(le film est bien, muet mais bien) (c'est peu dire) le sourire du héros vaut toutes les attitudes et toutes les paroles - alors ici, dans ce P/E* on a les dialogues (je ne suis pas certain qu'ils se vouvoient remarque) mais enfin ça ne fait rien, il y a cette ambiance bienveillante (c'est un documentaire participant : le réalisateur est resté je ne sais combien d'années avec la famille, et la sienne à lui, pour réaliser cette merveille - elle date de 1922, ça ne fait jamais qu'un siècle)(pratiquement) la nature cruelle et dure rude sans pitié - il y a les films de Jean Painlevé aussi dans le style - puis plus tard Georges Franju et son magnifique "Le sang des bêtes" (un autre registre mais ethnographique du chez soi) puis Alain Resnais des débuts ("Nuit et brouillard") ("le chant du styrène") sans doute Chris Marker enfin ("les statues meurent aussi") (non, ça n'a pas de fin) ensuite Fred Wiseman - le cinéma et le document sont liés comme à la main les doigts et la paume - on apprend on regarde on les entend presque - formidable, une petite heure peut-être (78 minutes), mais formidable : Nanouk l'esquimau (Robert Flaherty (et madame) 1922) - splendide
DOUAI, le 17 janvier, rencontre avec une classe de 1ère du Lycée Châtelet autour de mon dernier roman "Rivière"
BRUXELLES, les 31 mars et 1er avril, présence à la Foire du Livre, lecture publique en compagnie de Jacques Darras le vendredi soir dans le cadre d'un entretien avec Alexandra Oury et pendant les deux jours, le vendredi et le samedi matin, signature de mon roman "Rivière" sur le stand des éditions Cours toujours. Organisation par l'AR2L.
MONTREUIL SUR MER, 6 avril, à 19 h, dans la salle de musique de l'Hôtel Loysel Le Gaucher, avec la Fabrique poétique, lecture-performance sur le thème des jardins
METZ, les 15 et 16 avril, invité par le festival POEMA dans le cadre du "Livre à Metz". Signature de "Rivière" et participation à une table ronde le dimanche à 15 h sur "Le Vertige de l’amour" en compagnie de Fanny Chiarello pour son roman "L'Evaporée" écrit en duo avec Wendy Delorme (animation par Elodie Karaki). Signature sur le stand de la librairie "Autour du Monde".
AMIENS, le Réseau des maisons d'écrivain et des patrimoines littéraires des Hauts-de-France qui organise depuis 2016 le Festival Résonances, rencontres du patrimoine littéraire et de la création, m'invite à participer à la conclusion de sa journée d'étude qui se tiendra le 4 mai 2023 à l'Université de Picardie Jules Verne, Pôle Citadelle. Je participerai à la table ronde "Visages d'écrivains" avec des lectures d'extraits de mes ouvrages tout en répondant aux questions d'Alexandra Oury.
CHÂTEAU-THIERRY, le 13 mai, présence aux Rencontres poétiques, signatures et dédicaces, présentation à la médiathèque : "Poésie sonore au Nord" lecture-performance (20 mn)
HAZEBROUCK, le 17 mai, à 18 h 30, Musée des Augustins, salle Jonas, lecture publique de "La Justification de l'abbé Lemire", dans le cadre du festival Résonances 2023
PARIS, le 22 juin, dans le cadre des Périphéries du marché de la poésie et à l'occasion de la re-parution de la revue DOC(k)S, soirée de performance à la Bibliothèque Marguerite Audoux, avec Ségolène Thuillart, Natacha Guiller, Ma Desheng et Lucien Suel
SETE, du 21 au 29 juillet, invité au Festival Voix Vives...
LIMOGES, le 23 septembre, parution du "Livre des poèmes express" aux éditions du Dernier Télégramme
ALENÇON, du 14 au 16 octobre, invité au festival Poésie & Davantage
1 Comments:
(le film est bien, muet mais bien) (c'est peu dire) le sourire du héros vaut toutes les attitudes et toutes les paroles - alors ici, dans ce P/E* on a les dialogues (je ne suis pas certain qu'ils se vouvoient remarque) mais enfin ça ne fait rien, il y a cette ambiance bienveillante (c'est un documentaire participant : le réalisateur est resté je ne sais combien d'années avec la famille, et la sienne à lui, pour réaliser cette merveille - elle date de 1922, ça ne fait jamais qu'un siècle)(pratiquement) la nature cruelle et dure rude sans pitié - il y a les films de Jean Painlevé aussi dans le style - puis plus tard Georges Franju et son magnifique "Le sang des bêtes" (un autre registre mais ethnographique du chez soi) puis Alain Resnais des débuts ("Nuit et brouillard") ("le chant du styrène") sans doute Chris Marker enfin ("les statues meurent aussi") (non, ça n'a pas de fin) ensuite Fred Wiseman - le cinéma et le document sont liés comme à la main les doigts et la paume - on apprend on regarde on les entend presque - formidable, une petite heure peut-être (78 minutes), mais formidable : Nanouk l'esquimau (Robert Flaherty (et madame) 1922) - splendide
Enregistrer un commentaire
<< Home