(les cupcakes étaient noir et blanc et délicieux oui - un des poèmes du film (le film est un poème c'est pour ça tu comprends bien) raconte qu'on a mangé ce qui restait, désolé c'était trop bon) (signé Williams Carlos Williams) ("This is just to say")(juste pour dire) une histoire merveilleuse d'amour (le réalisateur sait magnifiquement montrer l'amour que se portent ses héros (voir "Only lovers left alive" merveille des merveilles de l'amour mutuel qui unit deux (vampires, peut-être, mais deux) êtres quand même) ici le type conduit des bus dans une ville (elle donne son nom au film) (elle est un des personnages) (le nom du type c'est celui de la ville - il écrit des poèmes) il a un chien (Marvin - Nellie) qui emmerde le monde - il écrit des poèmes ce conducteur de bus nommé Paterson (Adam Driver, formidable) (il est bien aussi dans le "Annette" de Léos Carax) (je dis ça comme ça) sa compagne Laura (Golshifteh Farahani) cuisine donc des petits gâteaux noir et blanc (elle est vêtue de noir et blanc et l'intérieur de la maison est du même tonneau : formidable) - tout le film est formidable- un poème (si Chantal Akerman disait vouloir parler à l'inconscient des spectateur.es, Jim Jarmusch (c'est lui le réalisateur) parle à leurs rêves - et c'est parfaitement réussi - magique et simple, comme ton 916 Lucien - Paterson (Jim Jarmusch, 2016 - il a ourdi aussi la musique) (la production porte cependant le sourire (immonde) de ses cartons : comment faire sans argent ? ici budget 5 millions de dollars quand même - c'est ça, le cinéma) (aussi)
VILLENEUVE D'ASCQ, le samedi 15 février, à 16h, lecture publique en solo, dans le cadre de l'exposition "éd. etc." organisée par l'association "La belle époque" à L'Isolée, Galerie de La Belle Epoque, 17 chemin des Vieux Arbres, Villeneuve d’Ascq (Métro Hôtel de ville). Je lirai en priorité "Chapelet des Plages", un portefolio de poèmes sérigraphiés consacrés aux plages belges, de La Panne à Knokke-Le-Zoute. Entrée libre.
METZ, dans le cadre de Poema, à la librairie "Autour du monde" le 25 avril à 18h30, soirée Dernier Télégramme avec L. Suel et J. Boutonnier
5 Comments:
(les cupcakes étaient noir et blanc
et délicieux oui -
un des poèmes du film (le film est un poème c'est pour ça tu comprends bien) raconte qu'on a mangé ce qui restait, désolé c'était trop bon) (signé Williams Carlos Williams) ("This is just to say")(juste pour dire)
une histoire merveilleuse d'amour (le réalisateur sait magnifiquement montrer l'amour que se portent ses héros (voir "Only lovers left alive" merveille des merveilles de l'amour mutuel qui unit deux (vampires, peut-être, mais deux) êtres quand même) ici le type conduit des bus dans une ville (elle donne son nom au film) (elle est un des personnages) (le nom du type c'est celui de la ville - il écrit des poèmes) il a un chien (Marvin - Nellie) qui emmerde le monde - il écrit des poèmes ce conducteur de bus nommé Paterson (Adam Driver, formidable) (il est bien aussi dans le "Annette" de Léos Carax) (je dis ça comme ça) sa compagne Laura (Golshifteh Farahani) cuisine donc des petits gâteaux noir et blanc (elle est vêtue de noir et blanc et l'intérieur de la maison est du même tonneau : formidable) - tout le film est formidable- un poème (si Chantal Akerman disait vouloir parler à l'inconscient des spectateur.es, Jim Jarmusch (c'est lui le réalisateur) parle à leurs rêves - et c'est parfaitement réussi - magique et simple, comme ton 916 Lucien - Paterson (Jim Jarmusch, 2016 - il a ourdi aussi la musique) (la production porte cependant le sourire (immonde) de ses cartons : comment faire sans argent ? ici budget 5 millions de dollars quand même - c'est ça, le cinéma) (aussi)
Oui, nous (la famille) avons beaucoup aimé ce film inoubliable
la moitié de la moitié de rien
@ste pas mal ! 0 divisé par 4 = 0
Merci maître :)
C'est exactement ça, le rien vaut son quart.
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