Je n'oublierai jamais ce petit tableau qui m'avait tellement bouleversée. Ton poème express me le rappelle. http://i.pinimg.com/originals/51/cd/06/51cd06652d4f64464c823e5bc862576a.jpg
(je suis un peu à côté mais ça ne fait rien, c'est le jeu) (je veux dire c'est le je) (enfin je me comprends - terrain miné que celui des mots) (je me souviens surtout de l'affiche, un petit môme qui court) (je me souviens aussi du film mais dans une mesure moindre) (en fait, c'est moi qui court en descendant la rue, j'apporte la bonne nouvelle : mes soeurs et mon frère viennent d'avoir le bac, il et elles le présentaient en candidats libres, réfractaires insoumis avant l'heure, je ne me souviens plus) (je divague, pardon) c'est un jeune type, Leo qui court porter un message à l'amant (Alan Bates) de la mère (Julie Christie : quelle beauté ...!) de son ami - adultère quand tu nous tiens - scénario Harold Pinter quand même; musique Michel Legrand aussi; images Gerry Fischer excusez du peu, à la mise en scène (bouteille de vodka à proximité, c'est un type que j'adore) Joseph Losey (le garçon aux cheveux verts irait d'ailleurs mieux avec le P/E* du jour, je reconnais - magnifique aussi, son premier long métrage, 1948) (toute sa filmographie est magnifique et longue comme le bras) (décédé en 84) (sur la liste noire du mac carthysme, cette période tellement dégueulasse de l'histoire des États-Unis - qui en connut d'autres - ces temps-ci par exemple au hasard) (je m'égare) (un des plus grands réalisateurs de cinéma du monde et de tout l'univers - on l'a croisé ici : *629 : The Servant; *680 : Eva) Le Messager, une merveille, 1971 (grand prix (ie palme d'or) à Cannes en 1971 - présidente du jury : Michèle Morgan)
DOUAI, le 17 janvier, rencontre avec une classe de 1ère du Lycée Châtelet autour de mon dernier roman "Rivière"
BRUXELLES, les 31 mars et 1er avril, présence à la Foire du Livre, lecture publique en compagnie de Jacques Darras le vendredi soir dans le cadre d'un entretien avec Alexandra Oury et pendant les deux jours, le vendredi et le samedi matin, signature de mon roman "Rivière" sur le stand des éditions Cours toujours. Organisation par l'AR2L.
MONTREUIL SUR MER, 6 avril, à 19 h, dans la salle de musique de l'Hôtel Loysel Le Gaucher, avec la Fabrique poétique, lecture-performance sur le thème des jardins
METZ, les 15 et 16 avril, invité par le festival POEMA dans le cadre du "Livre à Metz". Signature de "Rivière" et participation à une table ronde le dimanche à 15 h sur "Le Vertige de l’amour" en compagnie de Fanny Chiarello pour son roman "L'Evaporée" écrit en duo avec Wendy Delorme (animation par Elodie Karaki). Signature sur le stand de la librairie "Autour du Monde".
AMIENS, le Réseau des maisons d'écrivain et des patrimoines littéraires des Hauts-de-France qui organise depuis 2016 le Festival Résonances, rencontres du patrimoine littéraire et de la création, m'invite à participer à la conclusion de sa journée d'étude qui se tiendra le 4 mai 2023 à l'Université de Picardie Jules Verne, Pôle Citadelle. Je participerai à la table ronde "Visages d'écrivains" avec des lectures d'extraits de mes ouvrages tout en répondant aux questions d'Alexandra Oury.
CHÂTEAU-THIERRY, le 13 mai, présence aux Rencontres poétiques, signatures et dédicaces, présentation à la médiathèque : "Poésie sonore au Nord" lecture-performance (20 mn)
HAZEBROUCK, le 17 mai, à 18 h 30, Musée des Augustins, salle Jonas, lecture publique de "La Justification de l'abbé Lemire", dans le cadre du festival Résonances 2023
PARIS, le 22 juin, dans le cadre des Périphéries du marché de la poésie et à l'occasion de la re-parution de la revue DOC(k)S, soirée de performance à la Bibliothèque Marguerite Audoux, avec Ségolène Thuillart, Natacha Guiller, Ma Desheng et Lucien Suel
SETE, du 21 au 29 juillet, invité au Festival Voix Vives...
LIMOGES, le 23 septembre, parution du "Livre des poèmes express" aux éditions du Dernier Télégramme
ALENÇON, du 14 au 16 octobre, invité au festival Poésie & Davantage
5 Comments:
Je n'oublierai jamais ce petit tableau qui m'avait tellement bouleversée. Ton poème express me le rappelle.
http://i.pinimg.com/originals/51/cd/06/51cd06652d4f64464c823e5bc862576a.jpg
Zéo
(je suis un peu à côté mais ça ne fait rien, c'est le jeu) (je veux dire c'est le je) (enfin je me comprends - terrain miné que celui des mots) (je me souviens surtout de l'affiche, un petit môme qui court) (je me souviens aussi du film mais dans une mesure moindre) (en fait, c'est moi qui court en descendant la rue, j'apporte la bonne nouvelle : mes soeurs et mon frère viennent d'avoir le bac, il et elles le présentaient en candidats libres, réfractaires insoumis avant l'heure, je ne me souviens plus) (je divague, pardon) c'est un jeune type, Leo qui court porter un message à l'amant (Alan Bates) de la mère (Julie Christie : quelle beauté ...!) de son ami - adultère quand tu nous tiens - scénario Harold Pinter quand même; musique Michel Legrand aussi; images Gerry Fischer excusez du peu, à la mise en scène (bouteille de vodka à proximité, c'est un type que j'adore) Joseph Losey (le garçon aux cheveux verts irait d'ailleurs mieux avec le P/E* du jour, je reconnais - magnifique aussi, son premier long métrage, 1948) (toute sa filmographie est magnifique et longue comme le bras) (décédé en 84) (sur la liste noire du mac carthysme, cette période tellement dégueulasse de l'histoire des États-Unis - qui en connut d'autres - ces temps-ci par exemple au hasard) (je m'égare) (un des plus grands réalisateurs de cinéma du monde et de tout l'univers - on l'a croisé ici : *629 : The Servant; *680 : Eva) Le Messager, une merveille, 1971 (grand prix (ie palme d'or) à Cannes en 1971 - présidente du jury : Michèle Morgan)
les secondes frémirent sa maman
Merci à tous.
Merci, cher Lucien.
Zéo
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