(génial le 808 - parfait) (on ne sait pas bien la raison pour laquelle s'entassent ainsi toutes ces factures, ces papiers, ces notes, ces mémos ce genre de choses mais c'est là - difficile de me comprendre moi-même : sans doute quand on voit cet étalage, se décide-t-on tout à trac - on hurle, on crie, on s'efforce de croire que ça sert à quelque chose ) (on crie : sauve qui peut !!!) (se sauve qui peut, serait plus adéquat) (on a droit à trois histoires (plus une) (comme les trois mousquetaires) (plus un épilogue) je galège mais le film est magique : Isabelle, Paul et Denise - dans les rôles Isabelle (Huppert), Jacques (Dutronc) et Nathalie (Baye)) (Isabelle fait la respectueuse (elle prend la place du réalisateur on dirait - car pour le cinéma (pense le réalisateur) qui ne se (prosti)tuerait ?) - Paul va mourir (bêtement, mais la mort est bête, par essence) - Denise (la maîtresse de Paul) l'a quitté (les plans d'elle à vélo sont saisissants de beauté - le ralenti sublime...) (sans doute trouve-t-on ici l'une des bornes de l'exercice commentatoire : ça ne se raconte pas, ça va se voir - le film a quarante ans, le revoir aujourd'hui, il est à peu près certain qu'il n'a pas tellement vieilli) (un film,d'ailleurs ne se raconte pas, comme on sait) (il a quelque chose du chef d'œuvre : JLG alors n'avait pas tourné depuis un moment, il s'y remettait) (il faudrait que je me renseigne sur le doublon à l'image : deux des plus féconds directeurs de la photo (de l'univers je dis bien), William Lubchanski et Renato Berta) musique de Gabriel Yared - jolie comme tout si on peu dire - merveille pratiquement absolue... Sauve qui peut (la vie) (Jean-Luc Godard, 1980) (c'est décidé, sans hésitation...!)
Je me garderai bien d'établir un palmarès pour les films de Godard que j'aime, car ils ont tous, à mes yeux, un "quelque chose" de particulier qui les rend uniques... et incomparables ! :-)
VILLENEUVE D'ASCQ, le samedi 15 février, à 16h, lecture publique en solo, dans le cadre de l'exposition "éd. etc." organisée par l'association "La belle époque" à L'Isolée, Galerie de La Belle Epoque, 17 chemin des Vieux Arbres, Villeneuve d’Ascq (Métro Hôtel de ville). Je lirai en priorité "Chapelet des Plages", un portefolio de poèmes sérigraphiés consacrés aux plages belges, de La Panne à Knokke-Le-Zoute. Entrée libre.
METZ, dans le cadre de Poema, à la librairie "Autour du monde" le 25 avril à 18h30, soirée Dernier Télégramme avec L. Suel et J. Boutonnier
BULLY LES MINES, le 15 novembre, je serai présent au Salon du Livre organisé par la Médiathèque
5 Comments:
bien trop bien trop bien trop plusieurs
@ste Trop bien !
(génial le 808 - parfait) (on ne sait pas bien la raison pour laquelle s'entassent ainsi toutes ces factures, ces papiers, ces notes, ces mémos ce genre de choses mais c'est là - difficile de me comprendre moi-même : sans doute quand on voit cet étalage, se décide-t-on tout à trac - on hurle, on crie, on s'efforce de croire que ça sert à quelque chose ) (on crie : sauve qui peut !!!) (se sauve qui peut, serait plus adéquat) (on a droit à trois histoires (plus une) (comme les trois mousquetaires) (plus un épilogue) je galège mais le film est magique : Isabelle, Paul et Denise - dans les rôles Isabelle (Huppert), Jacques (Dutronc) et Nathalie (Baye)) (Isabelle fait la respectueuse (elle prend la place du réalisateur on dirait - car pour le cinéma (pense le réalisateur) qui ne se (prosti)tuerait ?) - Paul va mourir (bêtement, mais la mort est bête, par essence) - Denise (la maîtresse de Paul) l'a quitté (les plans d'elle à vélo sont saisissants de beauté - le ralenti sublime...) (sans doute trouve-t-on ici l'une des bornes de l'exercice commentatoire : ça ne se raconte pas, ça va se voir - le film a quarante ans, le revoir aujourd'hui, il est à peu près certain qu'il n'a pas tellement vieilli) (un film,d'ailleurs ne se raconte pas, comme on sait) (il a quelque chose du chef d'œuvre : JLG alors n'avait pas tourné depuis un moment, il s'y remettait) (il faudrait que je me renseigne sur le doublon à l'image : deux des plus féconds directeurs de la photo (de l'univers je dis bien), William Lubchanski et Renato Berta) musique de Gabriel Yared - jolie comme tout si on peu dire - merveille pratiquement absolue... Sauve qui peut (la vie) (Jean-Luc Godard, 1980) (c'est décidé, sans hésitation...!)
@ "anonyme" (va, on t'a reconnu !)
Je me garderai bien d'établir un palmarès pour les films de Godard que j'aime, car ils ont tous, à mes yeux, un "quelque chose" de particulier qui les rend uniques... et incomparables ! :-)
Merci à tous.
Content de revoir Godard au Silo et de le savoir aussi toujours vivant
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