(particulièrement coton ce poème - ça n'excuse pas le retard mais enfin quand même...) (c'était au temps où on avait besoin d'un fil pour téléphoner : ça n'existe plus) (on pouvait mêmes'en servir pour attacher les méchants à la chaise:on fait comment maintenant ? - ou pire, les étrangler... mais non) (on ne fait guère dans le gore ou l'horreur ici) (on pourrait remarque bien) (mais non pas ici) ce qui intrigue ce sont ces "fillettes" là - les sœurs Bronté ? - peut-être quelque chose de Proust et de son Albertine qui disparaît ? - mais oui, et c'est Chiara Mastroianni qui s'y colle (il y a aussi sa mère en Odette) (et une pléiade de comédiens formidables - Hélène Surgère, Edit Scob, Melvil Poupaud et tant d'autres) : toute une série de rôles (vu qu'il y en a plusieurs centaines dans le grand œuvre à Marcel) (les adaptations ne sont pas nécessairement paradoxales non plus que fidèles et poser des visages sur ces personnages a parfois un goût assez douteux) ici, le réalisateur (Raul Ruiz, la classe) s'est fait aider de Gilles Taurand (qu'on a croisé dans le scénario d'Hôtel des Amériques par exemple) et le résulta est sans doute plus proche de ce qu'on espérait que, par exemple, dans le film adapté de la première partie de cette Recherche ("Un amour de Swann", Volker Schlöndorff, 1984) (quinze ans plus tôt,certes) (près de 3 heures de cinéma - alambiqué, peut-être, oui, mais quand même passionnant) Le temps retrouvé (Raul Ruiz, 1999) (à l'image, Ricardo Aranovitch vieux complice de Ruiz - l'un vient d'Argentine, l'autre du Chili - merveille des merveilles))
Merci beaucoup caro anonyme pour tous ces commentaires érudits et vifs. Il n'y a jamais de retard. Nous faisons les choses quand il nous plaît de les faire (ou pas). Ici la patience et la lenteur sont des qualités
Clermont-Ferrand, semaine de la poésie, en mars 2024
Dunkerque, performance au LAAC, le 5 mai 2024
Hazebrouck, pour les 30 ans du Marais du livre, le 5 septembre 2024
VILLENEUVE D'ASCQ, le samedi 15 février 2025, à 16h, lecture publique en solo, dans le cadre de l'exposition "éd. etc." organisée par l'association "La belle époque" à L'Isolée, Galerie de La Belle Epoque, 17 chemin des Vieux Arbres, Villeneuve d’Ascq (Métro Hôtel de ville). Je lirai en priorité "Chapelet des Plages", un portefolio de poèmes sérigraphiés consacrés aux plages belges, de La Panne à Knokke-Le-Zoute. Entrée libre.
METZ, dans le cadre de Poema, à la librairie "Autour du monde" le 25 avril 2025 à 18h30, soirée Dernier Télégramme avec L. Suel et J. Boutonnier
BULLY LES MINES, le 15 novembre 2025, je serai présent au Salon du Livre organisé par la Médiathèque
TOULOUSE, le 13 janvier 2026, à La Cave Poésie René-Gouzenne, exposition, lecture-performance... plus d'informations bientôt
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3 Comments:
au bout du genou
(particulièrement coton ce poème - ça n'excuse pas le retard mais enfin quand même...) (c'était au temps où on avait besoin d'un fil pour téléphoner : ça n'existe plus) (on pouvait mêmes'en servir pour attacher les méchants à la chaise:on fait comment maintenant ? - ou pire, les étrangler... mais non) (on ne fait guère dans le gore ou l'horreur ici) (on pourrait remarque bien) (mais non pas ici) ce qui intrigue ce sont ces "fillettes" là - les sœurs Bronté ? - peut-être quelque chose de Proust et de son Albertine qui disparaît ? - mais oui, et c'est Chiara Mastroianni qui s'y colle (il y a aussi sa mère en Odette) (et une pléiade de comédiens formidables - Hélène Surgère, Edit Scob, Melvil Poupaud et tant d'autres) : toute une série de rôles (vu qu'il y en a plusieurs centaines dans le grand œuvre à Marcel) (les adaptations ne sont pas nécessairement paradoxales non plus que fidèles et poser des visages sur ces personnages a parfois un goût assez douteux) ici, le réalisateur (Raul Ruiz, la classe) s'est fait aider de Gilles Taurand (qu'on a croisé dans le scénario d'Hôtel des Amériques par exemple) et le résulta est sans doute plus proche de ce qu'on espérait que, par exemple, dans le film adapté de la première partie de cette Recherche ("Un amour de Swann", Volker Schlöndorff, 1984) (quinze ans plus tôt,certes) (près de 3 heures de cinéma - alambiqué, peut-être, oui, mais quand même passionnant) Le temps retrouvé (Raul Ruiz, 1999) (à l'image, Ricardo Aranovitch vieux complice de Ruiz - l'un vient d'Argentine, l'autre du Chili - merveille des merveilles))
Merci beaucoup caro anonyme pour tous ces commentaires érudits et vifs.
Il n'y a jamais de retard. Nous faisons les choses quand il nous plaît de les faire (ou pas). Ici la patience et la lenteur sont des qualités
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