(c'est au mot près une maxime énoncée par Michel Poiccard qui vient de voler une belle américaine (sans doute celle que prendra Robert Dhéry, l'année suivante :1961) et qui "remonte" vers Paris empruntant la nationale 7 (on est heureux, nationale 7 pas vrai ?) c'est surtout qu'il fait son numéro face caméra qui le rend célèbre je pense, ainsi conduit-il tout en se tournant vers, donc, le spectateur (ou la spectatrice, soyons juste) (lequel - ou laquelle, soyons juste - se trouve donc à la place du mort... - on suit ?) disant tout à trac - clopo au bec et chapeau sur la tête - "si vous n'aimez pas la mer..." (tourne ta tête, regarde la route, puis retour) "si vous n'aimez pas la montagne..." (même jeu) "si vous n'aimez pas la ville..." (à nouveau, et pour finir assez vulgairement, n'est-ce pas) "allez vous faire foutre...!" (panneau droite gauche qui montre la route sur laquelle le Poiccard en question va bientôt flinguer un flic (lequel le poursuivait pour franchissement de ligne blanche continue) - plus tard, on entendra une autre réplique à porter au Panthéon des dialogues, dite par Patricia (l'amoureuse à Poiccard mais qui ne veut plus de lui) passant sur ses lèvres à la manière d'Humphrey Bogart son pouce " mais qu'est-ce que c'est, dégueulasse ?" (on aura vu en caméo non loin des Champs Elysées le réalisateur dénoncer à la police le même Poiccard; et le réalisateur Jean-PIerre Melville en écrivain nommé Parvulesco répondre (sur le Jetée chère à Chris Marker) (car tout se tient) (à Orly, je ne sais si c'était un dimanche...) aux questions un peu niaises de la Patricia) (enfin tout ça) (ouf !) (A bout de souffle, Jean-Luc Godard, 1960)(dans le rôle du Poiccard : l'inénarrable Bébel aka Jean-Paul Belmondo, dans celui de la Franchescini Patricia le charme incarné cheveux courts : Jean Seberg...)
4 Comments:
Et comme on ne vomit pas facilement, LATDChat s'en balance.
Zéo
(c'est au mot près une maxime énoncée par Michel Poiccard qui vient de voler une belle américaine (sans doute celle que prendra Robert Dhéry, l'année suivante :1961) et qui "remonte" vers Paris empruntant la nationale 7 (on est heureux, nationale 7 pas vrai ?) c'est surtout qu'il fait son numéro face caméra qui le rend célèbre je pense, ainsi conduit-il tout en se tournant vers, donc, le spectateur (ou la spectatrice, soyons juste) (lequel - ou laquelle, soyons juste - se trouve donc à la place du mort... - on suit ?) disant tout à trac - clopo au bec et chapeau sur la tête - "si vous n'aimez pas la mer..." (tourne ta tête, regarde la route, puis retour) "si vous n'aimez pas la montagne..." (même jeu) "si vous n'aimez pas la ville..." (à nouveau, et pour finir assez vulgairement, n'est-ce pas) "allez vous faire foutre...!" (panneau droite gauche qui montre la route sur laquelle le Poiccard en question va bientôt flinguer un flic (lequel le poursuivait pour franchissement de ligne blanche continue) - plus tard, on entendra une autre réplique à porter au Panthéon des dialogues, dite par Patricia (l'amoureuse à Poiccard mais qui ne veut plus de lui) passant sur ses lèvres à la manière d'Humphrey Bogart son pouce " mais qu'est-ce que c'est, dégueulasse ?" (on aura vu en caméo non loin des Champs Elysées le réalisateur dénoncer à la police le même Poiccard; et le réalisateur Jean-PIerre Melville en écrivain nommé Parvulesco répondre (sur le Jetée chère à Chris Marker) (car tout se tient) (à Orly, je ne sais si c'était un dimanche...) aux questions un peu niaises de la Patricia) (enfin tout ça) (ouf !) (A bout de souffle, Jean-Luc Godard, 1960)(dans le rôle du Poiccard : l'inénarrable Bébel aka Jean-Paul Belmondo, dans celui de la Franchescini Patricia le charme incarné cheveux courts : Jean Seberg...)
c'est trop foutre
C'est clair et fou. Après le sang du dernier, folie et foutre. Quelle année !
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