(quel poème magnifique !) (il me semble reconnaître le père de l'héroïne - elle va le voir vers la fin du film - ce n'est pas certain qu'il soit cynique mais c'est avéré qu'il est nazi... - je me souviens de son sourire, alors qu'elle s'en va - beaucoup aimé cette séquence) (Sir Alfred - qui n'a pas encore cette dignité, certes - est depuis peu aux US - le film date à peine de 1940)- je ne me souviens plus bien (dans les limbes, restent les regards qu'ils se lancent, elle, sa fille (Laraine Day) , et lui, son père (Herbert Marshall) - mais est-ce suffisant ?) (il y a ça : le regard au dessus des flammes (celles de la guerre, et de l'extermination) il y a ça - ce n'est que le souvenir (mais c'est aussi qu'on s'approche de la fin) (je ne crois pas qu'il soit, ce père, aussi impliqué - mais le film est vraiment bien - le suspens à son plus haut, comme Alfred Hitchcock saura le garder, tout au long de ses réalisations (c'est (aussi) pour ça qu'on l'aime: il respecte le pacte qu'il a avec le public)- Correspondant 17 (Sir Alfred, 1940) (musique Alfred Newman, excuse du peu (magique) - à l'image Rudolph Mathé (opérateur sur Vampyr (Carl T. Dreyer,1932) puis sur Elle et lui (Leo Mac Carey, 1939) - Georges Sanders, magnifique - enfin tout ça)
Clermont-Ferrand, semaine de la poésie, en mars 2024
Dunkerque, performance au LAAC, le 5 mai 2024
Hazebrouck, pour les 30 ans du Marais du livre, le 5 septembre 2024
VILLENEUVE D'ASCQ, le samedi 15 février 2025, à 16h, lecture publique en solo, dans le cadre de l'exposition "éd. etc." organisée par l'association "La belle époque" à L'Isolée, Galerie de La Belle Epoque, 17 chemin des Vieux Arbres, Villeneuve d’Ascq (Métro Hôtel de ville). Je lirai en priorité "Chapelet des Plages", un portefolio de poèmes sérigraphiés consacrés aux plages belges, de La Panne à Knokke-Le-Zoute. Entrée libre.
METZ, dans le cadre de Poema, à la librairie "Autour du monde" le 25 avril 2025 à 18h30, soirée Dernier Télégramme avec L. Suel et J. Boutonnier
BULLY LES MINES, le 15 novembre 2025, je serai présent au Salon du Livre organisé par la Médiathèque
TOULOUSE, le 13 janvier 2026, à La Cave Poésie René-Gouzenne, exposition, lecture-performance... plus d'informations bientôt
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2 Comments:
(quel poème magnifique !) (il me semble reconnaître le père de l'héroïne - elle va le voir vers la fin du film - ce n'est pas certain qu'il soit cynique mais c'est avéré qu'il est nazi... - je me souviens de son sourire, alors qu'elle s'en va - beaucoup aimé cette séquence) (Sir Alfred - qui n'a pas encore cette dignité, certes - est depuis peu aux US - le film date à peine de 1940)- je ne me souviens plus bien (dans les limbes, restent les regards qu'ils se lancent, elle, sa fille (Laraine Day) , et lui, son père (Herbert Marshall) - mais est-ce suffisant ?) (il y a ça : le regard au dessus des flammes (celles de la guerre, et de l'extermination) il y a ça - ce n'est que le souvenir (mais c'est aussi qu'on s'approche de la fin) (je ne crois pas qu'il soit, ce père, aussi impliqué - mais le film est vraiment bien - le suspens à son plus haut, comme Alfred Hitchcock saura le garder, tout au long de ses réalisations (c'est (aussi) pour ça qu'on l'aime: il respecte le pacte qu'il a avec le public)- Correspondant 17 (Sir Alfred, 1940) (musique Alfred Newman, excuse du peu (magique) - à l'image Rudolph Mathé (opérateur sur Vampyr (Carl T. Dreyer,1932) puis sur Elle et lui (Leo Mac Carey, 1939) - Georges Sanders, magnifique - enfin tout ça)
quel type dieu, si sûr de lui, si imperturbable!
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