(attends, j'arrive) (faisait trop chaud, je suis parti en Normandie - cueillir des cerises et tailler la haie etc... enfin bref) quand on parle de cuisine, ce qui vient c'est un facteur qui sonne, toujours deux fois parfaitement (mais on déjà donné : voir le P/E* 676) alors non, mais ici, c'est un film français - en tout cas une scène- une histoire gravissime, tragique sans doute - une histoire de terre, de mariage, d'amour - il est certain (cependant) que les acteurs (bien que parfaitement dirigés, j'ai trouvé) (mais j'aime celle qui dirige les acteurs, là - parce que sans doute elle est actrice elle-même) les acteurs, disais-je - Gabrielle Rabascal, mariée de force à José, tombe amoureuse du'un soldat, André Sauvage qu'elle rencontre dans un hôpital - les acteurs ne me plaisent pas spécialement (Gabrielle, c'est Marion Cotillard, José Alex Brendemühl et le soldat, malade -qui meurt - qu'elle ne reverra plus jamais - Louis Garrel) mais l'histoire en son début (le mariage forcé, c'est à peu près exactement ce poème express, ce que ressent Gabrielle) qui se déroule dans la cour d'une ferme, à l'été, est une merveille (image Christophe Beaucarne (le fils de Julos oui) qui a éclairé aussi nombre de films dont l'inoubliable Barbara (Mathieu Amalric, 2017) (il arrive que des scènes traversent ainsi la mémoire - ça se passe juste après la deuxième guerre mondiale, c'est tiré d'un roman de Milena Agus (romancière italienne née à Gênes, d'origine sarde - le ivre est magnifique) et c'est mis en scène par Nicole Garcia - une réalisatrice française qu'on aime particulièrement (Mal de Pierre, 2016)
DOUAI, le 17 janvier, rencontre avec une classe de 1ère du Lycée Châtelet autour de mon dernier roman "Rivière"
BRUXELLES, les 31 mars et 1er avril, présence à la Foire du Livre, lecture publique en compagnie de Jacques Darras le vendredi soir dans le cadre d'un entretien avec Alexandra Oury et pendant les deux jours, le vendredi et le samedi matin, signature de mon roman "Rivière" sur le stand des éditions Cours toujours. Organisation par l'AR2L.
MONTREUIL SUR MER, 6 avril, à 19 h, dans la salle de musique de l'Hôtel Loysel Le Gaucher, avec la Fabrique poétique, lecture-performance sur le thème des jardins
METZ, les 15 et 16 avril, invité par le festival POEMA dans le cadre du "Livre à Metz". Signature de "Rivière" et participation à une table ronde le dimanche à 15 h sur "Le Vertige de l’amour" en compagnie de Fanny Chiarello pour son roman "L'Evaporée" écrit en duo avec Wendy Delorme (animation par Elodie Karaki). Signature sur le stand de la librairie "Autour du Monde".
AMIENS, le Réseau des maisons d'écrivain et des patrimoines littéraires des Hauts-de-France qui organise depuis 2016 le Festival Résonances, rencontres du patrimoine littéraire et de la création, m'invite à participer à la conclusion de sa journée d'étude qui se tiendra le 4 mai 2023 à l'Université de Picardie Jules Verne, Pôle Citadelle. Je participerai à la table ronde "Visages d'écrivains" avec des lectures d'extraits de mes ouvrages tout en répondant aux questions d'Alexandra Oury.
CHÂTEAU-THIERRY, le 13 mai, présence aux Rencontres poétiques, signatures et dédicaces, présentation à la médiathèque : "Poésie sonore au Nord" lecture-performance (20 mn)
HAZEBROUCK, le 17 mai, à 18 h 30, Musée des Augustins, salle Jonas, lecture publique de "La Justification de l'abbé Lemire", dans le cadre du festival Résonances 2023
PARIS, le 22 juin, dans le cadre des Périphéries du marché de la poésie et à l'occasion de la re-parution de la revue DOC(k)S, soirée de performance à la Bibliothèque Marguerite Audoux, avec Ségolène Thuillart, Natacha Guiller, Ma Desheng et Lucien Suel
SETE, du 21 au 29 juillet, invité au Festival Voix Vives...
LIMOGES, le 23 septembre, parution du "Livre des poèmes express" aux éditions du Dernier Télégramme
ALENÇON, du 14 au 16 octobre, invité au festival Poésie & Davantage
2 Comments:
comme son cuir nerveux
(attends, j'arrive) (faisait trop chaud, je suis parti en Normandie - cueillir des cerises et tailler la haie etc... enfin bref)
quand on parle de cuisine, ce qui vient c'est un facteur qui sonne, toujours deux fois parfaitement (mais on déjà donné : voir le P/E* 676)
alors non, mais ici, c'est un film français - en tout cas une scène- une histoire gravissime, tragique sans doute - une histoire de terre, de mariage, d'amour - il est certain (cependant) que les acteurs (bien que parfaitement dirigés, j'ai trouvé) (mais j'aime celle qui dirige les acteurs, là - parce que sans doute elle est actrice elle-même) les acteurs, disais-je - Gabrielle Rabascal, mariée de force à José, tombe amoureuse du'un soldat, André Sauvage qu'elle rencontre dans un hôpital - les acteurs ne me plaisent pas spécialement (Gabrielle, c'est Marion Cotillard, José Alex Brendemühl et le soldat, malade -qui meurt - qu'elle ne reverra plus jamais - Louis Garrel) mais l'histoire en son début (le mariage forcé, c'est à peu près exactement ce poème express, ce que ressent Gabrielle) qui se déroule dans la cour d'une ferme, à l'été, est une merveille (image Christophe Beaucarne (le fils de Julos oui) qui a éclairé aussi nombre de films dont l'inoubliable Barbara (Mathieu Amalric, 2017) (il arrive que des scènes traversent ainsi la mémoire - ça se passe juste après la deuxième guerre mondiale, c'est tiré d'un roman de Milena Agus (romancière italienne née à Gênes, d'origine sarde - le ivre est magnifique) et c'est mis en scène par Nicole Garcia - une réalisatrice française qu'on aime particulièrement (Mal de Pierre, 2016)
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