lundi 31 août 2020

Poème express n° 782

posted by Lucien Suel at 07:57

2 Comments:

Anonymous Anonyme said...

(j'ai quand même une espèce de réticence envers ce type - il m'apparaît sénile, et depuis qu'il soutient l'immonde encore plus (il a sans doute senti un peu le vent, et s'est rallié à un autre qui a tourné casaque -bloomberg) (bon ça va bien) (il produit réalise et joue le premier rôle - enfin non, le premier rôle, c'est Francesca quoi qu'il en dise, ce grand con) (pardon) (c'est dit) - l'ombre des grands arbres, surtout - il manque les ponts dans le P/E* mais ce ne sont, dans le film, que prétexte à imagerie - il y a donc là Francesca Johnson (Meryl Streep, splendide : oscar meilleure actrice 96 pour la peine...) il y a une histoire d'amour magnifique (torrents de larmes à la fin, quand même...) - quatre jours dans la vie d'un couple - image Jack Green comme d'hab et musique Lennie Niehaus comme d'hab - on n'aimerait pas que ça nous tombe dessus, je crois que c'est ça - et pourtant on est prêt à aimer n'importe qui d'un amour de dingue(un moment, mettre en danger son monde, ses enfants, sa vie ? ça marche au cinéma, sûrement - dans la littérature aussi, sûrement) (dans le canard une suite de six épisodes centrée sur la Deneuve indique que lorsqu'elle participa en temps que présidente adjointe au festival de Cannes (le président était ce grand olibrius) elle lui fit part de son désir profond d'interpréter la Francesca en question (machin n'a - apparemment - pas donné suite :j'ai vaguement le sentiment qu'il a bien fait) tout ça pour finir par dire : Sur la route de Madison (Clint Eastwood, 1996)

08:46  
Blogger Lucien Suel said...

Oui et je connais des personnes qui pleurent chaque fois qu'elle revoient ce film.

09:35  

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