(celles qui viennent immédiatement, ce sont Romy Schneider et Isabelle Adjani - va comprendre et savoir pourquoi les choses arrivent) (ce qu'il y a de certain aussi, c'est que le signe d'une certaine horreur se tient dans la personne de Zulawski -il ne faut pas demander pourquoi) un certain cinéma fait d'outrances et d'excès - baroque peut-être (je me souviens de son premier film "La troisième partie de la nuit" qui m'avait beaucoup plu - ici c'est le deuxième - après c'est quand même un hystérique de première bourre hein - si je peux me permettre - bien que la rédaction de ces commentaires soit marquée au sceau de la tenue) alors l'affaire se déroule dans le milieu du cinéma pornographique où une Nadine (Romy donc) fait quelques figurations pour boucler ses fins de mois - passons, il y a là Jacques Dutronc (son mari) qui finit très mal, et son amant (Fabio Testi) qui ne finit pas tellement mieux - il y a Claude Dauphin (le frère à Jaboune tsais)(c'est loin, tout ça) qui fait le maître chanteur (je me souviens de lui dans Casque d'Or - il a joué pas mal les immondes salauds, ça marche aussi ici); il y a aussi Klaus Kinski (le père à Nastassja qui, dans le Tess de Polanski (1979) (un an plus tard) était parfaite) qui, tout comme le réalisateur aime à en faire des tonnes et des tonnes de tombereaux d'ordures) - après le titre dit tout - L'important c'est d'aimer (Andrej Zulawski, 1978) (musique de Georges Delerue si tu veux écouter, image Ricardo Aronovitch si tu veux voir - formidable tous les deux)
DOUAI, le 17 janvier, rencontre avec une classe de 1ère du Lycée Châtelet autour de mon dernier roman "Rivière"
BRUXELLES, les 31 mars et 1er avril, présence à la Foire du Livre, lecture publique en compagnie de Jacques Darras le vendredi soir dans le cadre d'un entretien avec Alexandra Oury et pendant les deux jours, le vendredi et le samedi matin, signature de mon roman "Rivière" sur le stand des éditions Cours toujours. Organisation par l'AR2L.
MONTREUIL SUR MER, 6 avril, à 19 h, dans la salle de musique de l'Hôtel Loysel Le Gaucher, avec la Fabrique poétique, lecture-performance sur le thème des jardins
METZ, les 15 et 16 avril, invité par le festival POEMA dans le cadre du "Livre à Metz". Signature de "Rivière" et participation à une table ronde le dimanche à 15 h sur "Le Vertige de l’amour" en compagnie de Fanny Chiarello pour son roman "L'Evaporée" écrit en duo avec Wendy Delorme (animation par Elodie Karaki). Signature sur le stand de la librairie "Autour du Monde".
AMIENS, le Réseau des maisons d'écrivain et des patrimoines littéraires des Hauts-de-France qui organise depuis 2016 le Festival Résonances, rencontres du patrimoine littéraire et de la création, m'invite à participer à la conclusion de sa journée d'étude qui se tiendra le 4 mai 2023 à l'Université de Picardie Jules Verne, Pôle Citadelle. Je participerai à la table ronde "Visages d'écrivains" avec des lectures d'extraits de mes ouvrages tout en répondant aux questions d'Alexandra Oury.
CHÂTEAU-THIERRY, le 13 mai, présence aux Rencontres poétiques, signatures et dédicaces, présentation à la médiathèque : "Poésie sonore au Nord" lecture-performance (20 mn)
HAZEBROUCK, le 17 mai, à 18 h 30, Musée des Augustins, salle Jonas, lecture publique de "La Justification de l'abbé Lemire", dans le cadre du festival Résonances 2023
PARIS, le 22 juin, dans le cadre des Périphéries du marché de la poésie et à l'occasion de la re-parution de la revue DOC(k)S, soirée de performance à la Bibliothèque Marguerite Audoux, avec Ségolène Thuillart, Natacha Guiller, Ma Desheng et Lucien Suel
SETE, du 21 au 29 juillet, invité au Festival Voix Vives...
LIMOGES, le 23 septembre, parution du "Livre des poèmes express" aux éditions du Dernier Télégramme
ALENÇON, du 14 au 16 octobre, invité au festival Poésie & Davantage
2 Comments:
ses poumons se formaient devant ses yeux
(celles qui viennent immédiatement, ce sont Romy Schneider et Isabelle Adjani - va comprendre et savoir pourquoi les choses arrivent) (ce qu'il y a de certain aussi, c'est que le signe d'une certaine horreur se tient dans la personne de Zulawski -il ne faut pas demander pourquoi) un certain cinéma fait d'outrances et d'excès - baroque peut-être (je me souviens de son premier film "La troisième partie de la nuit" qui m'avait beaucoup plu - ici c'est le deuxième - après c'est quand même un hystérique de première bourre hein - si je peux me permettre - bien que la rédaction de ces commentaires soit marquée au sceau de la tenue) alors l'affaire se déroule dans le milieu du cinéma pornographique où une Nadine (Romy donc) fait quelques figurations pour boucler ses fins de mois - passons, il y a là Jacques Dutronc (son mari) qui finit très mal, et son amant (Fabio Testi) qui ne finit pas tellement mieux - il y a Claude Dauphin (le frère à Jaboune tsais)(c'est loin, tout ça) qui fait le maître chanteur (je me souviens de lui dans Casque d'Or - il a joué pas mal les immondes salauds, ça marche aussi ici); il y a aussi Klaus Kinski (le père à Nastassja qui, dans le Tess de Polanski (1979) (un an plus tard) était parfaite) qui, tout comme le réalisateur aime à en faire des tonnes et des tonnes de tombereaux d'ordures) - après le titre dit tout - L'important c'est d'aimer (Andrej Zulawski, 1978) (musique de Georges Delerue si tu veux écouter, image Ricardo Aronovitch si tu veux voir - formidable tous les deux)
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