la scène se passe un moment après celle que je vais décrire - mais le héros (il se nomme Eddie Arness) a pas mal d'attributs ici évoqués (mais au début) - pour les grands-parents, je ne me souviens pas bien, mais je me souviens assez bien de son père en tout cas (vaguement de loin, ces aïeux-là, mais sans doute fais-je un amalgame avec un autre film du même) (America, America, 1963)(c'est d'ailleurs un drôle de mec, pas mal haï parce que traître à la cause de la dignité humaine - il s'en est expliqué, s'est excusé aussi mais ça n'enlève rien à sa trahison ni, surtout, au mal qu'il a pu faire à ses peut-être pas amis mais enfin collègues au moins, collaborateurs de création comme on dit aujourd'hui) (c'est Elia Kazan) Eddie s'est levé a rejoint sa salle de bain particulière (gauche cadre) tandis que sa femme (Florence - Deborah Kerr, magnifique) fait de même dans la sienne (droite cadre) - ils vont déjeuner, ils sont aisés beaux riches enviés - Eddie part au travail (il jette son attaché-case à l'arrière de sa décapotable (une Alfa Romeo blanche) (si ça se trouve j'invente) il prend l'autoroute, il roule à vive allure dépasse un camion et braque à mort pour encastrer sa voiture sous le camion - générique de début - non,là j'invente - mais quand même la spectatrice et le spectateur sont cueillis - après il y aura pas mal d'histoires etc. Mais Eddie se dira "tu as baissé la tête hein..." il en réchappe - le poème en rend compte (mais il en dit plus) (je me rends compte que le Kazan en question a déjà été cité deux autres fois dans ces poèmes express - mais c'est quand même (malgré sa couardise durant le maccarthysme - le pauvre malheureux était allergique au communisme et ça en a fait un salaud - d'une époque sans doute seulement) quand même ça n'enlève rien à son grand talent de réalisateur scénariste écrivain) (et directeur d'acteurs - Eddie est interprété par Kirk Douglas, qui vient de nous quitter...) (non, parfois la vie n'est pas facile) L'Arrangement (Elia Kazan, 1969)(noter à l'image Robert Surtess (dont le fils, Bruce, fit le même métier avec pas mal de talent), l'un des plus grands chefs-op étazuniens (décédé en 85))
VILLENEUVE D'ASCQ, le samedi 15 février, à 16h, lecture publique en solo, dans le cadre de l'exposition "éd. etc." organisée par l'association "La belle époque" à L'Isolée, Galerie de La Belle Epoque, 17 chemin des Vieux Arbres, Villeneuve d’Ascq (Métro Hôtel de ville). Je lirai en priorité "Chapelet des Plages", un portefolio de poèmes sérigraphiés consacrés aux plages belges, de La Panne à Knokke-Le-Zoute. Entrée libre.
METZ, dans le cadre de Poema, à la librairie "Autour du monde" le 25 avril à 18h30, soirée Dernier Télégramme avec L. Suel et J. Boutonnier
BULLY LES MINES, le 15 novembre, je serai présent au Salon du Livre organisé par la Médiathèque
3 Comments:
la scène se passe un moment après celle que je vais décrire - mais le héros (il se nomme Eddie Arness) a pas mal d'attributs ici évoqués (mais au début) - pour les grands-parents, je ne me souviens pas bien, mais je me souviens assez bien de son père en tout cas (vaguement de loin, ces aïeux-là, mais sans doute fais-je un amalgame avec un autre film du même) (America, America, 1963)(c'est d'ailleurs un drôle de mec, pas mal haï parce que traître à la cause de la dignité humaine - il s'en est expliqué, s'est excusé aussi mais ça n'enlève rien à sa trahison ni, surtout, au mal qu'il a pu faire à ses peut-être pas amis mais enfin collègues au moins, collaborateurs de création comme on dit aujourd'hui) (c'est Elia Kazan) Eddie s'est levé a rejoint sa salle de bain particulière (gauche cadre) tandis que sa femme (Florence - Deborah Kerr, magnifique) fait de même dans la sienne (droite cadre) - ils vont déjeuner, ils sont aisés beaux riches enviés - Eddie part au travail (il jette son attaché-case à l'arrière de sa décapotable (une Alfa Romeo blanche) (si ça se trouve j'invente) il prend l'autoroute, il roule à vive allure dépasse un camion et braque à mort pour encastrer sa voiture sous le camion - générique de début - non,là j'invente - mais quand même la spectatrice et le spectateur sont cueillis - après il y aura pas mal d'histoires etc. Mais Eddie se dira "tu as baissé la tête hein..." il en réchappe - le poème en rend compte (mais il en dit plus) (je me rends compte que le Kazan en question a déjà été cité deux autres fois dans ces poèmes express - mais c'est quand même (malgré sa couardise durant le maccarthysme - le pauvre malheureux était allergique au communisme et ça en a fait un salaud - d'une époque sans doute seulement) quand même ça n'enlève rien à son grand talent de réalisateur scénariste écrivain) (et directeur d'acteurs - Eddie est interprété par Kirk Douglas, qui vient de nous quitter...) (non, parfois la vie n'est pas facile) L'Arrangement (Elia Kazan, 1969)(noter à l'image Robert Surtess (dont le fils, Bruce, fit le même métier avec pas mal de talent), l'un des plus grands chefs-op étazuniens (décédé en 85))
Allitération en s : poème expresssssssssssss
yessssssssssssssssssssssssssss
Enregistrer un commentaire
<< Home