il y a cette façon de concevoir les relations - la trahison, le manque de respect ces choses-là qui viennent peut-être parfois avec les étrangers, les nouveaux venus, un peu comme le début de "madame Bovary" - un peu de ça (évidemment, les lasagnes ont quelque chose d'un peu déplacé mais ça ne fait rien c'est quand même le jeu) - cette façon d'avoir et de garder sa dignité - c'est une histoire terrible, cette terreur de la guerre, la deuxième mondiale - elle fait aussi penser à celle de Perec dans ces moments-là - alors une histoire "vraie" réellement vécue par le réalisateur - une mise en scène au cordeau,une interprétation formidable de jeunes gens - après dix ans en Amérique,Louis Malle revient en France - une espèce de fantôme qui passe - ces gens ces enfants comme dans la chanson des boutons dorés (Barbara ou Jean-Jacques Debout) cette manière de dissimuler - cette terreur à la vie à la mort - et tout à coup ils ne sont plus là - formidable film (très césarisé, et lion d'or à Venise 1987) - Au revoir les enfants (Louis Malle, 1987) (image Renato Berta, splendide)(décor Willy Holt césarisé) (je découvre,bouleversé, que les enfants sont envoyés à Auschwitz dans le convoi 67 dans lequel se trouvait et Willy et le père de mon père)
DOUAI, le 17 janvier, rencontre avec une classe de 1ère du Lycée Châtelet autour de mon dernier roman "Rivière"
BRUXELLES, les 31 mars et 1er avril, présence à la Foire du Livre, lecture publique en compagnie de Jacques Darras le vendredi soir dans le cadre d'un entretien avec Alexandra Oury et pendant les deux jours, le vendredi et le samedi matin, signature de mon roman "Rivière" sur le stand des éditions Cours toujours. Organisation par l'AR2L.
MONTREUIL SUR MER, 6 avril, à 19 h, dans la salle de musique de l'Hôtel Loysel Le Gaucher, avec la Fabrique poétique, lecture-performance sur le thème des jardins
METZ, les 15 et 16 avril, invité par le festival POEMA dans le cadre du "Livre à Metz". Signature de "Rivière" et participation à une table ronde le dimanche à 15 h sur "Le Vertige de l’amour" en compagnie de Fanny Chiarello pour son roman "L'Evaporée" écrit en duo avec Wendy Delorme (animation par Elodie Karaki). Signature sur le stand de la librairie "Autour du Monde".
AMIENS, le Réseau des maisons d'écrivain et des patrimoines littéraires des Hauts-de-France qui organise depuis 2016 le Festival Résonances, rencontres du patrimoine littéraire et de la création, m'invite à participer à la conclusion de sa journée d'étude qui se tiendra le 4 mai 2023 à l'Université de Picardie Jules Verne, Pôle Citadelle. Je participerai à la table ronde "Visages d'écrivains" avec des lectures d'extraits de mes ouvrages tout en répondant aux questions d'Alexandra Oury.
CHÂTEAU-THIERRY, le 13 mai, présence aux Rencontres poétiques, signatures et dédicaces, présentation à la médiathèque : "Poésie sonore au Nord" lecture-performance (20 mn)
HAZEBROUCK, le 17 mai, à 18 h 30, Musée des Augustins, salle Jonas, lecture publique de "La Justification de l'abbé Lemire", dans le cadre du festival Résonances 2023
PARIS, le 22 juin, dans le cadre des Périphéries du marché de la poésie et à l'occasion de la re-parution de la revue DOC(k)S, soirée de performance à la Bibliothèque Marguerite Audoux, avec Ségolène Thuillart, Natacha Guiller, Ma Desheng et Lucien Suel
SETE, du 21 au 29 juillet, invité au Festival Voix Vives...
LIMOGES, le 23 septembre, parution du "Livre des poèmes express" aux éditions du Dernier Télégramme
ALENÇON, du 14 au 16 octobre, invité au festival Poésie & Davantage
2 Comments:
tu m'avais manqué de respect devant ses lasagnes
il y a cette façon de concevoir les relations - la trahison, le manque de respect ces choses-là qui viennent peut-être parfois avec les étrangers, les nouveaux venus, un peu comme le début de "madame Bovary" - un peu de ça (évidemment, les lasagnes ont quelque chose d'un peu déplacé mais ça ne fait rien c'est quand même le jeu) - cette façon d'avoir et de garder sa dignité - c'est une histoire terrible, cette terreur de la guerre, la deuxième mondiale - elle fait aussi penser à celle de Perec dans ces moments-là - alors une histoire "vraie" réellement vécue par le réalisateur - une mise en scène au cordeau,une interprétation formidable de jeunes gens - après dix ans en Amérique,Louis Malle revient en France - une espèce de fantôme qui passe - ces gens ces enfants comme dans la chanson des boutons dorés (Barbara ou Jean-Jacques Debout) cette manière de dissimuler - cette terreur à la vie à la mort - et tout à coup ils ne sont plus là - formidable film (très césarisé, et lion d'or à Venise 1987) - Au revoir les enfants (Louis Malle, 1987) (image Renato Berta, splendide)(décor Willy Holt césarisé) (je découvre,bouleversé, que les enfants sont envoyés à Auschwitz dans le convoi 67 dans lequel se trouvait et Willy et le père de mon père)
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