on ne comprend rien - enfin sans image c'est plus difficile je suppose - ce sont deux acteurs ou deux rôles ou deux personnages : un homme et une femme (plutôt juste l'inverse : une femme et un homme) - interprété.es par Nathalye Baye et Jacques Dutronc: ils ne peuvent plus s'aimer (parfois les choses tournent mal entre deux amants comme on sait) et comme on voit ici (sur ce dialogue partiel) ils ne peuvent plus guère se parler - après le film raconte aussi comment les hommes se saisissent du corps des femmes moyennant finances (Isabelle Huppert en respectueuse : formidable), comment les relations deviennent de domination, de pouvoir et de force - on avait déjà vu ça dans un des films précédents, "Masculin Féminin" et aussi dans "Deux ou trois choses que je sais d'elle"(P/E*875 par ici) - ce qu'il y a de formidable, de magique sans doute de magnifiquement sublime (comme souvent chez c réalisateur d'ailleurs) (pas toujours mais très souvent) ce sont les ralentis - merveilleux - on découvre la beauté des images , c'est hallucinant au sens profond, on découvre en quoi l'image est splendide-alors évidemment en quelques mots c'est plutôt difficile de - mais on peut quand même essayer de - on n'atteindra jamais le - bah j'aurais essayé hein...Sublimissime, peut-être (sûrement l'un de ses, en tous cas) son meilleur film - Sauve qui peut (la vie) (Jean-Luc Godard, 1980) (un des sommets du cinéma sinon expérimental, du moins conceptuel - et du cinéma tout court, évidemment) (ça compte tout ce qu'il peut y avoir de meilleur au point de vue technique, à l'image Renato Berta et William Lubtchanski, la musique due à Gabriel Yared, scénario Anne-Marie Miéville et Jean Claude Carrière, enfin...)
Clermont-Ferrand, semaine de la poésie, en mars 2024
Dunkerque, performance au LAAC, le 5 mai 2024
Hazebrouck, pour les 30 ans du Marais du livre, le 5 septembre 2024
VILLENEUVE D'ASCQ, le samedi 15 février 2025, à 16h, lecture publique en solo, dans le cadre de l'exposition "éd. etc." organisée par l'association "La belle époque" à L'Isolée, Galerie de La Belle Epoque, 17 chemin des Vieux Arbres, Villeneuve d’Ascq (Métro Hôtel de ville). Je lirai en priorité "Chapelet des Plages", un portefolio de poèmes sérigraphiés consacrés aux plages belges, de La Panne à Knokke-Le-Zoute. Entrée libre.
METZ, dans le cadre de Poema, à la librairie "Autour du monde" le 25 avril 2025 à 18h30, soirée Dernier Télégramme avec L. Suel et J. Boutonnier
BULLY LES MINES, le 15 novembre 2025, je serai présent au Salon du Livre organisé par la Médiathèque
TOULOUSE, le 13 janvier 2026, à La Cave Poésie René-Gouzenne, exposition, lecture-performance... plus d'informations bientôt
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2 Comments:
envie de peu
on ne comprend rien - enfin sans image c'est plus difficile je suppose - ce sont deux acteurs ou deux rôles ou deux personnages : un homme et une femme (plutôt juste l'inverse : une femme et un homme) - interprété.es par Nathalye Baye et Jacques Dutronc: ils ne peuvent plus s'aimer (parfois les choses tournent mal entre deux amants comme on sait) et comme on voit ici (sur ce dialogue partiel) ils ne peuvent plus guère se parler - après le film raconte aussi comment les hommes se saisissent du corps des femmes moyennant finances (Isabelle Huppert en respectueuse : formidable), comment les relations deviennent de domination, de pouvoir et de force - on avait déjà vu ça dans un des films précédents, "Masculin Féminin" et aussi dans "Deux ou trois choses que je sais d'elle"(P/E*875 par ici) - ce qu'il y a de formidable, de magique sans doute de magnifiquement sublime (comme souvent chez c réalisateur d'ailleurs) (pas toujours mais très souvent) ce sont les ralentis - merveilleux - on découvre la beauté des images , c'est hallucinant au sens profond, on découvre en quoi l'image est splendide-alors évidemment en quelques mots c'est plutôt difficile de - mais on peut quand même essayer de - on n'atteindra jamais le - bah j'aurais essayé hein...Sublimissime, peut-être (sûrement l'un de ses, en tous cas) son meilleur film - Sauve qui peut (la vie) (Jean-Luc Godard, 1980) (un des sommets du cinéma sinon expérimental, du moins conceptuel - et du cinéma tout court, évidemment) (ça compte tout ce qu'il peut y avoir de meilleur au point de vue technique, à l'image Renato Berta et William Lubtchanski, la musique due à Gabriel Yared, scénario Anne-Marie Miéville et Jean Claude Carrière, enfin...)
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