(en vrai, six sur sept - aujourd'hui on dit sept-vingt-quatre : quelque chose de la pourriture contemporaine, je reconnais) mais non, là, c'est en semaine que se déroule le poème : pour le film ça commence le soir du samedi - une merveille (l'un des premiers premiers rôles d'Albert Finney qu'on ne déteste pas, hein) (il est de 36, ça lui fait 24 ans pendant le tournage) (que la paix soit sur son âme il nous a quitté l'année dernière, en février - inoubliable aussi dans le Au dessous du volcan (John Huston, 1984) on boit, on rit, on danse... c'est magnifique et puis le lendemain matin... c'est le dimanche oui) (noir et blanc magique) le nouveau cinéma britannique : les années soixante sur les chapeaux de roue - Samedi soir, dimanche matin (Karel Reisz, 1960) (extra !)
Deux livres lus : "La solitude du coureur de fond" et "Samedi soir, dimanche matin" par Alan Sillitoe. La classe ouvrière britannique au plus près. Ok aussi pour Albert Finney qui passera de l'usine au Consulat
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(en vrai, six sur sept - aujourd'hui on dit sept-vingt-quatre : quelque chose de la pourriture contemporaine, je reconnais) mais non, là, c'est en semaine que se déroule le poème : pour le film ça commence le soir du samedi - une merveille (l'un des premiers premiers rôles d'Albert Finney qu'on ne déteste pas, hein) (il est de 36, ça lui fait 24 ans pendant le tournage) (que la paix soit sur son âme il nous a quitté l'année dernière, en février - inoubliable aussi dans le Au dessous du volcan (John Huston, 1984) on boit, on rit, on danse... c'est magnifique et puis le lendemain matin... c'est le dimanche oui) (noir et blanc magique) le nouveau cinéma britannique : les années soixante sur les chapeaux de roue - Samedi soir, dimanche matin (Karel Reisz, 1960) (extra !)
dix par jour sans fond
Deux livres lus : "La solitude du coureur de fond" et "Samedi soir, dimanche matin" par Alan Sillitoe. La classe ouvrière britannique au plus près.
Ok aussi pour Albert Finney qui passera de l'usine au Consulat
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