jeudi 11 août 2022

Poème express n° 964

posted by Lucien Suel at 08:02

3 Comments:

Anonymous ste said...

au bout du genou

16:59  
Anonymous Anonyme said...

(particulièrement coton ce poème - ça n'excuse pas le retard mais enfin quand même...) (c'était au temps où on avait besoin d'un fil pour téléphoner : ça n'existe plus) (on pouvait mêmes'en servir pour attacher les méchants à la chaise:on fait comment maintenant ? - ou pire, les étrangler... mais non) (on ne fait guère dans le gore ou l'horreur ici) (on pourrait remarque bien) (mais non pas ici) ce qui intrigue ce sont ces "fillettes" là - les sœurs Bronté ? - peut-être quelque chose de Proust et de son Albertine qui disparaît ? - mais oui, et c'est Chiara Mastroianni qui s'y colle (il y a aussi sa mère en Odette) (et une pléiade de comédiens formidables - Hélène Surgère, Edit Scob, Melvil Poupaud et tant d'autres) : toute une série de rôles (vu qu'il y en a plusieurs centaines dans le grand œuvre à Marcel) (les adaptations ne sont pas nécessairement paradoxales non plus que fidèles et poser des visages sur ces personnages a parfois un goût assez douteux) ici, le réalisateur (Raul Ruiz, la classe) s'est fait aider de Gilles Taurand (qu'on a croisé dans le scénario d'Hôtel des Amériques par exemple) et le résulta est sans doute plus proche de ce qu'on espérait que, par exemple, dans le film adapté de la première partie de cette Recherche ("Un amour de Swann", Volker Schlöndorff, 1984) (quinze ans plus tôt,certes) (près de 3 heures de cinéma - alambiqué, peut-être, oui, mais quand même passionnant) Le temps retrouvé (Raul Ruiz, 1999) (à l'image, Ricardo Aranovitch vieux complice de Ruiz - l'un vient d'Argentine, l'autre du Chili - merveille des merveilles))

11:15  
Blogger Lucien Suel said...

Merci beaucoup caro anonyme pour tous ces commentaires érudits et vifs.
Il n'y a jamais de retard. Nous faisons les choses quand il nous plaît de les faire (ou pas). Ici la patience et la lenteur sont des qualités

11:47  

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