(il est là, on ne va pas l'enlever mais le dernier mot - interjeté - ne convient que peu - encore que je ne sois pas certain qu'on n'y trouve pas un clébard - mais n'importe) la vieille, c'est juste Bette Davis (jt'en parle même pas tellement elle envoie grâââve) il y là Pepino (Alberto Sordi), son épouse (Antonia, un peu avide quand même - peut-être bien moins que lui et en tout cas moins aveugle àsa condition ) (Silvana Mangano, formidable évidemment - par essence...) tout le petit peuple pauvre (il y aussi le fait que Monica vient de tirer sa révérence hier, quatre-vingt dix peut-être,mais ça fait une espèce de peine) (alors le poème est pour elle : exactement, parce que c'est (c'est et ce sera pour toujours) exactement aussi elle) il y a évidemment aussi le jeu (certainement pas le poker stuveux) il y a aussi le fac-totum (Joseph Cotten, jésuite endiablé) on joue, tous les ans parce que tous ans elle rapplique et tous les ans on va la plumer - enfin c'est ce dont on rêve - on va jouer on joue - on rit (un peu jaune parfois) (mais on rit parce qu'on est vivant - extrêmement - la vie est dure mais on espère - et on rit) une merveille un diamant (comme le poème, comme Monica) (et comme Bette et Silvana) - Lo scopone scientifico (traduit vulgairement par L'argent de la vieille - les distributeurs sont des butors) (Luigi Comencini, 1972) (au scénario Rodolfo Sonego, ami de presque enfance d'Alberto Sordi et qui continuera d'écrire les scénarios de l'acteur quand celui-ci réalisera ses propres films)
DOUAI, le 17 janvier, rencontre avec une classe de 1ère du Lycée Châtelet autour de mon dernier roman "Rivière"
BRUXELLES, les 31 mars et 1er avril, présence à la Foire du Livre, lecture publique en compagnie de Jacques Darras le vendredi soir dans le cadre d'un entretien avec Alexandra Oury et pendant les deux jours, le vendredi et le samedi matin, signature de mon roman "Rivière" sur le stand des éditions Cours toujours. Organisation par l'AR2L.
MONTREUIL SUR MER, 6 avril, à 19 h, dans la salle de musique de l'Hôtel Loysel Le Gaucher, avec la Fabrique poétique, lecture-performance sur le thème des jardins
METZ, les 15 et 16 avril, invité par le festival POEMA dans le cadre du "Livre à Metz". Signature de "Rivière" et participation à une table ronde le dimanche à 15 h sur "Le Vertige de l’amour" en compagnie de Fanny Chiarello pour son roman "L'Evaporée" écrit en duo avec Wendy Delorme (animation par Elodie Karaki). Signature sur le stand de la librairie "Autour du Monde".
AMIENS, le Réseau des maisons d'écrivain et des patrimoines littéraires des Hauts-de-France qui organise depuis 2016 le Festival Résonances, rencontres du patrimoine littéraire et de la création, m'invite à participer à la conclusion de sa journée d'étude qui se tiendra le 4 mai 2023 à l'Université de Picardie Jules Verne, Pôle Citadelle. Je participerai à la table ronde "Visages d'écrivains" avec des lectures d'extraits de mes ouvrages tout en répondant aux questions d'Alexandra Oury.
CHÂTEAU-THIERRY, le 13 mai, présence aux Rencontres poétiques, signatures et dédicaces, présentation à la médiathèque : "Poésie sonore au Nord" lecture-performance (20 mn)
HAZEBROUCK, le 17 mai, à 18 h 30, Musée des Augustins, salle Jonas, lecture publique de "La Justification de l'abbé Lemire", dans le cadre du festival Résonances 2023
PARIS, le 22 juin, dans le cadre des Périphéries du marché de la poésie et à l'occasion de la re-parution de la revue DOC(k)S, soirée de performance à la Bibliothèque Marguerite Audoux, avec Ségolène Thuillart, Natacha Guiller, Ma Desheng et Lucien Suel
SETE, du 21 au 29 juillet, invité au Festival Voix Vives...
LIMOGES, le 23 septembre, parution du "Livre des poèmes express" aux éditions du Dernier Télégramme
ALENÇON, du 14 au 16 octobre, invité au festival Poésie & Davantage
2 Comments:
pourrir de rire
(il est là, on ne va pas l'enlever mais le dernier mot - interjeté - ne convient que peu - encore que je ne sois pas certain qu'on n'y trouve pas un clébard - mais n'importe) la vieille, c'est juste Bette Davis (jt'en parle même pas tellement elle envoie grâââve) il y là Pepino (Alberto Sordi), son épouse (Antonia, un peu avide quand même - peut-être bien moins que lui et en tout cas moins aveugle àsa condition ) (Silvana Mangano, formidable évidemment - par essence...) tout le petit peuple pauvre (il y aussi le fait que Monica vient de tirer sa révérence hier, quatre-vingt dix peut-être,mais ça fait une espèce de peine) (alors le poème est pour elle : exactement, parce que c'est (c'est et ce sera pour toujours) exactement aussi elle) il y a évidemment aussi le jeu (certainement pas le poker stuveux) il y a aussi le fac-totum (Joseph Cotten, jésuite endiablé) on joue, tous les ans parce que tous ans elle rapplique et tous les ans on va la plumer - enfin c'est ce dont on rêve - on va jouer on joue - on rit (un peu jaune parfois) (mais on rit parce qu'on est vivant - extrêmement - la vie est dure mais on espère - et on rit) une merveille un diamant (comme le poème, comme Monica) (et comme Bette et Silvana) - Lo scopone scientifico (traduit vulgairement par L'argent de la vieille - les distributeurs sont des butors) (Luigi Comencini, 1972) (au scénario Rodolfo Sonego, ami de presque enfance d'Alberto Sordi et qui continuera d'écrire les scénarios de l'acteur quand celui-ci réalisera ses propres films)
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