(ça ne peut pas être autre chose, mais cependant le cinéma étazunien - ici une perle (ah oui !), un parangon, une excellence, un idéal-type - a tendance à me fatiguer) (j'étais dans le ventre de ma mère quand, à Hawaï, ils tournaient ces scènes chaudes bouillantes en diable) lui, c'est Burty et elle, Debby - elle a une sœur, Olivia, qui envoie grave - notamment dans A2ELV* ou dans nombre de films de Raoul Walsh ou Michael Curtiz - une star elle aussi) (il me semble qu'il est pas mal salaud avec Monty mais enfin c'est la vie, c'est la guerre, c'est la bataille et la mort) (il faut dire que Monty a rendu aveugle un de ses adversaires (il est boxeur) alors pour remonter sur le ring faudra voir à voir : c'est niet! (enfin no -non- pas question) (à la fin du film on sera le 7 décembre 41 et ça commencera à sentir encore plus fort le roussi, à Hawaï...) il fait un temps splendide et on s'aime cependant - un érotisme formidablement suggestif - le réalisateur est un de ceux qui ont fui les nazis après 33, mais avant ça, il a fait l'assistant sur une merveille (Les Hommes le dimanche, 1930 - formidable - Robert Siodmak et Edgar George Ulmer) enfin, cette affaire-là (qui commente la merveille des États-Unis qui entrent et vont gagner la guerre) (la 2, mondiale) a tapé sept oscars en 54 (presque autant que Ben Hur (William Wyler, 1959) c'est pour te dire) Tant qu'il y aura des hommes (Fred Zinneman, 1953) ("le train sifflera 3 fois" (High Noon), c'est Freddy aussi,l'année d'avant...) (scénario Daniel Taradash (oscar) qui l'année d'avant a pondu "Don't bother to knock" (Roy Baker avec Marilyn Monroe qui se pointe au firmament des stars) (Burty c'est Burt Lancaster; Debby c'est Deborrah Kerr; et Monty c'est Montgomery Clift, pas encore accidenté)
(*): A2ELV c'est autant en emporte le vent (P/E* 900)
DOUAI, le 17 janvier, rencontre avec une classe de 1ère du Lycée Châtelet autour de mon dernier roman "Rivière"
BRUXELLES, les 31 mars et 1er avril, présence à la Foire du Livre, lecture publique en compagnie de Jacques Darras le vendredi soir dans le cadre d'un entretien avec Alexandra Oury et pendant les deux jours, le vendredi et le samedi matin, signature de mon roman "Rivière" sur le stand des éditions Cours toujours. Organisation par l'AR2L.
MONTREUIL SUR MER, 6 avril, à 19 h, dans la salle de musique de l'Hôtel Loysel Le Gaucher, avec la Fabrique poétique, lecture-performance sur le thème des jardins
METZ, les 15 et 16 avril, invité par le festival POEMA dans le cadre du "Livre à Metz". Signature de "Rivière" et participation à une table ronde le dimanche à 15 h sur "Le Vertige de l’amour" en compagnie de Fanny Chiarello pour son roman "L'Evaporée" écrit en duo avec Wendy Delorme (animation par Elodie Karaki). Signature sur le stand de la librairie "Autour du Monde".
AMIENS, le Réseau des maisons d'écrivain et des patrimoines littéraires des Hauts-de-France qui organise depuis 2016 le Festival Résonances, rencontres du patrimoine littéraire et de la création, m'invite à participer à la conclusion de sa journée d'étude qui se tiendra le 4 mai 2023 à l'Université de Picardie Jules Verne, Pôle Citadelle. Je participerai à la table ronde "Visages d'écrivains" avec des lectures d'extraits de mes ouvrages tout en répondant aux questions d'Alexandra Oury.
CHÂTEAU-THIERRY, le 13 mai, présence aux Rencontres poétiques, signatures et dédicaces, présentation à la médiathèque : "Poésie sonore au Nord" lecture-performance (20 mn)
HAZEBROUCK, le 17 mai, à 18 h 30, Musée des Augustins, salle Jonas, lecture publique de "La Justification de l'abbé Lemire", dans le cadre du festival Résonances 2023
PARIS, le 22 juin, dans le cadre des Périphéries du marché de la poésie et à l'occasion de la re-parution de la revue DOC(k)S, soirée de performance à la Bibliothèque Marguerite Audoux, avec Ségolène Thuillart, Natacha Guiller, Ma Desheng et Lucien Suel
SETE, du 21 au 29 juillet, invité au Festival Voix Vives...
LIMOGES, le 23 septembre, parution du "Livre des poèmes express" aux éditions du Dernier Télégramme
ALENÇON, du 14 au 16 octobre, invité au festival Poésie & Davantage
2 Comments:
des rochers s'écrasant sur les rochers
(ça ne peut pas être autre chose, mais cependant le cinéma étazunien - ici une perle (ah oui !), un parangon, une excellence, un idéal-type - a tendance à me fatiguer) (j'étais dans le ventre de ma mère quand, à Hawaï, ils tournaient ces scènes chaudes bouillantes en diable) lui, c'est Burty et elle, Debby - elle a une sœur, Olivia, qui envoie grave - notamment dans A2ELV* ou dans nombre de films de Raoul Walsh ou Michael Curtiz - une star elle aussi) (il me semble qu'il est pas mal salaud avec Monty mais enfin c'est la vie, c'est la guerre, c'est la bataille et la mort) (il faut dire que Monty a rendu aveugle un de ses adversaires (il est boxeur) alors pour remonter sur le ring faudra voir à voir : c'est niet! (enfin no -non- pas question) (à la fin du film on sera le 7 décembre 41 et ça commencera à sentir encore plus fort le roussi, à Hawaï...) il fait un temps splendide et on s'aime cependant - un érotisme formidablement suggestif - le réalisateur est un de ceux qui ont fui les nazis après 33, mais avant ça, il a fait l'assistant sur une merveille (Les Hommes le dimanche, 1930 - formidable - Robert Siodmak et Edgar George Ulmer) enfin, cette affaire-là (qui commente la merveille des États-Unis qui entrent et vont gagner la guerre) (la 2, mondiale) a tapé sept oscars en 54 (presque autant que Ben Hur (William Wyler, 1959) c'est pour te dire) Tant qu'il y aura des hommes (Fred Zinneman, 1953) ("le train sifflera 3 fois" (High Noon), c'est Freddy aussi,l'année d'avant...) (scénario Daniel Taradash (oscar) qui l'année d'avant a pondu "Don't bother to knock" (Roy Baker avec Marilyn Monroe qui se pointe au firmament des stars) (Burty c'est Burt Lancaster; Debby c'est Deborrah Kerr; et Monty c'est Montgomery Clift, pas encore accidenté)
(*): A2ELV c'est autant en emporte le vent (P/E* 900)
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