si ce n'était si bavard (ou non, dans un autre registre plutôt), on opterait pour un Bergman, il m'en manque un d'ailleurs, ce serait Sonate d'automne (1978) - mais non: ça discutaille...) (j'aimerais bien voir Ingrid dans ce rôle, ça me manque un ptit peu) mais ça regarde aussi pas mal) il y avait Ferdinand (Bébel qui imitait aussi Michel Simon, tu te souviens)qui disait "Silence j'écris !" lorsque Marianne (Anna Karina) racontait son "qu'est-ce que je peux faire,j'sais pas quoi faire" qui n'est pas mal adapté (mais ça ne me va pas non plus - déjà utilisé, ce Pierrot le Fou (Jean-Luc Godard 1965) - on s'en fout des réutiliser aussi,c'est vrai, mais ça ne va pas bien,justement) il y a cette entente, tu vois - ah c'est ça, même si les relations entre Dersou et le capitaine ne sont pas du genre à autoriser le tutoiement - mais quelle merveille de film, quelle merveille d'amitié - oui,c'est sans doute ça, ça vient de là - j'adore (il faut adapter le poème pour les faire se vouvoyer - les faire regarder ensemble les steppes enneigées les animaux et autres créatures (végétales notamment)(ce poème à la nature et à la vie)(une coproduction Mosfilm (soviétique) et Tōhō (japonais producteur des Godzilla d'alors et de nos jours) qui nouait entre les deux pays des liens d'amitié et de collaboration - c'est fini, ça (et c'est bien dommage) "Dersou Ouzala" (Akira Kurosawa, 1975)
Encore une fois, c'est aussi un très beau livre. Dersou Ouzala était un chasseur toungouse vivant dans les forêts de l’Oussouri en Sibérie. Sa vie a été racontée en 1921 par Vladimir Arséniev. "Dersou Ouzala n’est plus là, il a quitté la taïga, il n’est pas dans la toundra, il est peut-être au Valhalla, voire même au Nirvana."
4 Comments:
si ce n'était si bavard (ou non, dans un autre registre plutôt), on opterait pour un Bergman, il m'en manque un d'ailleurs, ce serait Sonate d'automne (1978) - mais non: ça discutaille...) (j'aimerais bien voir Ingrid dans ce rôle, ça me manque un ptit peu) mais ça regarde aussi pas mal) il y avait Ferdinand (Bébel qui imitait aussi Michel Simon, tu te souviens)qui disait "Silence j'écris !" lorsque Marianne (Anna Karina) racontait son "qu'est-ce que je peux faire,j'sais pas quoi faire" qui n'est pas mal adapté (mais ça ne me va pas non plus - déjà utilisé, ce Pierrot le Fou (Jean-Luc Godard 1965) - on s'en fout des réutiliser aussi,c'est vrai, mais ça ne va pas bien,justement) il y a cette entente, tu vois - ah c'est ça, même si les relations entre Dersou et le capitaine ne sont pas du genre à autoriser le tutoiement - mais quelle merveille de film, quelle merveille d'amitié - oui,c'est sans doute ça, ça vient de là - j'adore (il faut adapter le poème pour les faire se vouvoyer - les faire regarder ensemble les steppes enneigées les animaux et autres créatures (végétales notamment)(ce poème à la nature et à la vie)(une coproduction Mosfilm (soviétique) et Tōhō (japonais producteur des Godzilla d'alors et de nos jours) qui nouait entre les deux pays des liens d'amitié et de collaboration - c'est fini, ça (et c'est bien dommage) "Dersou Ouzala" (Akira Kurosawa, 1975)
regarose
Encore une fois, c'est aussi un très beau livre.
Dersou Ouzala était un chasseur toungouse vivant dans les forêts de l’Oussouri en Sibérie. Sa vie a été racontée en 1921 par Vladimir Arséniev.
"Dersou Ouzala
n’est plus là,
il a quitté la taïga,
il n’est pas
dans la toundra,
il est peut-être au Valhalla,
voire même au Nirvana."
Je me souviens bien de ce film, un des premiers "soviétiques" que l'on voyait, après "Quand passent les cigognes"... :-)
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