(on dirait que le héros de ce poème est le wtf ministre de l'éduknat : rien, il ne se passe rien) (ou alors l'ex-pédégé de france télécom : mode, porte ou fenêtre - mais sinon, rien, non, rien) (on a l'impression que ça boue chez nos contemporains, mais qu'il ne se passe rien - non, rien) (depuis le 17 novembre ?) (rien, non, rien : on peut partir en week-end) (on a déjà donné avec JLG - 660*/722* - mais ce n'estpas non plus complètement usurpé) (c'est une espèce d'histoire du cinéma - subjective évidemment, antépénultième mais toujours sur le coup) il y a Jean Yanne qui fait le Roland, Mireille Darc qui fait la Corinne) (y'a - fatalement - Coutard à l'image) (un des plus longs travelling du cinéma - quand ils avaient des rails, une draisienne, et une caméra à magasin) (-ça ne nous rajeunit pas : le film est de 1967) des morts et des blessés, partout du sang - ce n'est pas si gore mais enfin ce n'est pas du tout de l'eau de rose - carnet : JLG vient d'épouser Anne Wiazemski (21/07/67) et le monde du cinéma ne sera désormais plus le même pour lui (tournage du 5/09/67 au 12/10/67) - c'est la fin d'une époque - c'est la fin d'un monde - les deux protagonistes sont aussi antipathiques l'un que l'autre, les membres du commando (dont Valérie Lagrange en coupe avec Jean-Pierre Kalfon) assez snobinards - des longueurs interminables dans les dialogues - le cinéma est mort, vive le renouveau du cinéma (Week-end, Jean-Luc Godard, 1967)
VILLENEUVE D'ASCQ, le samedi 15 février, à 16h, lecture publique en solo, dans le cadre de l'exposition "éd. etc." organisée par l'association "La belle époque" à L'Isolée, Galerie de La Belle Epoque, 17 chemin des Vieux Arbres, Villeneuve d’Ascq (Métro Hôtel de ville). Je lirai en priorité "Chapelet des Plages", un portefolio de poèmes sérigraphiés consacrés aux plages belges, de La Panne à Knokke-Le-Zoute. Entrée libre.
METZ, dans le cadre de Poema, à la librairie "Autour du monde" le 25 avril à 18h30, soirée Dernier Télégramme avec L. Suel et J. Boutonnier
2 Comments:
c'était son rien presque
(on dirait que le héros de ce poème est le wtf ministre de l'éduknat : rien, il ne se passe rien) (ou alors l'ex-pédégé de france télécom : mode, porte ou fenêtre - mais sinon, rien, non, rien) (on a l'impression que ça boue chez nos contemporains, mais qu'il ne se passe rien - non, rien) (depuis le 17 novembre ?) (rien, non, rien : on peut partir en week-end) (on a déjà donné avec JLG - 660*/722* - mais ce n'estpas non plus complètement usurpé) (c'est une espèce d'histoire du cinéma - subjective évidemment, antépénultième mais toujours sur le coup) il y a Jean Yanne qui fait le Roland, Mireille Darc qui fait la Corinne) (y'a - fatalement - Coutard à l'image) (un des plus longs travelling du cinéma - quand ils avaient des rails, une draisienne, et une caméra à magasin) (-ça ne nous rajeunit pas : le film est de 1967) des morts et des blessés, partout du sang - ce n'est pas si gore mais enfin ce n'est pas du tout de l'eau de rose - carnet : JLG vient d'épouser Anne Wiazemski (21/07/67) et le monde du cinéma ne sera désormais plus le même pour lui (tournage du 5/09/67 au 12/10/67) - c'est la fin d'une époque - c'est la fin d'un monde - les deux protagonistes sont aussi antipathiques l'un que l'autre, les membres du commando (dont Valérie Lagrange en coupe avec Jean-Pierre Kalfon) assez snobinards - des longueurs interminables dans les dialogues - le cinéma est mort, vive le renouveau du cinéma (Week-end, Jean-Luc Godard, 1967)
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