jeudi 2 septembre 2021

Poème express n° 875

posted by Lucien Suel at 07:28

2 Comments:

Anonymous ste said...

pouvons-nous faire une guerre

15:07  
Anonymous Anonyme said...

(non, mais ça a l'air facile comme ça mais ça ne l'est pas du tout) (je crois bien que c'est Juliette et Marianne qui parlent ensemble - les ami.es, les ennemi.es (pour pratiquer l'inclusive que j'agonis), tout ça : pas menacée, non, mais mal entourée : sans doute) (des michtons à tous les étages : la preuve, Raoul Levy - qui joue le rôle de John Bogus, l'un d'entre eux, est aussi l'un des producteurs du film - l'autre, c'est Anatole Dauman) mais la guerre est la guerre : Marina Vlady (Juliette) fait des passes, c'est comme ça la vie - il paraît que le réalisateur ne lui parlait que par micro et oreillettes interposés) (le réalisateur c'est Jean-Luc Godard, le film est sorti en mars 67, juste avant qu'il ne réalise la Chinoise) (plus tard, l'épisode des Étoiles Filantes de Marie Cardinal, donnera lieu à une mise au point : le livre qu'elle écrivit "Cet été-là" raconte sa participation au scénario, et estime que le travail de ces femmes, obligées pour nourrir leurs enfants de se vendre n'est aucunement aussi romantique que veut bien le montrer Godard) ; le film semble assez désincarné (un peu comme toujours ceux de Godard) mais a la qualité de porter à l'écran des héroïnes féminines - illustration sans doute contemporaine d'une guerre qui n'est pas finie, celle des sexes... après Godard est ce qu'il est (on l'aime ou on ne l'aime pas probablement- moi je l'aime)(toujours parmi nous d'ailleurs (il est de 30) Deux ou trois choses que je sais d'elle (Jean-Luc Godard, 1967) (images Coutard Raoul fatalement)

07:50  

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