(le poème express me fait un joli signe : le film du jour sera donc assez confidentiel - tant mieux) - le réalisateur est un ami - on sait donc beaucoup de choses sur les conditions de tournages (entre 2010 et 2012) auto-produit - un fixeur, des amis, l'inconnaissance du dialecte local - l'ukrainien - mais pas d'échelle, un ascenseur qui descend à moins 480 mètres - on extrait là du charbon - il y a pas mal de flotte - pas de lumière pas d'air mais les chevaux ont été abandonnés en 1994...- et en montage parallèle, la cérémonie du "Jour du Mineur" où on remet des insignes stakhanovistes (m'a-t-il semblé) à des personnages qui viennent, reçoivent une rose des mains d'une gonzesse en robe un papier à ruban de la direction et parfois un baiser sur la bouche du contrôleur - on mange on se nourrit on boit de la vodka comme moi de l'eau (c'est-à-dire beaucoup trop) - ce n'est pas montré dans le film, mais dit ensuite de la projection), on mange de l'ail - on descend au fond - on remonte on se douche... la mine quoi... formidable de liberté - Le Jour du mineur (Gaël Mocaër, 2013)
VILLENEUVE D'ASCQ, le samedi 15 février, à 16h, lecture publique en solo, dans le cadre de l'exposition "éd. etc." organisée par l'association "La belle époque" à L'Isolée, Galerie de La Belle Epoque, 17 chemin des Vieux Arbres, Villeneuve d’Ascq (Métro Hôtel de ville). Je lirai en priorité "Chapelet des Plages", un portefolio de poèmes sérigraphiés consacrés aux plages belges, de La Panne à Knokke-Le-Zoute. Entrée libre.
METZ, dans le cadre de Poema, à la librairie "Autour du monde" le 25 avril à 18h30, soirée Dernier Télégramme avec L. Suel et J. Boutonnier
2 Comments:
(le poème express me fait un joli signe : le film du jour sera donc assez confidentiel - tant mieux) - le réalisateur est un ami - on sait donc beaucoup de choses sur les conditions de tournages (entre 2010 et 2012) auto-produit - un fixeur, des amis, l'inconnaissance du dialecte local - l'ukrainien - mais pas d'échelle, un ascenseur qui descend à moins 480 mètres - on extrait là du charbon - il y a pas mal de flotte - pas de lumière pas d'air mais les chevaux ont été abandonnés en 1994...- et en montage parallèle, la cérémonie du "Jour du Mineur" où on remet des insignes stakhanovistes (m'a-t-il semblé) à des personnages qui viennent, reçoivent une rose des mains d'une gonzesse en robe un papier à ruban de la direction et parfois un baiser sur la bouche du contrôleur - on mange on se nourrit on boit de la vodka comme moi de l'eau (c'est-à-dire beaucoup trop) - ce n'est pas montré dans le film, mais dit ensuite de la projection), on mange de l'ail - on descend au fond - on remonte on se douche... la mine quoi... formidable de liberté - Le Jour du mineur (Gaël Mocaër, 2013)
des mètres cubes de trou
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