d’abord j’ai pensé à Corman (Roger) et son Masque de la mort rouge (adapté d’une nouvelle de Poe, traduite par le grand Charles) assez miraculeux (il y a là Vincent Price en prince Prospero et ça a toutes les qualités de la série b avant de devenir z – il y a aussi cette princesse magnifique (Hazel Court, 3 rôles chez le Corman) – et ça se termine dans un bain de sang revigorant) mais non, parce que fuck off les US (c’est la guerre froide avec l’outre-atlantique, sans doute parce que on ressentait (on ressent) plus de sympathie pour un communisme généreux que pour un capitalisme individué) (pardon, je m’égare) alors – mais concomitamment, entendons-nous bien – je crois que c’est la première image qui est venue avec ce P/E* qui débute (complètement) barré - Mario Bava est apparu (je l’aime bien, lui, il a commencé comme directeur photo puis peplums et compagnie et fantastiques et horreurs, giallo et tout le bazar : le cinéma italien dans toute sa splendeur populaire) – je ne suis pas certain qu’il ait commis un Maciste mais ce ne m’étonnerait qu’à moitié) adapté de Nicolas Gogol (une autre culture, tu vois) avec dans le rôle du personnage principal du poème une Barbara Steele formidable (des réglages et des images et des trucages sparadrap/ficelles/carton magnifiques) – je me souviens bien de la sortie de séance (à l’institut d’art et archéo, le ciné-club de la cinémathèque universitaire, avec l’ami Faroux ou l’amie Sylvie Rousseau ou les deux – on aimait le fantastique) émus et presque blessés par la vision du film) – attention quand même hein (en cette période de masques/gels/gestes barrières et compagnie, sans compter les wtf enseignes inessentielles fermées) prendre un masque homologué...- Le Masque du démon (Mario Bava, 1960) (coup de poing)
Clermont-Ferrand, semaine de la poésie, en mars 2024
Dunkerque, performance au LAAC, le 5 mai 2024
Hazebrouck, pour les 30 ans du Marais du livre, le 5 septembre 2024
VILLENEUVE D'ASCQ, le samedi 15 février 2025, à 16h, lecture publique en solo, dans le cadre de l'exposition "éd. etc." organisée par l'association "La belle époque" à L'Isolée, Galerie de La Belle Epoque, 17 chemin des Vieux Arbres, Villeneuve d’Ascq (Métro Hôtel de ville). Je lirai en priorité "Chapelet des Plages", un portefolio de poèmes sérigraphiés consacrés aux plages belges, de La Panne à Knokke-Le-Zoute. Entrée libre.
METZ, dans le cadre de Poema, à la librairie "Autour du monde" le 25 avril 2025 à 18h30, soirée Dernier Télégramme avec L. Suel et J. Boutonnier
BULLY LES MINES, le 15 novembre 2025, je serai présent au Salon du Livre organisé par la Médiathèque
TOULOUSE, le 13 janvier 2026, à La Cave Poésie René-Gouzenne, exposition, lecture-performance... plus d'informations bientôt
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2 Comments:
d’abord j’ai pensé à Corman (Roger) et son Masque de la mort rouge (adapté d’une nouvelle de Poe, traduite par le grand Charles) assez miraculeux (il y a là Vincent Price en prince Prospero et ça a toutes les qualités de la série b avant de devenir z – il y a aussi cette princesse magnifique (Hazel Court, 3 rôles chez le Corman) – et ça se termine dans un bain de sang revigorant) mais non, parce que fuck off les US (c’est la guerre froide avec l’outre-atlantique, sans doute parce que on ressentait (on ressent) plus de sympathie pour un communisme généreux que pour un capitalisme individué) (pardon, je m’égare) alors – mais concomitamment, entendons-nous bien – je crois que c’est la première image qui est venue avec ce P/E* qui débute (complètement) barré - Mario Bava est apparu (je l’aime bien, lui, il a commencé comme directeur photo puis peplums et compagnie et fantastiques et horreurs, giallo et tout le bazar : le cinéma italien dans toute sa splendeur populaire) – je ne suis pas certain qu’il ait commis un Maciste mais ce ne m’étonnerait qu’à moitié) adapté de Nicolas Gogol (une autre culture, tu vois) avec dans le rôle du personnage principal du poème une Barbara Steele formidable (des réglages et des images et des trucages sparadrap/ficelles/carton magnifiques) – je me souviens bien de la sortie de séance (à l’institut d’art et archéo, le ciné-club de la cinémathèque universitaire, avec l’ami Faroux ou l’amie Sylvie Rousseau ou les deux – on aimait le fantastique) émus et presque blessés par la vision du film) – attention quand même hein (en cette période de masques/gels/gestes barrières et compagnie, sans compter les wtf enseignes inessentielles fermées) prendre un masque homologué...- Le Masque du démon (Mario Bava, 1960) (coup de poing)
On aura quand me parlé de masque dans cette série.
Le Maciste est-il un humaniste ?
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