(en vrai, six sur sept - aujourd'hui on dit sept-vingt-quatre : quelque chose de la pourriture contemporaine, je reconnais) mais non, là, c'est en semaine que se déroule le poème : pour le film ça commence le soir du samedi - une merveille (l'un des premiers premiers rôles d'Albert Finney qu'on ne déteste pas, hein) (il est de 36, ça lui fait 24 ans pendant le tournage) (que la paix soit sur son âme il nous a quitté l'année dernière, en février - inoubliable aussi dans le Au dessous du volcan (John Huston, 1984) on boit, on rit, on danse... c'est magnifique et puis le lendemain matin... c'est le dimanche oui) (noir et blanc magique) le nouveau cinéma britannique : les années soixante sur les chapeaux de roue - Samedi soir, dimanche matin (Karel Reisz, 1960) (extra !)
Deux livres lus : "La solitude du coureur de fond" et "Samedi soir, dimanche matin" par Alan Sillitoe. La classe ouvrière britannique au plus près. Ok aussi pour Albert Finney qui passera de l'usine au Consulat
DOUAI, le 17 janvier, rencontre avec une classe de 1ère du Lycée Châtelet autour de mon dernier roman "Rivière"
BRUXELLES, les 31 mars et 1er avril, présence à la Foire du Livre, lecture publique en compagnie de Jacques Darras le vendredi soir dans le cadre d'un entretien avec Alexandra Oury et pendant les deux jours, le vendredi et le samedi matin, signature de mon roman "Rivière" sur le stand des éditions Cours toujours. Organisation par l'AR2L.
MONTREUIL SUR MER, 6 avril, à 19 h, dans la salle de musique de l'Hôtel Loysel Le Gaucher, avec la Fabrique poétique, lecture-performance sur le thème des jardins
METZ, les 15 et 16 avril, invité par le festival POEMA dans le cadre du "Livre à Metz". Signature de "Rivière" et participation à une table ronde le dimanche à 15 h sur "Le Vertige de l’amour" en compagnie de Fanny Chiarello pour son roman "L'Evaporée" écrit en duo avec Wendy Delorme (animation par Elodie Karaki). Signature sur le stand de la librairie "Autour du Monde".
AMIENS, le Réseau des maisons d'écrivain et des patrimoines littéraires des Hauts-de-France qui organise depuis 2016 le Festival Résonances, rencontres du patrimoine littéraire et de la création, m'invite à participer à la conclusion de sa journée d'étude qui se tiendra le 4 mai 2023 à l'Université de Picardie Jules Verne, Pôle Citadelle. Je participerai à la table ronde "Visages d'écrivains" avec des lectures d'extraits de mes ouvrages tout en répondant aux questions d'Alexandra Oury.
CHÂTEAU-THIERRY, le 13 mai, présence aux Rencontres poétiques, signatures et dédicaces, présentation à la médiathèque : "Poésie sonore au Nord" lecture-performance (20 mn)
HAZEBROUCK, le 17 mai, à 18 h 30, Musée des Augustins, salle Jonas, lecture publique de "La Justification de l'abbé Lemire", dans le cadre du festival Résonances 2023
PARIS, le 22 juin, dans le cadre des Périphéries du marché de la poésie et à l'occasion de la re-parution de la revue DOC(k)S, soirée de performance à la Bibliothèque Marguerite Audoux, avec Ségolène Thuillart, Natacha Guiller, Ma Desheng et Lucien Suel
SETE, du 21 au 29 juillet, invité au Festival Voix Vives...
LIMOGES, le 23 septembre, parution du "Livre des poèmes express" aux éditions du Dernier Télégramme
ALENÇON, du 14 au 16 octobre, invité au festival Poésie & Davantage
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(en vrai, six sur sept - aujourd'hui on dit sept-vingt-quatre : quelque chose de la pourriture contemporaine, je reconnais) mais non, là, c'est en semaine que se déroule le poème : pour le film ça commence le soir du samedi - une merveille (l'un des premiers premiers rôles d'Albert Finney qu'on ne déteste pas, hein) (il est de 36, ça lui fait 24 ans pendant le tournage) (que la paix soit sur son âme il nous a quitté l'année dernière, en février - inoubliable aussi dans le Au dessous du volcan (John Huston, 1984) on boit, on rit, on danse... c'est magnifique et puis le lendemain matin... c'est le dimanche oui) (noir et blanc magique) le nouveau cinéma britannique : les années soixante sur les chapeaux de roue - Samedi soir, dimanche matin (Karel Reisz, 1960) (extra !)
dix par jour sans fond
Deux livres lus : "La solitude du coureur de fond" et "Samedi soir, dimanche matin" par Alan Sillitoe. La classe ouvrière britannique au plus près.
Ok aussi pour Albert Finney qui passera de l'usine au Consulat
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