(bon, pour les braies, c'est vrai qu'elle en porte comme toute cow-girl qui se respecte un peu, mais c'est quand même hors champ qu'elle les ôte si tu veux bien) elle se nomme Vienna - faudrait pas non plus trop lui marcher sur les pieds, c'est une farouche assez susceptible - Johnny va s'en rendre compte (mais elle l'aime - lui moins"dis moi que tu m'aimes" lui ordonne-t-elle; "je t'aime" répond-il...)- c'est le roman des US, la conquête de l'ouest, les trains, les casinos et les saloons, tout le kit - la photo du film c'est un diamant, les premiers films en technicolor : splendide (due à Harry Strading junior) - d'ailleurs la chemise de lin de Vienna est rouge sang - magnifique - c'est aussi l'époque du maccarthysme (Johnny est interprété par Sterling Hayden qui a témoigné - il a écrit son autobiographie, j'adore aussi (je l'aime bien ce type-là) (pas seulement parce qu'il était pote avec Stanley Kubrick, mais quand même- parfois il arrive que les acteurs ne se la pètent pas) son rôle est extra (d'ailleurs il ne savait pas jouer de la guitare - ni monter à cheval) - Vienna buvait aussi quand elle n'était pas à l'écran (Joan Crawford : magique - moi je l'adore autant que Bette Davis) (c'est pour te dire) sublimissime (j'aime assez savoir que le réalisateur a été l'un des très nombreux époux de Zsa ZSa Gabor : je trouve ça réjouissant) l'un des plus hauts sommets du western : Johnny Guitar (Nicholas Ray, 1954) (le film documentaire de Wim Wenders " Nick's movie" (1980) est une merveille aussi)
VILLENEUVE D'ASCQ, le samedi 15 février, à 16h, lecture publique en solo, dans le cadre de l'exposition "éd. etc." organisée par l'association "La belle époque" à L'Isolée, Galerie de La Belle Epoque, 17 chemin des Vieux Arbres, Villeneuve d’Ascq (Métro Hôtel de ville). Je lirai en priorité "Chapelet des Plages", un portefolio de poèmes sérigraphiés consacrés aux plages belges, de La Panne à Knokke-Le-Zoute. Entrée libre.
METZ, dans le cadre de Poema, à la librairie "Autour du monde" le 25 avril à 18h30, soirée Dernier Télégramme avec L. Suel et J. Boutonnier
BULLY LES MINES, le 15 novembre, je serai présent au Salon du Livre organisé par la Médiathèque
2 Comments:
(bon, pour les braies, c'est vrai qu'elle en porte comme toute cow-girl qui se respecte un peu, mais c'est quand même hors champ qu'elle les ôte si tu veux bien) elle se nomme Vienna - faudrait pas non plus trop lui marcher sur les pieds, c'est une farouche assez susceptible - Johnny va s'en rendre compte (mais elle l'aime - lui moins"dis moi que tu m'aimes" lui ordonne-t-elle; "je t'aime" répond-il...)- c'est le roman des US, la conquête de l'ouest, les trains, les casinos et les saloons, tout le kit - la photo du film c'est un diamant, les premiers films en technicolor : splendide (due à Harry Strading junior) - d'ailleurs la chemise de lin de Vienna est rouge sang - magnifique - c'est aussi l'époque du maccarthysme (Johnny est interprété par Sterling Hayden qui a témoigné - il a écrit son autobiographie, j'adore aussi (je l'aime bien ce type-là) (pas seulement parce qu'il était pote avec Stanley Kubrick, mais quand même- parfois il arrive que les acteurs ne se la pètent pas) son rôle est extra (d'ailleurs il ne savait pas jouer de la guitare - ni monter à cheval) - Vienna buvait aussi quand elle n'était pas à l'écran (Joan Crawford : magique - moi je l'adore autant que Bette Davis) (c'est pour te dire) sublimissime (j'aime assez savoir que le réalisateur a été l'un des très nombreux époux de Zsa ZSa Gabor : je trouve ça réjouissant) l'un des plus hauts sommets du western : Johnny Guitar (Nicholas Ray, 1954) (le film documentaire de Wim Wenders " Nick's movie" (1980) est une merveille aussi)
Moi aussi, j'aime bien Sterling Hayden.
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