(bon, pour les braies, c'est vrai qu'elle en porte comme toute cow-girl qui se respecte un peu, mais c'est quand même hors champ qu'elle les ôte si tu veux bien) elle se nomme Vienna - faudrait pas non plus trop lui marcher sur les pieds, c'est une farouche assez susceptible - Johnny va s'en rendre compte (mais elle l'aime - lui moins"dis moi que tu m'aimes" lui ordonne-t-elle; "je t'aime" répond-il...)- c'est le roman des US, la conquête de l'ouest, les trains, les casinos et les saloons, tout le kit - la photo du film c'est un diamant, les premiers films en technicolor : splendide (due à Harry Strading junior) - d'ailleurs la chemise de lin de Vienna est rouge sang - magnifique - c'est aussi l'époque du maccarthysme (Johnny est interprété par Sterling Hayden qui a témoigné - il a écrit son autobiographie, j'adore aussi (je l'aime bien ce type-là) (pas seulement parce qu'il était pote avec Stanley Kubrick, mais quand même- parfois il arrive que les acteurs ne se la pètent pas) son rôle est extra (d'ailleurs il ne savait pas jouer de la guitare - ni monter à cheval) - Vienna buvait aussi quand elle n'était pas à l'écran (Joan Crawford : magique - moi je l'adore autant que Bette Davis) (c'est pour te dire) sublimissime (j'aime assez savoir que le réalisateur a été l'un des très nombreux époux de Zsa ZSa Gabor : je trouve ça réjouissant) l'un des plus hauts sommets du western : Johnny Guitar (Nicholas Ray, 1954) (le film documentaire de Wim Wenders " Nick's movie" (1980) est une merveille aussi)
DOUAI, le 17 janvier, rencontre avec une classe de 1ère du Lycée Châtelet autour de mon dernier roman "Rivière"
BRUXELLES, les 31 mars et 1er avril, présence à la Foire du Livre, lecture publique en compagnie de Jacques Darras le vendredi soir dans le cadre d'un entretien avec Alexandra Oury et pendant les deux jours, le vendredi et le samedi matin, signature de mon roman "Rivière" sur le stand des éditions Cours toujours. Organisation par l'AR2L.
MONTREUIL SUR MER, 6 avril, à 19 h, dans la salle de musique de l'Hôtel Loysel Le Gaucher, avec la Fabrique poétique, lecture-performance sur le thème des jardins
METZ, les 15 et 16 avril, invité par le festival POEMA dans le cadre du "Livre à Metz". Signature de "Rivière" et participation à une table ronde le dimanche à 15 h sur "Le Vertige de l’amour" en compagnie de Fanny Chiarello pour son roman "L'Evaporée" écrit en duo avec Wendy Delorme (animation par Elodie Karaki). Signature sur le stand de la librairie "Autour du Monde".
AMIENS, le Réseau des maisons d'écrivain et des patrimoines littéraires des Hauts-de-France qui organise depuis 2016 le Festival Résonances, rencontres du patrimoine littéraire et de la création, m'invite à participer à la conclusion de sa journée d'étude qui se tiendra le 4 mai 2023 à l'Université de Picardie Jules Verne, Pôle Citadelle. Je participerai à la table ronde "Visages d'écrivains" avec des lectures d'extraits de mes ouvrages tout en répondant aux questions d'Alexandra Oury.
CHÂTEAU-THIERRY, le 13 mai, présence aux Rencontres poétiques, signatures et dédicaces, présentation à la médiathèque : "Poésie sonore au Nord" lecture-performance (20 mn)
HAZEBROUCK, le 17 mai, à 18 h 30, Musée des Augustins, salle Jonas, lecture publique de "La Justification de l'abbé Lemire", dans le cadre du festival Résonances 2023
PARIS, le 22 juin, dans le cadre des Périphéries du marché de la poésie et à l'occasion de la re-parution de la revue DOC(k)S, soirée de performance à la Bibliothèque Marguerite Audoux, avec Ségolène Thuillart, Natacha Guiller, Ma Desheng et Lucien Suel
SETE, du 21 au 29 juillet, invité au Festival Voix Vives...
LIMOGES, le 23 septembre, parution du "Livre des poèmes express" aux éditions du Dernier Télégramme
ALENÇON, du 14 au 16 octobre, invité au festival Poésie & Davantage
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(bon, pour les braies, c'est vrai qu'elle en porte comme toute cow-girl qui se respecte un peu, mais c'est quand même hors champ qu'elle les ôte si tu veux bien) elle se nomme Vienna - faudrait pas non plus trop lui marcher sur les pieds, c'est une farouche assez susceptible - Johnny va s'en rendre compte (mais elle l'aime - lui moins"dis moi que tu m'aimes" lui ordonne-t-elle; "je t'aime" répond-il...)- c'est le roman des US, la conquête de l'ouest, les trains, les casinos et les saloons, tout le kit - la photo du film c'est un diamant, les premiers films en technicolor : splendide (due à Harry Strading junior) - d'ailleurs la chemise de lin de Vienna est rouge sang - magnifique - c'est aussi l'époque du maccarthysme (Johnny est interprété par Sterling Hayden qui a témoigné - il a écrit son autobiographie, j'adore aussi (je l'aime bien ce type-là) (pas seulement parce qu'il était pote avec Stanley Kubrick, mais quand même- parfois il arrive que les acteurs ne se la pètent pas) son rôle est extra (d'ailleurs il ne savait pas jouer de la guitare - ni monter à cheval) - Vienna buvait aussi quand elle n'était pas à l'écran (Joan Crawford : magique - moi je l'adore autant que Bette Davis) (c'est pour te dire) sublimissime (j'aime assez savoir que le réalisateur a été l'un des très nombreux époux de Zsa ZSa Gabor : je trouve ça réjouissant) l'un des plus hauts sommets du western : Johnny Guitar (Nicholas Ray, 1954) (le film documentaire de Wim Wenders " Nick's movie" (1980) est une merveille aussi)
Moi aussi, j'aime bien Sterling Hayden.
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