jeudi 30 septembre 2021

Poème express n° 880

posted by Lucien Suel at 07:21

2 Comments:

Anonymous Anonyme said...

(bien qu'il soit indiqué dans le P/E* une voix de femme, je crois que non, c'est plus une voix d'homme - on entend ce qu'on veut aussi - les essuie-glaces pointent peut-être vers une voiture mais en fait non, c'est un bateau) c'est un film étrange parce que "d'abord les sons" c'est vrai, c'est exactement ça, ça commence par la tempête - à l'intérieur du bateau - mais il n'y a pas de dialogue, il n'y a qu'un type (un navigateur, seul) vient d'être heurté par un container perdu sur l'océan - le trou dans la coque - non, mais ça va aller, pense-t-il - mais en vrai non, ça n'ira pas et il ira de déboires en naufrages, son bateau coule, il se retrouve sur son radeau de sauvetage, lequel se retourne dans la tempête, il parvient à le remettre à flots, épuisé, blessé, mais jamais battu, il cherchera à se faire voir en regagnant la route (maritime, certes) empruntée par les navires marchands mais rien n'y fait - on ne le voit pas,son radeau va couler, il va périr parce que l'espoir est perdu et tout est fini (all is lost, voilà), les blessures trop graves la fatigue trop lourde le froid terrible... c'est la nuit... la mer insensible et vide... il va se noyer il va mourir... dans le rôle (et dans l'eau...) Robert Redford, impérial (comme on dit) (mais mouillé - très) - film magnifique : All is lost (J.C. Chandor, 2013) (Jeffrey McDonald Chandor, J.C. est son nom de scène j'imagine, a réalisé aussi le magnifique Margin Call (2011) ) (la musique subtile et puissante mais spéciale : Alexandre Ebert, alias Edward Sharpe - récompensé d'un Golden globe de la meilleure musique en 2014)

08:56  
Anonymous ste said...

d'abord un claquement de femmetempête

11:51  

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