c'est une action dramatique, vraiment dramatique - on rit parfois, mais c'est vraiment une terreur - la fin du film, vraiment déchirant (un peu comme dans ces narrations où c'est complètement inexorable (Fuller et "Shock Corridor" (1963), Mankiewicz dans "Soudain l'été dernier" (1959), le "Rain Man" de Barry Levinson (1988) (Dustin Hoffmann, tellement génial comme dans le "Macadam"Cowboy" de Schlesinger (1969)) enfin ce genre de sujet, un peu désespérant mais si beau (le "Family Life" de Ken Loach (1971) qui passe aussi) - ici, un garçon Steve sympathique pourtant (interprété par un Antoine Olivier Pilon survolté) mais tellement vulnérable - sa mère magnifique surnommée Die (Anne Dorval formidable) - la voisine touchante désirable (Suzanne Clément formidable, tout pareil) - les acteurs sont dirigés d'une façon exceptionnelle - une mise en scène dramatique, hystérique peut-être, mais qui exprime tellement bien les états d'âme, disons pour faire court - une merveille (pour le gâteau, c'est possible que non, on ne le voie pas) mais tout est là - et à la fin, Steve s'en va (par la fenêtre) : magnifique... Mommy (Xavier Dolan, 2014) (le réalisateur en est à son cinquième long métrage à 25 ans on s'en fout un peu, l'important c'est le film, mais quand même - bien entouré quand même : à l'image André Turpin)(la musique formidable contemporaine tout autant, Lana del Rey ou Oasis)(à Cannes 2014,prix du jury quand même aussi - Jane Campion, présidente...)
Clermont-Ferrand, semaine de la poésie, en mars 2024
Dunkerque, performance au LAAC, le 5 mai 2024
Hazebrouck, pour les 30 ans du Marais du livre, le 5 septembre 2024
VILLENEUVE D'ASCQ, le samedi 15 février 2025, à 16h, lecture publique en solo, dans le cadre de l'exposition "éd. etc." organisée par l'association "La belle époque" à L'Isolée, Galerie de La Belle Epoque, 17 chemin des Vieux Arbres, Villeneuve d’Ascq (Métro Hôtel de ville). Je lirai en priorité "Chapelet des Plages", un portefolio de poèmes sérigraphiés consacrés aux plages belges, de La Panne à Knokke-Le-Zoute. Entrée libre.
METZ, dans le cadre de Poema, à la librairie "Autour du monde" le 25 avril 2025 à 18h30, soirée Dernier Télégramme avec L. Suel et J. Boutonnier
BULLY LES MINES, le 15 novembre 2025, je serai présent au Salon du Livre organisé par la Médiathèque
TOULOUSE, le 13 janvier 2026, à La Cave Poésie René-Gouzenne, exposition, lecture-performance... plus d'informations bientôt
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2 Comments:
une part généreuse de gâteau qui l'a fait fuir
c'est une action dramatique, vraiment dramatique - on rit parfois, mais c'est vraiment une terreur - la fin du film, vraiment déchirant (un peu comme dans ces narrations où c'est complètement inexorable (Fuller et "Shock Corridor" (1963), Mankiewicz dans "Soudain l'été dernier" (1959), le "Rain Man" de Barry Levinson (1988) (Dustin Hoffmann, tellement génial comme dans le "Macadam"Cowboy" de Schlesinger (1969)) enfin ce genre de sujet, un peu désespérant mais si beau (le "Family Life" de Ken Loach (1971) qui passe aussi) - ici, un garçon Steve sympathique pourtant (interprété par un Antoine Olivier Pilon survolté) mais tellement vulnérable - sa mère magnifique surnommée Die (Anne Dorval formidable) - la voisine touchante désirable (Suzanne Clément formidable, tout pareil) - les acteurs sont dirigés d'une façon exceptionnelle - une mise en scène dramatique, hystérique peut-être, mais qui exprime tellement bien les états d'âme, disons pour faire court - une merveille (pour le gâteau, c'est possible que non, on ne le voie pas) mais tout est là - et à la fin, Steve s'en va (par la fenêtre) : magnifique... Mommy (Xavier Dolan, 2014) (le réalisateur en est à son cinquième long métrage à 25 ans on s'en fout un peu, l'important c'est le film, mais quand même - bien entouré quand même : à l'image André Turpin)(la musique formidable contemporaine tout autant, Lana del Rey ou Oasis)(à Cannes 2014,prix du jury quand même aussi - Jane Campion, présidente...)
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