(ça irait vraiment bien avec l'odeur qu'on semble ressentir de de côté-ci de l'écran en provenance de chez la mère de Norman Bates - on ne comprend pas comment Marion Crane ne parvient pas à savoir ce dont nous autres nous doutons à peine (c'est vrai) en entrant dans cette maison, cette terreur (un des sommets du genre au cinéma, il me semble) que nous éprouvons par ces plans subjectifs, ce montage, cette musique (Bernard Hermann, comme souvent) mais enfin, voilà tout - Janet Leigh dans le rôle est juste formidable (dans La Soif du mal (Orson Welles, 1958) elle était déjà en assez mauvaise posture, tu te souviens - quelle présence... et pourtant, elle disparaît à la moitié du film : jamais on ne l'oubliera) - Antony Perkins ce ne pourrait pas être quelqu'un d'autre que Norman mais un peu à contre emploi à l'époque, (jeune premier dans Aimez-vous Brahms ? juste après (Anatole Litvak, 1961) ou le Procès (Orson Welles, 1964) mais de ce rôle-la, difficile de se sortir...) (Psychose, Sir Alfred, 1960) (toute la filmographie de Sir Alfred ainsi que celle de l'ami Stanley devrait passer dans ces commentaires, tant leur doit le cinéma...)
VILLENEUVE D'ASCQ, le samedi 15 février, à 16h, lecture publique en solo, dans le cadre de l'exposition "éd. etc." organisée par l'association "La belle époque" à L'Isolée, Galerie de La Belle Epoque, 17 chemin des Vieux Arbres, Villeneuve d’Ascq (Métro Hôtel de ville). Je lirai en priorité "Chapelet des Plages", un portefolio de poèmes sérigraphiés consacrés aux plages belges, de La Panne à Knokke-Le-Zoute. Entrée libre.
METZ, dans le cadre de Poema, à la librairie "Autour du monde" le 25 avril à 18h30, soirée Dernier Télégramme avec L. Suel et J. Boutonnier
BULLY LES MINES, le 15 novembre, je serai présent au Salon du Livre organisé par la Médiathèque
2 Comments:
(ça irait vraiment bien avec l'odeur qu'on semble ressentir de de côté-ci de l'écran en provenance de chez la mère de Norman Bates - on ne comprend pas comment Marion Crane ne parvient pas à savoir ce dont nous autres nous doutons à peine (c'est vrai) en entrant dans cette maison, cette terreur (un des sommets du genre au cinéma, il me semble) que nous éprouvons par ces plans subjectifs, ce montage, cette musique (Bernard Hermann, comme souvent) mais enfin, voilà tout - Janet Leigh dans le rôle est juste formidable (dans La Soif du mal (Orson Welles, 1958) elle était déjà en assez mauvaise posture, tu te souviens - quelle présence... et pourtant, elle disparaît à la moitié du film : jamais on ne l'oubliera) - Antony Perkins ce ne pourrait pas être quelqu'un d'autre que Norman mais un peu à contre emploi à l'époque, (jeune premier dans Aimez-vous Brahms ? juste après (Anatole Litvak, 1961) ou le Procès (Orson Welles, 1964) mais de ce rôle-la, difficile de se sortir...) (Psychose, Sir Alfred, 1960) (toute la filmographie de Sir Alfred ainsi que celle de l'ami Stanley devrait passer dans ces commentaires, tant leur doit le cinéma...)
coeurumain
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