(non, mais là : brune, cheveux au carré petite robe au dessus du genou regard certain de son charme - tous les hommes (et pourquoi pas les femmes) aimanté(e)s - pétillante drôle sympathique gaie heureuse - toutes les qualités) (film muet mais le parlant arrive, elle a 22 ans au moment du tournage qui se passe en Allemagne mais elle est américaine - avec le parlant elle disparaît des génériques du succès) (on s'est emparé pas mal d'elle et de son image - libérée, joyeuse espiègle même - mais (comme beaucoup) elle est morte seule et assez oubliée) (elle m'a toujours fait penser à Maria Callas, mais c'est sans autre raison que mon imaginaire) (ici ça finit très mal pour elle - Jack l'éventreur y est pour quelque chose) dans le poème, elle arrive sur le yacht où elle rencontre la comtesse (qui deviendra son amante et causera sa perte) - un très (grand) classique du cinéma, noir et blanc magique (photographie : Gunther Krampf, qui éclairera le Juif Süss, hein, dans cinq ans - Pabst (le réal) tournera aussi pour les nazis sans trop de problèmes éthiques au début des années 40) "la boite de Pandore" (titre original) indique la teneur moralisatrice du film (qu'on a vu en France seulement dans une version remaniée par la censure : si elle meurt éventrée donc, c'est que ses moeurs l'y ont conduite...) tout un programme... en France : Loulou (Georg Wilhem Pabst, 1929)
le miroir obscurcit encore ses traits, assoiffée de vengeance peut-être même au sang
[elle n'allait pas se soumettre au diktat misogyne prétendant que c'est toujours la faute de la femme] [salutations amicales à sieur de la parenthèse, expert en cinématographie, tellement plus que moi)
Je viens de me faire une série (comme on se fait une toile) de poèmes express de Lucien Suel et de commentaires cinéphiliques de Piéro Cohen Hadria, quel rythme, et une avalanche d'images... Merci. hg
@Zéo : le cinéma, un univers machiste impitoyable brutal et cruel : en un mot libéral... (pfff) Merci du commentaire @hg: merci à vous (j'ignorai que ls avait reçu th hier: me voilà informé... :°))
Piéro, hélas oui, encore, le plus souvent. Et dans les années '70, ajoutons pédophilie et éphébophilie du cinéma français (Rhomer, le roi) (comme en photo, je pense à Hamilton, tellement louangé) au courant porno, surtout italien. Notre cinéma fiction est encore au biberon, point de vue histoire. Par contre, les films docu et d'animation, passés maitres et cela a débouché sur les spécialités liées au numérique et effets spéciaux. Cinéma fiction, longtemps obsédé par religion-c...-hockey. (aussi pfff + beurk). Merci aussi, c'est super sympa! ¦-)
DOUAI, le 17 janvier, rencontre avec une classe de 1ère du Lycée Châtelet autour de mon dernier roman "Rivière"
BRUXELLES, les 31 mars et 1er avril, présence à la Foire du Livre, lecture publique en compagnie de Jacques Darras le vendredi soir dans le cadre d'un entretien avec Alexandra Oury et pendant les deux jours, le vendredi et le samedi matin, signature de mon roman "Rivière" sur le stand des éditions Cours toujours. Organisation par l'AR2L.
MONTREUIL SUR MER, 6 avril, à 19 h, dans la salle de musique de l'Hôtel Loysel Le Gaucher, avec la Fabrique poétique, lecture-performance sur le thème des jardins
METZ, les 15 et 16 avril, invité par le festival POEMA dans le cadre du "Livre à Metz". Signature de "Rivière" et participation à une table ronde le dimanche à 15 h sur "Le Vertige de l’amour" en compagnie de Fanny Chiarello pour son roman "L'Evaporée" écrit en duo avec Wendy Delorme (animation par Elodie Karaki). Signature sur le stand de la librairie "Autour du Monde".
AMIENS, le Réseau des maisons d'écrivain et des patrimoines littéraires des Hauts-de-France qui organise depuis 2016 le Festival Résonances, rencontres du patrimoine littéraire et de la création, m'invite à participer à la conclusion de sa journée d'étude qui se tiendra le 4 mai 2023 à l'Université de Picardie Jules Verne, Pôle Citadelle. Je participerai à la table ronde "Visages d'écrivains" avec des lectures d'extraits de mes ouvrages tout en répondant aux questions d'Alexandra Oury.
