jeudi 27 août 2020

Poème express n° 781

posted by Lucien Suel at 07:55

3 Comments:

Anonymous Anonyme said...

(trop bien) (l'ambiance moissons non ?) (j'adore) immédiatement c'est ce que je préfère (en même temps(comme on dit dans les hautes sphères de l'immonde contemporain) les incendies, moi, j'en ai subi et ça ne me plait pas du tout) (mais n'importe c'est cinégénique, c'est indiscutable (l'avant dernier plan du Sacrifice (Andreï Tarkovski, 1986) en donne une belle image mais ce n'est pas le cas ici) (c'est l'été : c'est Abby et Bill - je me souviens surtout du tournevis - un drame, une tragédie pratiquement - une merveille - dans les jaunes, dans les blés, dans cette campagne brute et incivilisée) (Abby : inoubliable Brooke Adams - après, elle a bifurqué...) (il y a des fois ou Malick (il s'agit d'un de ses films) tient le bon bout) (parfois il déraille complètement, le malheureux)(mais pas là)(Bill: Richard Gere vingt neuf ans cette jeunesse...) le fermier est magnifique (Sam Shepard) les champs de blé mûrs et la moisson du ciel (Les Moissons du ciel, Terrence Malick donc, 1978) (titre original : Days of Heaven,les jours du paradis : on aurait certainement confusé, tu sais comment on est) image de Nestor Almendros, l'un des meilleurs du monde et de tout l'univers du cinéma - arraché à notre affection en 1992...) (et musique Ennio Morricone (récemment parti,lui),entre autres (on a droit aussi à Saint-Saëns et son carnaval des animaux) (trop bien)

10:28  
Blogger Lucien Suel said...

"Les moissons du ciel", un de mes films préférés. J'ai repris le titre, comme expression, dans deux de mes romans, "Blanche étincelle" (y a un lien) et le nouveau, encore inédit "Rivière"

12:24  
Anonymous ste said...

dévorant ce monde

15:57  

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