(c'est égal parfois les choses arrivent simplement - je déteste ces moments où on cherche vainement à savoir ce qu'il en est, où on recherche désespérément des signes idiots ou des vagues bruits qu'on discerne à peine, qu'on cherche à identifier sans pouvoir se souvenir de qui ou quoi ou ce qu'ils pouvaient bien signifier) la question est : quand est-ce qu'on mange ? (cette question formidable, inusable pour qui a eu des enfants, (et pour les autres, tellement intérieure...) répétitive mais l'humour et la répétition ont des choses à voir ensemble) et évidemment on se souvient (t'en souvient-il ?) de l'affiche de Reiser (on se souvient du producteur mal éduqué, mal élevé tout comme le réalisateur) (on se souvient de Andréa (incarnée (est-ce le cas de le dire ?) par une parfaite (comme toujours, si je me souviens bien) Andréa Ferréol) (on se souvient des quatre "garçons dans le vent" - (un quartet de dingues) (sont tous morts,merde !) (dialogues de Francis Blanche, à ne pas omettre) nous voilà quarante sept ans plus tard et les choses ont empiré... (interdit au moins de douze ans, cette blague) La Grande Bouffe (Marco Ferreri, 1973)
VILLENEUVE D'ASCQ, le samedi 15 février, à 16h, lecture publique en solo, dans le cadre de l'exposition "éd. etc." organisée par l'association "La belle époque" à L'Isolée, Galerie de La Belle Epoque, 17 chemin des Vieux Arbres, Villeneuve d’Ascq (Métro Hôtel de ville). Je lirai en priorité "Chapelet des Plages", un portefolio de poèmes sérigraphiés consacrés aux plages belges, de La Panne à Knokke-Le-Zoute. Entrée libre.
METZ, dans le cadre de Poema, à la librairie "Autour du monde" le 25 avril à 18h30, soirée Dernier Télégramme avec L. Suel et J. Boutonnier
2 Comments:
(c'est égal parfois les choses arrivent simplement - je déteste ces moments où on cherche vainement à savoir ce qu'il en est, où on recherche désespérément des signes idiots ou des vagues bruits qu'on discerne à peine, qu'on cherche à identifier sans pouvoir se souvenir de qui ou quoi ou ce qu'ils pouvaient bien signifier) la question est : quand est-ce qu'on mange ? (cette question formidable, inusable pour qui a eu des enfants, (et pour les autres, tellement intérieure...) répétitive mais l'humour et la répétition ont des choses à voir ensemble) et évidemment on se souvient (t'en souvient-il ?) de l'affiche de Reiser (on se souvient du producteur mal éduqué, mal élevé tout comme le réalisateur) (on se souvient de Andréa (incarnée (est-ce le cas de le dire ?) par une parfaite (comme toujours, si je me souviens bien) Andréa Ferréol) (on se souvient des quatre "garçons dans le vent" - (un quartet de dingues) (sont tous morts,merde !) (dialogues de Francis Blanche, à ne pas omettre) nous voilà quarante sept ans plus tard et les choses ont empiré... (interdit au moins de douze ans, cette blague) La Grande Bouffe (Marco Ferreri, 1973)
Oui ça consomme toujours... Et j'avais 25 ans
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