(il y a cette vérité dans Le messager (Joseph Losey, 1971) (déjà pris P/E*754)- palme d'or mais cette façon de vérité franche, c'est quelque chose de l'enfance, avoue) alors c'est l'histoire de ce jeune type, doit avoir dix ou onze ans (ça finit mal pour lui, je te le dit tout de suite) - Andrea, cinq ou six ans de plus que son frère, Milo, qu'il croie être plus aimé que lui - mais ce n'est pas complètement faux - par leur père (j'ai l'impression d'une erreur de casting, le père joué par Anthony Quayle) - c'est une affaire dramatique, la mère des mômes est morte et leur père intime à l'aîné de cacher cette disparition - ce n'est jamais une bonne idée de taire ce genre de réalité - l'aîné acquiesce (ce en quoi il a tort mais ce qu'il cherche c'est l'amour de son père, tout en regrettant celui de sa mère) c'est une affaire de malentendus et de secrets - à la sortie de ce film, bronca de la critique : faire pleurer avec ce sujet est honteux (certes) puis plus tard, on lui trouvera des qualités (franco-italien, le genre de coproduction d'alors - films à sketches etc.) maison Cineriz d'Angelo Rizzoli, mort en 1970, ce film-ci est de 1966) mais en vrai, comme le dira lui-même le réalisateur "c'est un film qui est fait pour faire pleurer" (bah) L'incompris (Incompresso) Luigi Comencini, 1966)
VILLENEUVE D'ASCQ, le samedi 15 février, à 16h, lecture publique en solo, dans le cadre de l'exposition "éd. etc." organisée par l'association "La belle époque" à L'Isolée, Galerie de La Belle Epoque, 17 chemin des Vieux Arbres, Villeneuve d’Ascq (Métro Hôtel de ville). Je lirai en priorité "Chapelet des Plages", un portefolio de poèmes sérigraphiés consacrés aux plages belges, de La Panne à Knokke-Le-Zoute. Entrée libre.
METZ, dans le cadre de Poema, à la librairie "Autour du monde" le 25 avril à 18h30, soirée Dernier Télégramme avec L. Suel et J. Boutonnier
BULLY LES MINES, le 15 novembre, je serai présent au Salon du Livre organisé par la Médiathèque
2 Comments:
nous avons besoin de la questionréponse
(il y a cette vérité dans Le messager (Joseph Losey, 1971) (déjà pris P/E*754)- palme d'or mais cette façon de vérité franche, c'est quelque chose de l'enfance, avoue) alors c'est l'histoire de ce jeune type, doit avoir dix ou onze ans (ça finit mal pour lui, je te le dit tout de suite) - Andrea, cinq ou six ans de plus que son frère, Milo, qu'il croie être plus aimé que lui - mais ce n'est pas complètement faux - par leur père (j'ai l'impression d'une erreur de casting, le père joué par Anthony Quayle) - c'est une affaire dramatique, la mère des mômes est morte et leur père intime à l'aîné de cacher cette disparition - ce n'est jamais une bonne idée de taire ce genre de réalité - l'aîné acquiesce (ce en quoi il a tort mais ce qu'il cherche c'est l'amour de son père, tout en regrettant celui de sa mère) c'est une affaire de malentendus et de secrets - à la sortie de ce film, bronca de la critique : faire pleurer avec ce sujet est honteux (certes) puis plus tard, on lui trouvera des qualités (franco-italien, le genre de coproduction d'alors - films à sketches etc.) maison Cineriz d'Angelo Rizzoli, mort en 1970, ce film-ci est de 1966) mais en vrai, comme le dira lui-même le réalisateur "c'est un film qui est fait pour faire pleurer" (bah) L'incompris (Incompresso) Luigi Comencini, 1966)
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