(quel poème magnifique !) (il me semble reconnaître le père de l'héroïne - elle va le voir vers la fin du film - ce n'est pas certain qu'il soit cynique mais c'est avéré qu'il est nazi... - je me souviens de son sourire, alors qu'elle s'en va - beaucoup aimé cette séquence) (Sir Alfred - qui n'a pas encore cette dignité, certes - est depuis peu aux US - le film date à peine de 1940)- je ne me souviens plus bien (dans les limbes, restent les regards qu'ils se lancent, elle, sa fille (Laraine Day) , et lui, son père (Herbert Marshall) - mais est-ce suffisant ?) (il y a ça : le regard au dessus des flammes (celles de la guerre, et de l'extermination) il y a ça - ce n'est que le souvenir (mais c'est aussi qu'on s'approche de la fin) (je ne crois pas qu'il soit, ce père, aussi impliqué - mais le film est vraiment bien - le suspens à son plus haut, comme Alfred Hitchcock saura le garder, tout au long de ses réalisations (c'est (aussi) pour ça qu'on l'aime: il respecte le pacte qu'il a avec le public)- Correspondant 17 (Sir Alfred, 1940) (musique Alfred Newman, excuse du peu (magique) - à l'image Rudolph Mathé (opérateur sur Vampyr (Carl T. Dreyer,1932) puis sur Elle et lui (Leo Mac Carey, 1939) - Georges Sanders, magnifique - enfin tout ça)
DOUAI, le 17 janvier, rencontre avec une classe de 1ère du Lycée Châtelet autour de mon dernier roman "Rivière"
BRUXELLES, les 31 mars et 1er avril, présence à la Foire du Livre, lecture publique en compagnie de Jacques Darras le vendredi soir dans le cadre d'un entretien avec Alexandra Oury et pendant les deux jours, le vendredi et le samedi matin, signature de mon roman "Rivière" sur le stand des éditions Cours toujours. Organisation par l'AR2L.
MONTREUIL SUR MER, 6 avril, à 19 h, dans la salle de musique de l'Hôtel Loysel Le Gaucher, avec la Fabrique poétique, lecture-performance sur le thème des jardins
METZ, les 15 et 16 avril, invité par le festival POEMA dans le cadre du "Livre à Metz". Signature de "Rivière" et participation à une table ronde le dimanche à 15 h sur "Le Vertige de l’amour" en compagnie de Fanny Chiarello pour son roman "L'Evaporée" écrit en duo avec Wendy Delorme (animation par Elodie Karaki). Signature sur le stand de la librairie "Autour du Monde".
AMIENS, le Réseau des maisons d'écrivain et des patrimoines littéraires des Hauts-de-France qui organise depuis 2016 le Festival Résonances, rencontres du patrimoine littéraire et de la création, m'invite à participer à la conclusion de sa journée d'étude qui se tiendra le 4 mai 2023 à l'Université de Picardie Jules Verne, Pôle Citadelle. Je participerai à la table ronde "Visages d'écrivains" avec des lectures d'extraits de mes ouvrages tout en répondant aux questions d'Alexandra Oury.
CHÂTEAU-THIERRY, le 13 mai, présence aux Rencontres poétiques, signatures et dédicaces, présentation à la médiathèque : "Poésie sonore au Nord" lecture-performance (20 mn)
HAZEBROUCK, le 17 mai, à 18 h 30, Musée des Augustins, salle Jonas, lecture publique de "La Justification de l'abbé Lemire", dans le cadre du festival Résonances 2023
PARIS, le 22 juin, dans le cadre des Périphéries du marché de la poésie et à l'occasion de la re-parution de la revue DOC(k)S, soirée de performance à la Bibliothèque Marguerite Audoux, avec Ségolène Thuillart, Natacha Guiller, Ma Desheng et Lucien Suel
SETE, du 21 au 29 juillet, invité au Festival Voix Vives...
LIMOGES, le 23 septembre, parution du "Livre des poèmes express" aux éditions du Dernier Télégramme
ALENÇON, du 14 au 16 octobre, invité au festival Poésie & Davantage
2 Comments:
(quel poème magnifique !) (il me semble reconnaître le père de l'héroïne - elle va le voir vers la fin du film - ce n'est pas certain qu'il soit cynique mais c'est avéré qu'il est nazi... - je me souviens de son sourire, alors qu'elle s'en va - beaucoup aimé cette séquence) (Sir Alfred - qui n'a pas encore cette dignité, certes - est depuis peu aux US - le film date à peine de 1940)- je ne me souviens plus bien (dans les limbes, restent les regards qu'ils se lancent, elle, sa fille (Laraine Day) , et lui, son père (Herbert Marshall) - mais est-ce suffisant ?) (il y a ça : le regard au dessus des flammes (celles de la guerre, et de l'extermination) il y a ça - ce n'est que le souvenir (mais c'est aussi qu'on s'approche de la fin) (je ne crois pas qu'il soit, ce père, aussi impliqué - mais le film est vraiment bien - le suspens à son plus haut, comme Alfred Hitchcock saura le garder, tout au long de ses réalisations (c'est (aussi) pour ça qu'on l'aime: il respecte le pacte qu'il a avec le public)- Correspondant 17 (Sir Alfred, 1940) (musique Alfred Newman, excuse du peu (magique) - à l'image Rudolph Mathé (opérateur sur Vampyr (Carl T. Dreyer,1932) puis sur Elle et lui (Leo Mac Carey, 1939) - Georges Sanders, magnifique - enfin tout ça)
quel type dieu, si sûr de lui, si imperturbable!
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