(il est là, on ne va pas l'enlever mais le dernier mot - interjeté - ne convient que peu - encore que je ne sois pas certain qu'on n'y trouve pas un clébard - mais n'importe) la vieille, c'est juste Bette Davis (jt'en parle même pas tellement elle envoie grâââve) il y là Pepino (Alberto Sordi), son épouse (Antonia, un peu avide quand même - peut-être bien moins que lui et en tout cas moins aveugle àsa condition ) (Silvana Mangano, formidable évidemment - par essence...) tout le petit peuple pauvre (il y aussi le fait que Monica vient de tirer sa révérence hier, quatre-vingt dix peut-être,mais ça fait une espèce de peine) (alors le poème est pour elle : exactement, parce que c'est (c'est et ce sera pour toujours) exactement aussi elle) il y a évidemment aussi le jeu (certainement pas le poker stuveux) il y a aussi le fac-totum (Joseph Cotten, jésuite endiablé) on joue, tous les ans parce que tous ans elle rapplique et tous les ans on va la plumer - enfin c'est ce dont on rêve - on va jouer on joue - on rit (un peu jaune parfois) (mais on rit parce qu'on est vivant - extrêmement - la vie est dure mais on espère - et on rit) une merveille un diamant (comme le poème, comme Monica) (et comme Bette et Silvana) - Lo scopone scientifico (traduit vulgairement par L'argent de la vieille - les distributeurs sont des butors) (Luigi Comencini, 1972) (au scénario Rodolfo Sonego, ami de presque enfance d'Alberto Sordi et qui continuera d'écrire les scénarios de l'acteur quand celui-ci réalisera ses propres films)
VILLENEUVE D'ASCQ, le samedi 15 février, à 16h, lecture publique en solo, dans le cadre de l'exposition "éd. etc." organisée par l'association "La belle époque" à L'Isolée, Galerie de La Belle Epoque, 17 chemin des Vieux Arbres, Villeneuve d’Ascq (Métro Hôtel de ville). Je lirai en priorité "Chapelet des Plages", un portefolio de poèmes sérigraphiés consacrés aux plages belges, de La Panne à Knokke-Le-Zoute. Entrée libre.
METZ, dans le cadre de Poema, à la librairie "Autour du monde" le 25 avril à 18h30, soirée Dernier Télégramme avec L. Suel et J. Boutonnier
BULLY LES MINES, le 15 novembre, je serai présent au Salon du Livre organisé par la Médiathèque
2 Comments:
pourrir de rire
(il est là, on ne va pas l'enlever mais le dernier mot - interjeté - ne convient que peu - encore que je ne sois pas certain qu'on n'y trouve pas un clébard - mais n'importe) la vieille, c'est juste Bette Davis (jt'en parle même pas tellement elle envoie grâââve) il y là Pepino (Alberto Sordi), son épouse (Antonia, un peu avide quand même - peut-être bien moins que lui et en tout cas moins aveugle àsa condition ) (Silvana Mangano, formidable évidemment - par essence...) tout le petit peuple pauvre (il y aussi le fait que Monica vient de tirer sa révérence hier, quatre-vingt dix peut-être,mais ça fait une espèce de peine) (alors le poème est pour elle : exactement, parce que c'est (c'est et ce sera pour toujours) exactement aussi elle) il y a évidemment aussi le jeu (certainement pas le poker stuveux) il y a aussi le fac-totum (Joseph Cotten, jésuite endiablé) on joue, tous les ans parce que tous ans elle rapplique et tous les ans on va la plumer - enfin c'est ce dont on rêve - on va jouer on joue - on rit (un peu jaune parfois) (mais on rit parce qu'on est vivant - extrêmement - la vie est dure mais on espère - et on rit) une merveille un diamant (comme le poème, comme Monica) (et comme Bette et Silvana) - Lo scopone scientifico (traduit vulgairement par L'argent de la vieille - les distributeurs sont des butors) (Luigi Comencini, 1972) (au scénario Rodolfo Sonego, ami de presque enfance d'Alberto Sordi et qui continuera d'écrire les scénarios de l'acteur quand celui-ci réalisera ses propres films)
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