Tellement actuel pour bien des gens. Pour eux, afin de ne pas complètement sombrer, devenir automate. Et la fin apporte finalement un peu lumière. Je pense à ces personnes dans le domaine de la santé.
(tu sais je prends le truc du commentaire comme un jeu : je m'amuse à regarder en moi ce que produit le poème) (celui-là est magnifique : il y a des jours où il tombe juste exactement où il faut) (la fierté est un sentiment que j'agonis, mais je suis content de participer à l'élaboration de ces mille poèmes seraient-ils express) (celui-là se suffit à lui-même, je reconnais) (ah tant pis... le jeu est le je) il m'est venu cette image d'Audrey Hepburn qui interprète le rôle d'une jeune femme récemment aveugle - le film est une merveille - quand même il serait hollywoodien (ce n'est pas toujours contradictoire) - de suspens et de presque terreur - la lumière du frigo qui risquerait de trahir la pauvre Susy (ses lunettes noires, la lumière de la chandelle) elle se cache, s'ils la voient, ils la tuent... - non vraiment elle nous emporte, comme un peu dans tous ses rôles (c'est pour ça qu'on l'aime, certes) Seule dans la nuit (Wait until dark) (Terence Young, 1968) (musique magique de Henry Mancini) (je tiens une image d'elle et de lui, tout sourire) (offrir... veiller... merci à toi Lucien) (image : Charles Lang, l'un des plus grands d'Hollywood, copain de Billy Wilder...)
Bravo et merci ! Film inoubliable auquel j'ai rendu hommage dans un travail littéraire passé, une correspondance avec un ami "Sans espoir de retour du courrier", à lire ici Wait Until Dark
VILLENEUVE D'ASCQ, le samedi 15 février, à 16h, lecture publique en solo, dans le cadre de l'exposition "éd. etc." organisée par l'association "La belle époque" à L'Isolée, Galerie de La Belle Epoque, 17 chemin des Vieux Arbres, Villeneuve d’Ascq (Métro Hôtel de ville). Je lirai en priorité "Chapelet des Plages", un portefolio de poèmes sérigraphiés consacrés aux plages belges, de La Panne à Knokke-Le-Zoute. Entrée libre.
METZ, dans le cadre de Poema, à la librairie "Autour du monde" le 25 avril à 18h30, soirée Dernier Télégramme avec L. Suel et J. Boutonnier
BULLY LES MINES, le 15 novembre, je serai présent au Salon du Livre organisé par la Médiathèque
3 Comments:
Tellement actuel pour bien des gens. Pour eux, afin de ne pas complètement sombrer, devenir automate. Et la fin apporte finalement un peu lumière. Je pense à ces personnes dans le domaine de la santé.
Zéo
(tu sais je prends le truc du commentaire comme un jeu : je m'amuse à regarder en moi ce que produit le poème) (celui-là est magnifique : il y a des jours où il tombe juste exactement où il faut) (la fierté est un sentiment que j'agonis, mais je suis content de participer à l'élaboration de ces mille poèmes seraient-ils express) (celui-là se suffit à lui-même, je reconnais) (ah tant pis... le jeu est le je) il m'est venu cette image d'Audrey Hepburn qui interprète le rôle d'une jeune femme récemment aveugle - le film est une merveille - quand même il serait hollywoodien (ce n'est pas toujours contradictoire) - de suspens et de presque terreur - la lumière du frigo qui risquerait de trahir la pauvre Susy (ses lunettes noires, la lumière de la chandelle) elle se cache, s'ils la voient, ils la tuent... - non vraiment elle nous emporte, comme un peu dans tous ses rôles (c'est pour ça qu'on l'aime, certes) Seule dans la nuit (Wait until dark) (Terence Young, 1968) (musique magique de Henry Mancini) (je tiens une image d'elle et de lui, tout sourire) (offrir... veiller... merci à toi Lucien) (image : Charles Lang, l'un des plus grands d'Hollywood, copain de Billy Wilder...)
Bravo et merci ! Film inoubliable auquel j'ai rendu hommage dans un travail littéraire passé, une correspondance avec un ami "Sans espoir de retour du courrier", à lire ici Wait Until Dark
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