vendredi 28 juin 2019

Poème express n° 775

posted by Lucien Suel at 07:28

2 Comments:

Anonymous ste said...

comme son cuir nerveux

07:36  
Anonymous Anonyme said...

(attends, j'arrive) (faisait trop chaud, je suis parti en Normandie - cueillir des cerises et tailler la haie etc... enfin bref)
quand on parle de cuisine, ce qui vient c'est un facteur qui sonne, toujours deux fois parfaitement (mais on déjà donné : voir le P/E* 676)
alors non, mais ici, c'est un film français - en tout cas une scène- une histoire gravissime, tragique sans doute - une histoire de terre, de mariage, d'amour - il est certain (cependant) que les acteurs (bien que parfaitement dirigés, j'ai trouvé) (mais j'aime celle qui dirige les acteurs, là - parce que sans doute elle est actrice elle-même) les acteurs, disais-je - Gabrielle Rabascal, mariée de force à José, tombe amoureuse du'un soldat, André Sauvage qu'elle rencontre dans un hôpital - les acteurs ne me plaisent pas spécialement (Gabrielle, c'est Marion Cotillard, José Alex Brendemühl et le soldat, malade -qui meurt - qu'elle ne reverra plus jamais - Louis Garrel) mais l'histoire en son début (le mariage forcé, c'est à peu près exactement ce poème express, ce que ressent Gabrielle) qui se déroule dans la cour d'une ferme, à l'été, est une merveille (image Christophe Beaucarne (le fils de Julos oui) qui a éclairé aussi nombre de films dont l'inoubliable Barbara (Mathieu Amalric, 2017) (il arrive que des scènes traversent ainsi la mémoire - ça se passe juste après la deuxième guerre mondiale, c'est tiré d'un roman de Milena Agus (romancière italienne née à Gênes, d'origine sarde - le ivre est magnifique) et c'est mis en scène par Nicole Garcia - une réalisatrice française qu'on aime particulièrement (Mal de Pierre, 2016)

17:28  

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