien, comme la réalisatrice, vient de s'en aller vers un monde qu'on leur souhaite (s'il pouvait exister) meilleur que celui-ci) (lui c'est Michel Legrand)- mais lorsque ça commence, premièrement c'est en couleur, et deuxièmement la voyante (Loye Payen, inquiétante...) retourne la carte de la mort (Ah, Cléo, ce n'est pas un oracle, allons) - elle nous chantera "Sans toi" magnifique, mais sans doute trop triste, non, elle ne pourra chanter ça (Cléo c'est Corinne Marchand) promenade au parc Montsouris, ça se passe entre cinq et sept à Paris, c'est une des merveilles du monde et de tout l'univers - il fallait bien qu'on en parle - mais on aurait aussi bien pu aller au lycée ensemble (non, je n'avais pas dix ans) - quand je passe par Denfert Rochereau, je pense à elle (bonne route, allez) (Cléo de 5 à 7, Agnès Varda, 1962)
la reine genre sans ailleurs
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