vendredi 19 avril 2019

Poème express n° 765

posted by Lucien Suel at 07:20

3 Comments:

Anonymous Anonyme said...

Cher Lucien, parlant de joutes verbales, je crois que tu as été une inspiration pour un voisin états-unien. Un certain Mueller. Il a expressément ajouté du caviar sur son poème d'une qualité politique flou et polysémique. Ça te plaira certainement [...] http://img.lemde.fr/2019/04/18/423/0/5078/2539/1440/720/60/0/694ceec_5668173-01-06.jpg

Zéo ¦-)

08:27  
Anonymous Anonyme said...

(classique d'entre les classiques, la plus folle comédies du monde - adaptation d'une pièce de théâtre à succès peut-être mais film de cinéma "génial" comme dit le P/E* du jour) (j'exagère à peine : vraiment trop drôle) il n'est que de voir le visage de Mortimer Brewster lorsqu'il ouvre le coffre sous la fenêtre de la maison de ses vieilles tantes (un cadavre ? oh quoi de plus normal ...?) (le rôle est tenu par Archibald Alexander Leach) (alias Cary Grant, eh oui...!) et on est emporté - ça fonce à deux cents à l'heure (en même temps c'est Franck Capra qui dirige - un des rois du burlesque quand même) - la charge de la brigade légère dans l'escalier sabre au clair du frère de Mortimer, Théodore (aka Roosevelt !) (John Alexander, qui tenait le rôle dans la pièce) et Mortimer qui le suit en courant au son du clairon : inoubliable ! l'apparition de son deuxième frère Jonathan (en Frankenstein impayable) (et Peter Lorre en docteur Einstein) (le scénario (adapté, donc) est dû aux frères Epstein, deux anciens boxeurs- ça c'est pour toi, Lucien) les deux tantes sainte n'y touche tellement humanistes (Josephine Hull et Martha Adair, empoisonneuses parfaites et c'est vrai qu'elle font le bien...) - , un huis clos, certes, mais quelle affiche ! (Cary Grant, merveilleux - ici et si on le voit dans North by northwest de Sir Alfred (1959) et on est conquis à jamais) un humour noir comme les lunettes qu'il porte à un moment (la scène de la cabine téléphonique...) , et puis le mariage... enfin tout y est (deux heures de fou-rire et de joie) si vous ne l'avez vu on vous envie... (Arsenic et vieilles dentelles, Franck Capra 1941, sortie en 1944 aux US fin 46 en France) (musique : Max Steiner quand même, extra)

10:21  
Anonymous ste said...

tu me la sers cette vieille dame

12:21  

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