(bien qu'il soit indiqué dans le P/E* une voix de femme, je crois que non, c'est plus une voix d'homme - on entend ce qu'on veut aussi - les essuie-glaces pointent peut-être vers une voiture mais en fait non, c'est un bateau) c'est un film étrange parce que "d'abord les sons" c'est vrai, c'est exactement ça, ça commence par la tempête - à l'intérieur du bateau - mais il n'y a pas de dialogue, il n'y a qu'un type (un navigateur, seul) vient d'être heurté par un container perdu sur l'océan - le trou dans la coque - non, mais ça va aller, pense-t-il - mais en vrai non, ça n'ira pas et il ira de déboires en naufrages, son bateau coule, il se retrouve sur son radeau de sauvetage, lequel se retourne dans la tempête, il parvient à le remettre à flots, épuisé, blessé, mais jamais battu, il cherchera à se faire voir en regagnant la route (maritime, certes) empruntée par les navires marchands mais rien n'y fait - on ne le voit pas,son radeau va couler, il va périr parce que l'espoir est perdu et tout est fini (all is lost, voilà), les blessures trop graves la fatigue trop lourde le froid terrible... c'est la nuit... la mer insensible et vide... il va se noyer il va mourir... dans le rôle (et dans l'eau...) Robert Redford, impérial (comme on dit) (mais mouillé - très) - film magnifique : All is lost (J.C. Chandor, 2013) (Jeffrey McDonald Chandor, J.C. est son nom de scène j'imagine, a réalisé aussi le magnifique Margin Call (2011) ) (la musique subtile et puissante mais spéciale : Alexandre Ebert, alias Edward Sharpe - récompensé d'un Golden globe de la meilleure musique en 2014)
DOUAI, le 17 janvier, rencontre avec une classe de 1ère du Lycée Châtelet autour de mon dernier roman "Rivière"
BRUXELLES, les 31 mars et 1er avril, présence à la Foire du Livre, lecture publique en compagnie de Jacques Darras le vendredi soir dans le cadre d'un entretien avec Alexandra Oury et pendant les deux jours, le vendredi et le samedi matin, signature de mon roman "Rivière" sur le stand des éditions Cours toujours. Organisation par l'AR2L.
MONTREUIL SUR MER, 6 avril, à 19 h, dans la salle de musique de l'Hôtel Loysel Le Gaucher, avec la Fabrique poétique, lecture-performance sur le thème des jardins
METZ, les 15 et 16 avril, invité par le festival POEMA dans le cadre du "Livre à Metz". Signature de "Rivière" et participation à une table ronde le dimanche à 15 h sur "Le Vertige de l’amour" en compagnie de Fanny Chiarello pour son roman "L'Evaporée" écrit en duo avec Wendy Delorme (animation par Elodie Karaki). Signature sur le stand de la librairie "Autour du Monde".
AMIENS, le Réseau des maisons d'écrivain et des patrimoines littéraires des Hauts-de-France qui organise depuis 2016 le Festival Résonances, rencontres du patrimoine littéraire et de la création, m'invite à participer à la conclusion de sa journée d'étude qui se tiendra le 4 mai 2023 à l'Université de Picardie Jules Verne, Pôle Citadelle. Je participerai à la table ronde "Visages d'écrivains" avec des lectures d'extraits de mes ouvrages tout en répondant aux questions d'Alexandra Oury.
CHÂTEAU-THIERRY, le 13 mai, présence aux Rencontres poétiques, signatures et dédicaces, présentation à la médiathèque : "Poésie sonore au Nord" lecture-performance (20 mn)
HAZEBROUCK, le 17 mai, à 18 h 30, Musée des Augustins, salle Jonas, lecture publique de "La Justification de l'abbé Lemire", dans le cadre du festival Résonances 2023
PARIS, le 22 juin, dans le cadre des Périphéries du marché de la poésie et à l'occasion de la re-parution de la revue DOC(k)S, soirée de performance à la Bibliothèque Marguerite Audoux, avec Ségolène Thuillart, Natacha Guiller, Ma Desheng et Lucien Suel
SETE, du 21 au 29 juillet, invité au Festival Voix Vives...
LIMOGES, le 23 septembre, parution du "Livre des poèmes express" aux éditions du Dernier Télégramme
ALENÇON, du 14 au 16 octobre, invité au festival Poésie & Davantage
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(bien qu'il soit indiqué dans le P/E* une voix de femme, je crois que non, c'est plus une voix d'homme - on entend ce qu'on veut aussi - les essuie-glaces pointent peut-être vers une voiture mais en fait non, c'est un bateau) c'est un film étrange parce que "d'abord les sons" c'est vrai, c'est exactement ça, ça commence par la tempête - à l'intérieur du bateau - mais il n'y a pas de dialogue, il n'y a qu'un type (un navigateur, seul) vient d'être heurté par un container perdu sur l'océan - le trou dans la coque - non, mais ça va aller, pense-t-il - mais en vrai non, ça n'ira pas et il ira de déboires en naufrages, son bateau coule, il se retrouve sur son radeau de sauvetage, lequel se retourne dans la tempête, il parvient à le remettre à flots, épuisé, blessé, mais jamais battu, il cherchera à se faire voir en regagnant la route (maritime, certes) empruntée par les navires marchands mais rien n'y fait - on ne le voit pas,son radeau va couler, il va périr parce que l'espoir est perdu et tout est fini (all is lost, voilà), les blessures trop graves la fatigue trop lourde le froid terrible... c'est la nuit... la mer insensible et vide... il va se noyer il va mourir... dans le rôle (et dans l'eau...) Robert Redford, impérial (comme on dit) (mais mouillé - très) - film magnifique : All is lost (J.C. Chandor, 2013) (Jeffrey McDonald Chandor, J.C. est son nom de scène j'imagine, a réalisé aussi le magnifique Margin Call (2011) ) (la musique subtile et puissante mais spéciale : Alexandre Ebert, alias Edward Sharpe - récompensé d'un Golden globe de la meilleure musique en 2014)
d'abord un claquement de femmetempête
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