(ça a l'air d'être une scène d'anthologie comme on dit - un peu comme "La grande bouffe" (Marco Ferreri, 1973) qu'on a adoré) (il m'est venu Eddie Constantine alias Lemmy Caution (JLG, 1965) mais non) (quelque chose de sérieux, peut-être - en tout cas, j'ai eu du mal - si je suis en retard, c'est pour ça) (rien ne force non plus à trop en faire dans le registre du vendredi matin) ("trop américain" me disais-je) (japonais ? russe (là, il y a Stalker (Andreï Tarkovski, 1979)? magnifique ambiance et profondeur, du merveilleux sans espoir - mais non non plus - il y a de la lumière aussi mais grise) alors c'est venu : il s'agi de Philippe Gerbier, il se rue dans cette espèce de long espace fermé, on lui dit de courir, il commence par refuser, on lui tire dans les pieds il est bien obligé et court, court court... Formidable Lino Ventura, magnifique Mathilde (Simone Signoret, sublime) et toute cette distribution (image Pierre Lhomme) Paul Meurisse (le supérieur, altier) ou Paul Crauchet (Félix) ou Jean-PIerre Cassel,Serge Reggiani enfin...- une merveille, dramatique, splendide, tragique, du vrai cinéma comme on l'aime (L'armée des ombres, Jean-Pierre Melville, 1969) sublime
VILLENEUVE D'ASCQ, le samedi 15 février, à 16h, lecture publique en solo, dans le cadre de l'exposition "éd. etc." organisée par l'association "La belle époque" à L'Isolée, Galerie de La Belle Epoque, 17 chemin des Vieux Arbres, Villeneuve d’Ascq (Métro Hôtel de ville). Je lirai en priorité "Chapelet des Plages", un portefolio de poèmes sérigraphiés consacrés aux plages belges, de La Panne à Knokke-Le-Zoute. Entrée libre.
METZ, dans le cadre de Poema, à la librairie "Autour du monde" le 25 avril à 18h30, soirée Dernier Télégramme avec L. Suel et J. Boutonnier
3 Comments:
(ça a l'air d'être une scène d'anthologie comme on dit - un peu comme "La grande bouffe" (Marco Ferreri, 1973) qu'on a adoré) (il m'est venu Eddie Constantine alias Lemmy Caution (JLG, 1965) mais non) (quelque chose de sérieux, peut-être - en tout cas, j'ai eu du mal - si je suis en retard, c'est pour ça) (rien ne force non plus à trop en faire dans le registre du vendredi matin) ("trop américain" me disais-je) (japonais ? russe (là, il y a Stalker (Andreï Tarkovski, 1979)? magnifique ambiance et profondeur, du merveilleux sans espoir - mais non non plus - il y a de la lumière aussi mais grise) alors c'est venu : il s'agi de Philippe Gerbier, il se rue dans cette espèce de long espace fermé, on lui dit de courir, il commence par refuser, on lui tire dans les pieds il est bien obligé et court, court court... Formidable Lino Ventura, magnifique Mathilde (Simone Signoret, sublime) et toute cette distribution (image Pierre Lhomme) Paul Meurisse (le supérieur, altier) ou Paul Crauchet (Félix) ou Jean-PIerre Cassel,Serge Reggiani enfin...- une merveille, dramatique, splendide, tragique, du vrai cinéma comme on l'aime (L'armée des ombres, Jean-Pierre Melville, 1969) sublime
passer sur la lumière
Celui-là, je le connais bien. Ombre et lumière.
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