jeudi 26 août 2021

Poème express n° 873

posted by Lucien Suel at 07:17

4 Comments:

Blogger Brigetoun said...

oh ces serviettes en mérinos alpaga, quelle douceur !

07:51  
Blogger Lucien Suel said...

Oui Brigitte, elles sont bienvenues dans ce monde brutal !

07:55  
Anonymous ste said...

elle sentit son pourcentage neutre

08:54  
Anonymous Anonyme said...

Antonioni non ? (il me semble bien - tout à fait exactement) - est-ce Virna Lisi ou je me trompe ? (ce n'est pas qu'on se trompe, mais enfin ça se ne passe pas très loin de ce genre de manière) (j'aime beaucoup Antonioni, énormément même, mais y repenser aujourd'hui, je ne sais pas bien, je devrais les revoir sûrement) (c'est l'influence du poème sûrement, cette sorte de frivolité innocente gratuite sans fond) non, c'est plutôt Monica Vitti (plus sûrement : elle l'attend (lui, c'est Gabrielle Ferzetti, brun coiffé beau gosse), il va revenir) (le temps passe et la caméra tourne) elle est là, sublime, et contemple ses mains - les plafonds des pièces sont haut, les blancs rideaux de tulle volent dans une petite brise, c'est fou ce qu'il fait beau en Italie - elle va finir par se lever - c'est un appartement bizarre blanc (le noir et blanc de l'image est splendide) elle c'est Claudia, il y a aussi Anna (Lea Massari, magnifique tout autant) - tu sais, un peu plus tard, le temps sera passé et le bateau voguera sur la mer bleue ("toute la vie, toute la vie" chantera Nougaro) on abordera sur une île et puis elle ne sera plus qu'un fantôme (on ne sera pas bien sûr de l'avoir vue, elle ne sera plus là, elle aura disparu et personne (pas même le réalisateur) ne saura où, ni quand (il faudrait se souvenir du dernier plan où elle apparaît) (la prochaine fois que je le vois, j'essaye de faire attention) à voir revoir et revoir encore - L'avventura (Michelangelo Antonioni, 1960)

09:51  

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