(ça ne fait aucun doute : il s'agit de Roslyn Taber - le cow-boy s'incarne : il s'agit Perce Holland - les mésaventures d'un type qui fait du rodéo, c'est une espèce courante il me semble (interprété par Montgomery Clift, qui a subi un accident de voiture terrible, dont le visage remodelé à coup d'opérations chirurgicales, ainsi que des mœurs alors turbulentes (et jugées immorales par un monde qui ne l'est pas moins...) font peser sur son âme quelque chose d'irréparable) - une pensée affectueuse d'ailleurs pour le magnifique "The Rider" (Chloé Zhao,2017), pure merveille (réalisatrice dont on a adoré le "Les Chansons que mes frères m'ont apprises" (2015) au P/E*760 hein) - après il y a aussi Gay qui n'est ni jeune ni célibataire (enfin il est veuf) (c'est Clark Gabble, semble-t-il assez fatigué et mal en point) et aussi l'aviateur Guido (Elli Wallach) : on se demande lequel des trois ne tombera pas amoureux de Roslyn - en vrai on ne se le demande pas : il semble que la gent masculine (dans son entier) ne puisse rien faire contre le charme de la blonde évanescente - pulpeuse (scène de nue coupée au montage) - ravissante mais pas si idiote qu'on voulait le croire (une vie d'une tristesse incommensurable et semblable, comme une allégorie, à cette histoire des États-Unis et notamment celle de ce rêve assez abscons qu'on nous sert à son propos) - Marilyn Monroe (héroïne magnifique du livre qui ne l'est pas moins qui sort ces jours-ci (le 24 août), écrit par l'amie Anne Savelli "Musée Marilyn" (chez inculte)) - le film est en noir et blanc, date de l'année 60 et n'est pas succès à sa sortie : il ne s'agit pas d'une ballade romantique (loin delà...), mais d'une vision assez tortueuse trouble et pessimiste de la condition humaine (j'aime ces grands mots pour les grands films) - The Misfits (John Huston,1961) (les costumes sont de Jean Louis un couturier français qui créa la robe fourreau géniale de "Gilda" (Charles Vidor, 1946) (trop belle) et celle dans laquelle Marilyn Monroe déclara un joyeux anniversaire à JFK) (musique Alex North : magnifique) (image Russell Metty,qui a aussi signé (entre plus de cent cinquante autres) celle de "Citizen Kane" (Orson Welles, 1941)
VILLENEUVE D'ASCQ, le samedi 15 février, à 16h, lecture publique en solo, dans le cadre de l'exposition "éd. etc." organisée par l'association "La belle époque" à L'Isolée, Galerie de La Belle Epoque, 17 chemin des Vieux Arbres, Villeneuve d’Ascq (Métro Hôtel de ville). Je lirai en priorité "Chapelet des Plages", un portefolio de poèmes sérigraphiés consacrés aux plages belges, de La Panne à Knokke-Le-Zoute. Entrée libre.
METZ, dans le cadre de Poema, à la librairie "Autour du monde" le 25 avril à 18h30, soirée Dernier Télégramme avec L. Suel et J. Boutonnier
BULLY LES MINES, le 15 novembre, je serai présent au Salon du Livre organisé par la Médiathèque
2 Comments:
la femme blonde à portée de mésaventures
(ça ne fait aucun doute : il s'agit de Roslyn Taber - le cow-boy s'incarne : il s'agit Perce Holland - les mésaventures d'un type qui fait du rodéo, c'est une espèce courante il me semble (interprété par Montgomery Clift, qui a subi un accident de voiture terrible, dont le visage remodelé à coup d'opérations chirurgicales, ainsi que des mœurs alors turbulentes (et jugées immorales par un monde qui ne l'est pas moins...) font peser sur son âme quelque chose d'irréparable) - une pensée affectueuse d'ailleurs pour le magnifique "The Rider" (Chloé Zhao,2017), pure merveille (réalisatrice dont on a adoré le "Les Chansons que mes frères m'ont apprises" (2015) au P/E*760 hein) - après il y a aussi Gay qui n'est ni jeune ni célibataire (enfin il est veuf) (c'est Clark Gabble, semble-t-il assez fatigué et mal en point) et aussi l'aviateur Guido (Elli Wallach) : on se demande lequel des trois ne tombera pas amoureux de Roslyn - en vrai on ne se le demande pas : il semble que la gent masculine (dans son entier) ne puisse rien faire contre le charme de la blonde évanescente - pulpeuse (scène de nue coupée au montage) - ravissante mais pas si idiote qu'on voulait le croire (une vie d'une tristesse incommensurable et semblable, comme une allégorie, à cette histoire des États-Unis et notamment celle de ce rêve assez abscons qu'on nous sert à son propos) - Marilyn Monroe (héroïne magnifique du livre qui ne l'est pas moins qui sort ces jours-ci (le 24 août), écrit par l'amie Anne Savelli "Musée Marilyn" (chez inculte)) - le film est en noir et blanc, date de l'année 60 et n'est pas succès à sa sortie : il ne s'agit pas d'une ballade romantique (loin delà...), mais d'une vision assez tortueuse trouble et pessimiste de la condition humaine (j'aime ces grands mots pour les grands films) - The Misfits (John Huston,1961) (les costumes sont de Jean Louis un couturier français qui créa la robe fourreau géniale de "Gilda" (Charles Vidor, 1946) (trop belle) et celle dans laquelle Marilyn Monroe déclara un joyeux anniversaire à JFK) (musique Alex North : magnifique) (image Russell Metty,qui a aussi signé (entre plus de cent cinquante autres) celle de "Citizen Kane" (Orson Welles, 1941)
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