CHÂTEAU-THIERRY, le 13 mai, présence aux Rencontres poétiques, signatures et dédicaces, présentation à la médiathèque : "Poésie sonore au Nord" lecture-performance (20 mn)
HAZEBROUCK, le 17 mai, à 18 h 30, Musée des Augustins, salle Jonas, lecture publique de "La Justification de l'abbé Lemire", dans le cadre du festival Résonances 2023
PARIS, le 22 juin, dans le cadre des Périphéries du marché de la poésie et à l'occasion de la re-parution de la revue DOC(k)S, soirée de performance à la Bibliothèque Marguerite Audoux, avec Ségolène Thuillart, Natacha Guiller, Ma Desheng et Lucien Suel
SETE, du 21 au 29 juillet, invité au Festival Voix Vives...
LIMOGES, le 23 septembre, parution du "Livre des poèmes express" aux éditions du Dernier Télégramme
ALENÇON, du 14 au 16 octobre, invité au festival Poésie & Davantage
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(non, mais là : brune, cheveux au carré petite robe au dessus du genou regard certain de son charme - tous les hommes (et pourquoi pas les femmes) aimanté(e)s - pétillante drôle sympathique gaie heureuse - toutes les qualités) (film muet mais le parlant arrive, elle a 22 ans au moment du tournage qui se passe en Allemagne mais elle est américaine - avec le parlant elle disparaît des génériques du succès) (on s'est emparé pas mal d'elle et de son image - libérée, joyeuse espiègle même - mais (comme beaucoup) elle est morte seule et assez oubliée) (elle m'a toujours fait penser à Maria Callas, mais c'est sans autre raison que mon imaginaire) (ici ça finit très mal pour elle - Jack l'éventreur y est pour quelque chose) dans le poème, elle arrive sur le yacht où elle rencontre la comtesse (qui deviendra son amante et causera sa perte) - un très (grand) classique du cinéma, noir et blanc magique (photographie : Gunther Krampf, qui éclairera le Juif Süss, hein, dans cinq ans - Pabst (le réal) tournera aussi pour les nazis sans trop de problèmes éthiques au début des années 40) "la boite de Pandore" (titre original) indique la teneur moralisatrice du film (qu'on a vu en France seulement dans une version remaniée par la censure : si elle meurt éventrée donc, c'est que ses moeurs l'y ont conduite...) tout un programme... en France : Loulou (Georg Wilhem Pabst, 1929)
le miroir obscurcit encore ses traits, assoiffée de vengeance peut-être même au sang
[elle n'allait pas se soumettre au diktat misogyne prétendant que c'est toujours la faute de la femme]
[salutations amicales à sieur de la parenthèse, expert en cinématographie, tellement plus que moi)
Zéo [brrrr ça donne froid dans le dos]
Je viens de me faire une série (comme on se fait une toile) de poèmes express de Lucien Suel et de commentaires cinéphiliques de Piéro Cohen Hadria, quel rythme, et une avalanche d'images... Merci. hg
Merci hg pour la visite et aussi pour th reçu ce jour.
@Zéo : le cinéma, un univers machiste impitoyable brutal et cruel : en un mot libéral... (pfff) Merci du commentaire
@hg: merci à vous (j'ignorai que ls avait reçu th hier: me voilà informé... :°))
Piéro, hélas oui, encore, le plus souvent. Et dans les années '70, ajoutons pédophilie et éphébophilie du cinéma français (Rhomer, le roi) (comme en photo, je pense à Hamilton, tellement louangé) au courant porno, surtout italien. Notre cinéma fiction est encore au biberon, point de vue histoire. Par contre, les films docu et d'animation, passés maitres et cela a débouché sur les spécialités liées au numérique et effets spéciaux. Cinéma fiction, longtemps obsédé par religion-c...-hockey. (aussi pfff + beurk). Merci aussi, c'est super sympa! ¦-)
Zéo
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