il y a cette façon de concevoir les relations - la trahison, le manque de respect ces choses-là qui viennent peut-être parfois avec les étrangers, les nouveaux venus, un peu comme le début de "madame Bovary" - un peu de ça (évidemment, les lasagnes ont quelque chose d'un peu déplacé mais ça ne fait rien c'est quand même le jeu) - cette façon d'avoir et de garder sa dignité - c'est une histoire terrible, cette terreur de la guerre, la deuxième mondiale - elle fait aussi penser à celle de Perec dans ces moments-là - alors une histoire "vraie" réellement vécue par le réalisateur - une mise en scène au cordeau,une interprétation formidable de jeunes gens - après dix ans en Amérique,Louis Malle revient en France - une espèce de fantôme qui passe - ces gens ces enfants comme dans la chanson des boutons dorés (Barbara ou Jean-Jacques Debout) cette manière de dissimuler - cette terreur à la vie à la mort - et tout à coup ils ne sont plus là - formidable film (très césarisé, et lion d'or à Venise 1987) - Au revoir les enfants (Louis Malle, 1987) (image Renato Berta, splendide)(décor Willy Holt césarisé) (je découvre,bouleversé, que les enfants sont envoyés à Auschwitz dans le convoi 67 dans lequel se trouvait et Willy et le père de mon père)
VILLENEUVE D'ASCQ, le samedi 15 février, à 16h, lecture publique en solo, dans le cadre de l'exposition "éd. etc." organisée par l'association "La belle époque" à L'Isolée, Galerie de La Belle Epoque, 17 chemin des Vieux Arbres, Villeneuve d’Ascq (Métro Hôtel de ville). Je lirai en priorité "Chapelet des Plages", un portefolio de poèmes sérigraphiés consacrés aux plages belges, de La Panne à Knokke-Le-Zoute. Entrée libre.
METZ, dans le cadre de Poema, à la librairie "Autour du monde" le 25 avril à 18h30, soirée Dernier Télégramme avec L. Suel et J. Boutonnier
BULLY LES MINES, le 15 novembre, je serai présent au Salon du Livre organisé par la Médiathèque
2 Comments:
tu m'avais manqué de respect devant ses lasagnes
il y a cette façon de concevoir les relations - la trahison, le manque de respect ces choses-là qui viennent peut-être parfois avec les étrangers, les nouveaux venus, un peu comme le début de "madame Bovary" - un peu de ça (évidemment, les lasagnes ont quelque chose d'un peu déplacé mais ça ne fait rien c'est quand même le jeu) - cette façon d'avoir et de garder sa dignité - c'est une histoire terrible, cette terreur de la guerre, la deuxième mondiale - elle fait aussi penser à celle de Perec dans ces moments-là - alors une histoire "vraie" réellement vécue par le réalisateur - une mise en scène au cordeau,une interprétation formidable de jeunes gens - après dix ans en Amérique,Louis Malle revient en France - une espèce de fantôme qui passe - ces gens ces enfants comme dans la chanson des boutons dorés (Barbara ou Jean-Jacques Debout) cette manière de dissimuler - cette terreur à la vie à la mort - et tout à coup ils ne sont plus là - formidable film (très césarisé, et lion d'or à Venise 1987) - Au revoir les enfants (Louis Malle, 1987) (image Renato Berta, splendide)(décor Willy Holt césarisé) (je découvre,bouleversé, que les enfants sont envoyés à Auschwitz dans le convoi 67 dans lequel se trouvait et Willy et le père de mon père)
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