(tu sais quoi ? je suis en retard) (je suis parti en vacances - magnifique Eubée) (Evia) (Negroponte du temps de la république de Venise) (ça n'a rien à voir mais n'importe) ici c'est en Italie que ça se passe, dans le sud de l'Italie pour tout te dire, du côté de Reggio di Calabre - Gioia Tauro pour être précis - un bidonville, immense - et tout ce monde-là entassé comme des chiens - c'est pour ça un petit peu - et les roms sont considérés comme des chiens - en dessous des noirs - ce film est une tuerie et fait partie d'une trilogie, on y vit d'expédients, on vole ou tuerait s'il le fallait - on verra sans doute il le faudra - terriblement : c'est un jeune type, treize ou quatorze ans comme ça, qui veut devenir adulte faire comme les autres devenir un mec - terriblement - cette soif de vivre - et le monde et ses horreurs et les vols et les viols - et l'amitié trahie - dans la suite, le niveau supérieur (l'Italie du sud gangrenée par la mafia - la famille italienne - ; dans le précédent je ne sais pas je ne l'ai pas vu, dès que possible (Mediterranea - 2015), avant encore c'est un court qui a donné lieu au long dont ici on parle) le môme, Pio (interprété par Pio Amato) est farouchement vivant (il fait une apparition dans le suivant) un film magnifique, nerveux et vivant - du beau cinéma : A Ciambra (Jonas Carpignano, 2017 (je ne me souviens plus mais si j'en ai parlé ici, mais dans le livre de Mimmo Lucano (ex-maire du village de Riacce, poursuivi par l'état italien pour cause d'aide aux réfugiés) livre intitulé "Grâce à eux" il est fait mention de ce bidonville dans l'incendie duquel a péri Becky Moses, une réfugiée nigerianne contrainte par la saloperie du monde (incarnée ici par l'ignoble matteo salvini) de vivre dans des conditions indignes - cette honte sur nous autres quand même...) (et donc ce commentaire dédié à Becky) (l'autre film de cette même équipe emmenée par Jonas Carpignano : A Chiara (2021) met en scène une jeune fille - magnifique tout autant)
VILLENEUVE D'ASCQ, le samedi 15 février, à 16h, lecture publique en solo, dans le cadre de l'exposition "éd. etc." organisée par l'association "La belle époque" à L'Isolée, Galerie de La Belle Epoque, 17 chemin des Vieux Arbres, Villeneuve d’Ascq (Métro Hôtel de ville). Je lirai en priorité "Chapelet des Plages", un portefolio de poèmes sérigraphiés consacrés aux plages belges, de La Panne à Knokke-Le-Zoute. Entrée libre.
METZ, dans le cadre de Poema, à la librairie "Autour du monde" le 25 avril à 18h30, soirée Dernier Télégramme avec L. Suel et J. Boutonnier
BULLY LES MINES, le 15 novembre, je serai présent au Salon du Livre organisé par la Médiathèque
2 Comments:
sérieusement que faire?
(tu sais quoi ? je suis en retard) (je suis parti en vacances - magnifique Eubée) (Evia) (Negroponte du temps de la république de Venise) (ça n'a rien à voir mais n'importe) ici c'est en Italie que ça se passe, dans le sud de l'Italie pour tout te dire, du côté de Reggio di Calabre - Gioia Tauro pour être précis - un bidonville, immense - et tout ce monde-là entassé comme des chiens - c'est pour ça un petit peu - et les roms sont considérés comme des chiens - en dessous des noirs - ce film est une tuerie et fait partie d'une trilogie, on y vit d'expédients, on vole ou tuerait s'il le fallait - on verra sans doute il le faudra - terriblement : c'est un jeune type, treize ou quatorze ans comme ça, qui veut devenir adulte faire comme les autres devenir un mec - terriblement - cette soif de vivre - et le monde et ses horreurs et les vols et les viols - et l'amitié trahie - dans la suite, le niveau supérieur (l'Italie du sud gangrenée par la mafia - la famille italienne - ; dans le précédent je ne sais pas je ne l'ai pas vu, dès que possible (Mediterranea - 2015), avant encore c'est un court qui a donné lieu au long dont ici on parle) le môme, Pio (interprété par Pio Amato) est farouchement vivant (il fait une apparition dans le suivant) un film magnifique, nerveux et vivant - du beau cinéma : A Ciambra (Jonas Carpignano, 2017 (je ne me souviens plus mais si j'en ai parlé ici, mais dans le livre de Mimmo Lucano (ex-maire du village de Riacce, poursuivi par l'état italien pour cause d'aide aux réfugiés) livre intitulé "Grâce à eux" il est fait mention de ce bidonville dans l'incendie duquel a péri Becky Moses, une réfugiée nigerianne contrainte par la saloperie du monde (incarnée ici par l'ignoble matteo salvini) de vivre dans des conditions indignes - cette honte sur nous autres quand même...) (et donc ce commentaire dédié à Becky) (l'autre film de cette même équipe emmenée par Jonas Carpignano : A Chiara (2021) met en scène une jeune fille - magnifique tout autant)
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