jeudi 3 février 2022

Poème express n° 915

posted by Lucien Suel at 07:12

2 Comments:

Anonymous ste said...

pourrir de rire

08:25  
Anonymous Anonyme said...

(il est là, on ne va pas l'enlever mais le dernier mot - interjeté - ne convient que peu - encore que je ne sois pas certain qu'on n'y trouve pas un clébard - mais n'importe) la vieille, c'est juste Bette Davis (jt'en parle même pas tellement elle envoie grâââve) il y là Pepino (Alberto Sordi), son épouse (Antonia, un peu avide quand même - peut-être bien moins que lui et en tout cas moins aveugle àsa condition ) (Silvana Mangano, formidable évidemment - par essence...) tout le petit peuple pauvre (il y aussi le fait que Monica vient de tirer sa révérence hier, quatre-vingt dix peut-être,mais ça fait une espèce de peine) (alors le poème est pour elle : exactement, parce que c'est (c'est et ce sera pour toujours) exactement aussi elle) il y a évidemment aussi le jeu (certainement pas le poker stuveux) il y a aussi le fac-totum (Joseph Cotten, jésuite endiablé) on joue, tous les ans parce que tous ans elle rapplique et tous les ans on va la plumer - enfin c'est ce dont on rêve - on va jouer on joue - on rit (un peu jaune parfois) (mais on rit parce qu'on est vivant - extrêmement - la vie est dure mais on espère - et on rit) une merveille un diamant (comme le poème, comme Monica) (et comme Bette et Silvana) - Lo scopone scientifico (traduit vulgairement par L'argent de la vieille - les distributeurs sont des butors) (Luigi Comencini, 1972) (au scénario Rodolfo Sonego, ami de presque enfance d'Alberto Sordi et qui continuera d'écrire les scénarios de l'acteur quand celui-ci réalisera ses propres films)

11:53  

Enregistrer un commentaire

<< Home