si ce n'était si bavard (ou non, dans un autre registre plutôt), on opterait pour un Bergman, il m'en manque un d'ailleurs, ce serait Sonate d'automne (1978) - mais non: ça discutaille...) (j'aimerais bien voir Ingrid dans ce rôle, ça me manque un ptit peu) mais ça regarde aussi pas mal) il y avait Ferdinand (Bébel qui imitait aussi Michel Simon, tu te souviens)qui disait "Silence j'écris !" lorsque Marianne (Anna Karina) racontait son "qu'est-ce que je peux faire,j'sais pas quoi faire" qui n'est pas mal adapté (mais ça ne me va pas non plus - déjà utilisé, ce Pierrot le Fou (Jean-Luc Godard 1965) - on s'en fout des réutiliser aussi,c'est vrai, mais ça ne va pas bien,justement) il y a cette entente, tu vois - ah c'est ça, même si les relations entre Dersou et le capitaine ne sont pas du genre à autoriser le tutoiement - mais quelle merveille de film, quelle merveille d'amitié - oui,c'est sans doute ça, ça vient de là - j'adore (il faut adapter le poème pour les faire se vouvoyer - les faire regarder ensemble les steppes enneigées les animaux et autres créatures (végétales notamment)(ce poème à la nature et à la vie)(une coproduction Mosfilm (soviétique) et Tōhō (japonais producteur des Godzilla d'alors et de nos jours) qui nouait entre les deux pays des liens d'amitié et de collaboration - c'est fini, ça (et c'est bien dommage) "Dersou Ouzala" (Akira Kurosawa, 1975)
Encore une fois, c'est aussi un très beau livre. Dersou Ouzala était un chasseur toungouse vivant dans les forêts de l’Oussouri en Sibérie. Sa vie a été racontée en 1921 par Vladimir Arséniev. "Dersou Ouzala n’est plus là, il a quitté la taïga, il n’est pas dans la toundra, il est peut-être au Valhalla, voire même au Nirvana."
DOUAI, le 17 janvier, rencontre avec une classe de 1ère du Lycée Châtelet autour de mon dernier roman "Rivière"
BRUXELLES, les 31 mars et 1er avril, présence à la Foire du Livre, lecture publique en compagnie de Jacques Darras le vendredi soir dans le cadre d'un entretien avec Alexandra Oury et pendant les deux jours, le vendredi et le samedi matin, signature de mon roman "Rivière" sur le stand des éditions Cours toujours. Organisation par l'AR2L.
MONTREUIL SUR MER, 6 avril, à 19 h, dans la salle de musique de l'Hôtel Loysel Le Gaucher, avec la Fabrique poétique, lecture-performance sur le thème des jardins
METZ, les 15 et 16 avril, invité par le festival POEMA dans le cadre du "Livre à Metz". Signature de "Rivière" et participation à une table ronde le dimanche à 15 h sur "Le Vertige de l’amour" en compagnie de Fanny Chiarello pour son roman "L'Evaporée" écrit en duo avec Wendy Delorme (animation par Elodie Karaki). Signature sur le stand de la librairie "Autour du Monde".
AMIENS, le Réseau des maisons d'écrivain et des patrimoines littéraires des Hauts-de-France qui organise depuis 2016 le Festival Résonances, rencontres du patrimoine littéraire et de la création, m'invite à participer à la conclusion de sa journée d'étude qui se tiendra le 4 mai 2023 à l'Université de Picardie Jules Verne, Pôle Citadelle. Je participerai à la table ronde "Visages d'écrivains" avec des lectures d'extraits de mes ouvrages tout en répondant aux questions d'Alexandra Oury.
CHÂTEAU-THIERRY, le 13 mai, présence aux Rencontres poétiques, signatures et dédicaces, présentation à la médiathèque : "Poésie sonore au Nord" lecture-performance (20 mn)
HAZEBROUCK, le 17 mai, à 18 h 30, Musée des Augustins, salle Jonas, lecture publique de "La Justification de l'abbé Lemire", dans le cadre du festival Résonances 2023
PARIS, le 22 juin, dans le cadre des Périphéries du marché de la poésie et à l'occasion de la re-parution de la revue DOC(k)S, soirée de performance à la Bibliothèque Marguerite Audoux, avec Ségolène Thuillart, Natacha Guiller, Ma Desheng et Lucien Suel
SETE, du 21 au 29 juillet, invité au Festival Voix Vives...
LIMOGES, le 23 septembre, parution du "Livre des poèmes express" aux éditions du Dernier Télégramme
ALENÇON, du 14 au 16 octobre, invité au festival Poésie & Davantage
4 Comments:
si ce n'était si bavard (ou non, dans un autre registre plutôt), on opterait pour un Bergman, il m'en manque un d'ailleurs, ce serait Sonate d'automne (1978) - mais non: ça discutaille...) (j'aimerais bien voir Ingrid dans ce rôle, ça me manque un ptit peu) mais ça regarde aussi pas mal) il y avait Ferdinand (Bébel qui imitait aussi Michel Simon, tu te souviens)qui disait "Silence j'écris !" lorsque Marianne (Anna Karina) racontait son "qu'est-ce que je peux faire,j'sais pas quoi faire" qui n'est pas mal adapté (mais ça ne me va pas non plus - déjà utilisé, ce Pierrot le Fou (Jean-Luc Godard 1965) - on s'en fout des réutiliser aussi,c'est vrai, mais ça ne va pas bien,justement) il y a cette entente, tu vois - ah c'est ça, même si les relations entre Dersou et le capitaine ne sont pas du genre à autoriser le tutoiement - mais quelle merveille de film, quelle merveille d'amitié - oui,c'est sans doute ça, ça vient de là - j'adore (il faut adapter le poème pour les faire se vouvoyer - les faire regarder ensemble les steppes enneigées les animaux et autres créatures (végétales notamment)(ce poème à la nature et à la vie)(une coproduction Mosfilm (soviétique) et Tōhō (japonais producteur des Godzilla d'alors et de nos jours) qui nouait entre les deux pays des liens d'amitié et de collaboration - c'est fini, ça (et c'est bien dommage) "Dersou Ouzala" (Akira Kurosawa, 1975)
regarose
Encore une fois, c'est aussi un très beau livre.
Dersou Ouzala était un chasseur toungouse vivant dans les forêts de l’Oussouri en Sibérie. Sa vie a été racontée en 1921 par Vladimir Arséniev.
"Dersou Ouzala
n’est plus là,
il a quitté la taïga,
il n’est pas
dans la toundra,
il est peut-être au Valhalla,
voire même au Nirvana."
Je me souviens bien de ce film, un des premiers "soviétiques" que l'on voyait, après "Quand passent les cigognes"... :-)
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