(c'est tiré d'un livre que j'ai trouvé formidable) (le film est bien aussi mais c'est pas pareil comme on sait) (il est mis en scène par le type qui y joue le premier rôle - Ewan McGregor c'est du lourd (mais il est bien et écossais, un peu comme Sean Connery stuveux) (mais en blond vénitien) - la fille du héros disparaît au début du film - un bureau de poste explose, et tue le postier - le héros qui est donc son père la recherche, ne veut pas croire qu'elle ait pu poser cette bombe et tuer quelqu'un, non plus que disparaître - il l'aime sa fille, comme il aime sa femme (donc la mère de la fille: on suit dans le fond ?) (Jennifer Connely (touchante) dans le rôle de la mère - elle finira par lâcher son mari dans sa quête inutile...) (au début tout sourit aux deux parents, mais leur fille, bien que surdouée probablement, bégaye (et les hait)) (vient l'explosion, la disparition, et la descente terrorisante du père (gantier de luxe et de renom) dans une espèce d'enfer où il retrouve sa fille (encore une terreur) - Dakota Fanning dans le rôle, terrible - elle l'envoie plus ou moins paître - il ne la reverra jamais... drame effroyable qui illustre l'histoire des États-Unis et de ses enfants des années soixante par et dans une allégorie épouvantable (c'est la guerre du Viet-Nam puis une espèce de religion (jaïn, indienne) qui plongent ces enfants-là dans cette espèce de torpeur - froid dans le os, douleurs dans les os...brrr... (car, de loin en loin, ces enfants, eh bien, c'est un peu nous et ce sont aussi un peu les nôtres - et dans le même ordre d'idée, ce père c'est un peu moi ou toi) (mais en réalité, même si le P/E* indique que le père a gagné, c'est non...) American Pastoral (Ewan McGregor, 2016) à voir (et peut-être à lire (même titre, de Philip Roth, 1997), qui peut savoir ?)
VILLENEUVE D'ASCQ, le samedi 15 février, à 16h, lecture publique en solo, dans le cadre de l'exposition "éd. etc." organisée par l'association "La belle époque" à L'Isolée, Galerie de La Belle Epoque, 17 chemin des Vieux Arbres, Villeneuve d’Ascq (Métro Hôtel de ville). Je lirai en priorité "Chapelet des Plages", un portefolio de poèmes sérigraphiés consacrés aux plages belges, de La Panne à Knokke-Le-Zoute. Entrée libre.
METZ, dans le cadre de Poema, à la librairie "Autour du monde" le 25 avril à 18h30, soirée Dernier Télégramme avec L. Suel et J. Boutonnier
2 Comments:
(c'est tiré d'un livre que j'ai trouvé formidable) (le film est bien aussi mais c'est pas pareil comme on sait) (il est mis en scène par le type qui y joue le premier rôle - Ewan McGregor c'est du lourd (mais il est bien et écossais, un peu comme Sean Connery stuveux) (mais en blond vénitien) - la fille du héros disparaît au début du film - un bureau de poste explose, et tue le postier - le héros qui est donc son père la recherche, ne veut pas croire qu'elle ait pu poser cette bombe et tuer quelqu'un, non plus que disparaître - il l'aime sa fille, comme il aime sa femme (donc la mère de la fille: on suit dans le fond ?) (Jennifer Connely (touchante) dans le rôle de la mère - elle finira par lâcher son mari dans sa quête inutile...) (au début tout sourit aux deux parents, mais leur fille, bien que surdouée probablement, bégaye (et les hait)) (vient l'explosion, la disparition, et la descente terrorisante du père (gantier de luxe et de renom) dans une espèce d'enfer où il retrouve sa fille (encore une terreur) - Dakota Fanning dans le rôle, terrible - elle l'envoie plus ou moins paître - il ne la reverra jamais... drame effroyable qui illustre l'histoire des États-Unis et de ses enfants des années soixante par et dans une allégorie épouvantable (c'est la guerre du Viet-Nam puis une espèce de religion (jaïn, indienne) qui plongent ces enfants-là dans cette espèce de torpeur - froid dans le os, douleurs dans les os...brrr... (car, de loin en loin, ces enfants, eh bien, c'est un peu nous et ce sont aussi un peu les nôtres - et dans le même ordre d'idée, ce père c'est un peu moi ou toi) (mais en réalité, même si le P/E* indique que le père a gagné, c'est non...) American Pastoral (Ewan McGregor, 2016) à voir (et peut-être à lire (même titre, de Philip Roth, 1997), qui peut savoir ?)
tout au long de cette lugubre grisaille
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