(on pourrait crier "attention chef d'oeuvre !!" - mais en fait non) (déceptif hein - j'adore ces déceptif disruptif mots en tif (de merde) qui me font souvenir de l'Invent'hair de l'ami notulographe) (je m'égare encore) (quelle saloperie) c'est Jacques Doillon qui met en scène, on se retrouve dans ces années soixante dix, avant le "choc pétrolier" premier du nom - crâne d'oeuf va se pointer, l'ex-banquier prend de la cortisone - et finalement y'a pas de mal à se faire du bien, on va arrêter de travailler - quand ça ? mais maintenant, vu que c'est l'an zéro un - un peu de la clique du café de la gare (ouverture en 69 année érotique) (y'avait même cette espèce de chanteur un peu idiot, renaud disait-il se nommer - les gens tournent mal, parfois - on prescrit plus de quarante cinq ans plus tard) un peu de ce qui va devenir, l'année suivante, le splendid (y'avait le gros encore maigre (aka Depardieu) Daniel Auteuil Jugnot Mioumiou Clavier -enfin j'en passe - pas à dire, il y en a pas mal qui ont très mal tourné - probablement à force de beaucoup trop tourner justement) - peu importe, le film reste là, têtu comme une bourrique - on pensait alors pouvoir en finir - on aurait aimé foutre tout ça par terre, et recommencer sur de bonnes bases - tonton, puis les autres viendront - ce qui nous attend aujourd'hui, avec ce maniaque narcissique ? qui peut le dire ? - on verra où on disparaîtra avant - on verra déjà demain acte 25... - continuons camarades, ne baissons pas les bras !! - que d'exhortations ... - n'importe , le film n'est pas mal (la bêtise immonde et brune est passée, qui a tué Cabu, Wolinski - la camarde a fauché Jacques Higelin, et bien d'autres...) L'an 01 (Jacques Doillon, 1973)
Clermont-Ferrand, semaine de la poésie, en mars 2024
Dunkerque, performance au LAAC, le 5 mai 2024
Hazebrouck, pour les 30 ans du Marais du livre, le 5 septembre 2024
VILLENEUVE D'ASCQ, le samedi 15 février 2025, à 16h, lecture publique en solo, dans le cadre de l'exposition "éd. etc." organisée par l'association "La belle époque" à L'Isolée, Galerie de La Belle Epoque, 17 chemin des Vieux Arbres, Villeneuve d’Ascq (Métro Hôtel de ville). Je lirai en priorité "Chapelet des Plages", un portefolio de poèmes sérigraphiés consacrés aux plages belges, de La Panne à Knokke-Le-Zoute. Entrée libre.
METZ, dans le cadre de Poema, à la librairie "Autour du monde" le 25 avril 2025 à 18h30, soirée Dernier Télégramme avec L. Suel et J. Boutonnier
BULLY LES MINES, le 15 novembre 2025, je serai présent au Salon du Livre organisé par la Médiathèque
TOULOUSE, le 13 janvier 2026, à La Cave Poésie René-Gouzenne, exposition, lecture-performance... plus d'informations bientôt
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5 Comments:
dans sa tombe ?
Je n'y avais pas pensé mais c'est vrai ! Un poème express de Victor Hugo ! Merci Brigitte.
exactement toujours
(on pourrait crier "attention chef d'oeuvre !!" - mais en fait non) (déceptif hein - j'adore ces déceptif disruptif mots en tif (de merde) qui me font souvenir de l'Invent'hair de l'ami notulographe) (je m'égare encore) (quelle saloperie) c'est Jacques Doillon qui met en scène, on se retrouve dans ces années soixante dix, avant le "choc pétrolier" premier du nom - crâne d'oeuf va se pointer, l'ex-banquier prend de la cortisone - et finalement y'a pas de mal à se faire du bien, on va arrêter de travailler - quand ça ? mais maintenant, vu que c'est l'an zéro un - un peu de la clique du café de la gare (ouverture en 69 année érotique) (y'avait même cette espèce de chanteur un peu idiot, renaud disait-il se nommer - les gens tournent mal, parfois - on prescrit plus de quarante cinq ans plus tard) un peu de ce qui va devenir, l'année suivante, le splendid (y'avait le gros encore maigre (aka Depardieu) Daniel Auteuil Jugnot Mioumiou Clavier -enfin j'en passe - pas à dire, il y en a pas mal qui ont très mal tourné - probablement à force de beaucoup trop tourner justement) - peu importe, le film reste là, têtu comme une bourrique - on pensait alors pouvoir en finir - on aurait aimé foutre tout ça par terre, et recommencer sur de bonnes bases - tonton, puis les autres viendront - ce qui nous attend aujourd'hui, avec ce maniaque narcissique ? qui peut le dire ? - on verra où on disparaîtra avant - on verra déjà demain acte 25... - continuons camarades, ne baissons pas les bras !! - que d'exhortations ... - n'importe , le film n'est pas mal (la bêtise immonde et brune est passée, qui a tué Cabu, Wolinski - la camarde a fauché Jacques Higelin, et bien d'autres...) L'an 01 (Jacques Doillon, 1973)
Je lisais chaque semaine la chronique de l'an 01 par Gébé. Comme Reiser, il est mort avant les autres. Il n'aurait pas mal tourné, j'en suis sûr.
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