(c'est vrai que je ne l'ai pas vu mais ça ne fait rien) (qu'est-ce que ça peut faire ? rien) bien sûr que c'est toujours pareil : il observe, il regarde, mange un sandwich boit une bière - grogne - fume - marche doucement - c'est tout moi (sauf que j'ai arrêté de boire de l'alcool - j'aime toujours le vin)) il vaut mieux ne pas le poser devant un ordinateur, ce serait du dernier anachronisme - son auteur était un queutard fou (pas que hein) (fumait aussi la pipe c'est pour te dire) prénommé Georges alors que lui, c'est Jules - alors ici il est incarné (si on peut dire ou alors c'est trop peu dire) par le gros (à un moment ce gros-là a été ami avec l'autocrate innommable assoiffé de sang ukrainien, lequel lui a obtenu la nationalité de "son" pays) (mais c'est oublié - cependant ni oubli ni pardon : c'est pour ça que je ne l'ai pas vu - il y a un truc comme ça, chez moi) après le héros (il y a eu Harry Baur dans le rôle, tout comme Jean Gabin, Charles Laughton et à la télé Jean Richard, Bruno Cremer - tant d'autres - Gino Cervi le Peppone des Don Camillo) (un monument, mais en effet "rien de spécial") le héros dis-je est assez gros justement (sa femme fait la popotte à la maison, blanquette de VEAU ou bœuf bourguignon - c'est pour ça) il procède par touches impressionnistes, il réfléchit pèse soupèse repèse à nouveau - fait son boulot quai des Orfèvres au trente six (ça n'existe plus c'est porte Clichy à présent - tout se perd) (à l'occasion en dvd peut-être) - Maigret (Patrice Leconte, 2022) une production Jean-Louis Livi (le neveu d'Yves Montand (qui vivait dans "la roulotte" sur le même quai, tout comme le père à Jean-Louis et Jean-Louis lui-même mais deux étages au dessus) ou si tu préfères successeur de Gérard Lebovici dans les années 80) (à l'image Yves Angelo)
DOUAI, le 17 janvier, rencontre avec une classe de 1ère du Lycée Châtelet autour de mon dernier roman "Rivière"
BRUXELLES, les 31 mars et 1er avril, présence à la Foire du Livre, lecture publique en compagnie de Jacques Darras le vendredi soir dans le cadre d'un entretien avec Alexandra Oury et pendant les deux jours, le vendredi et le samedi matin, signature de mon roman "Rivière" sur le stand des éditions Cours toujours. Organisation par l'AR2L.
MONTREUIL SUR MER, 6 avril, à 19 h, dans la salle de musique de l'Hôtel Loysel Le Gaucher, avec la Fabrique poétique, lecture-performance sur le thème des jardins
METZ, les 15 et 16 avril, invité par le festival POEMA dans le cadre du "Livre à Metz". Signature de "Rivière" et participation à une table ronde le dimanche à 15 h sur "Le Vertige de l’amour" en compagnie de Fanny Chiarello pour son roman "L'Evaporée" écrit en duo avec Wendy Delorme (animation par Elodie Karaki). Signature sur le stand de la librairie "Autour du Monde".
AMIENS, le Réseau des maisons d'écrivain et des patrimoines littéraires des Hauts-de-France qui organise depuis 2016 le Festival Résonances, rencontres du patrimoine littéraire et de la création, m'invite à participer à la conclusion de sa journée d'étude qui se tiendra le 4 mai 2023 à l'Université de Picardie Jules Verne, Pôle Citadelle. Je participerai à la table ronde "Visages d'écrivains" avec des lectures d'extraits de mes ouvrages tout en répondant aux questions d'Alexandra Oury.
CHÂTEAU-THIERRY, le 13 mai, présence aux Rencontres poétiques, signatures et dédicaces, présentation à la médiathèque : "Poésie sonore au Nord" lecture-performance (20 mn)
HAZEBROUCK, le 17 mai, à 18 h 30, Musée des Augustins, salle Jonas, lecture publique de "La Justification de l'abbé Lemire", dans le cadre du festival Résonances 2023
PARIS, le 22 juin, dans le cadre des Périphéries du marché de la poésie et à l'occasion de la re-parution de la revue DOC(k)S, soirée de performance à la Bibliothèque Marguerite Audoux, avec Ségolène Thuillart, Natacha Guiller, Ma Desheng et Lucien Suel
SETE, du 21 au 29 juillet, invité au Festival Voix Vives...
LIMOGES, le 23 septembre, parution du "Livre des poèmes express" aux éditions du Dernier Télégramme
ALENÇON, du 14 au 16 octobre, invité au festival Poésie & Davantage
2 Comments:
les yeux au plat
(c'est vrai que je ne l'ai pas vu mais ça ne fait rien) (qu'est-ce que ça peut faire ? rien) bien sûr que c'est toujours pareil : il observe, il regarde, mange un sandwich boit une bière - grogne - fume - marche doucement - c'est tout moi (sauf que j'ai arrêté de boire de l'alcool - j'aime toujours le vin)) il vaut mieux ne pas le poser devant un ordinateur, ce serait du dernier anachronisme - son auteur était un queutard fou (pas que hein) (fumait aussi la pipe c'est pour te dire) prénommé Georges alors que lui, c'est Jules - alors ici il est incarné (si on peut dire ou alors c'est trop peu dire) par le gros (à un moment ce gros-là a été ami avec l'autocrate innommable assoiffé de sang ukrainien, lequel lui a obtenu la nationalité de "son" pays) (mais c'est oublié - cependant ni oubli ni pardon : c'est pour ça que je ne l'ai pas vu - il y a un truc comme ça, chez moi) après le héros (il y a eu Harry Baur dans le rôle, tout comme Jean Gabin, Charles Laughton et à la télé Jean Richard, Bruno Cremer - tant d'autres - Gino Cervi le Peppone des Don Camillo) (un monument, mais en effet "rien de spécial") le héros dis-je est assez gros justement (sa femme fait la popotte à la maison, blanquette de VEAU ou bœuf bourguignon - c'est pour ça) il procède par touches impressionnistes, il réfléchit pèse soupèse repèse à nouveau - fait son boulot quai des Orfèvres au trente six (ça n'existe plus c'est porte Clichy à présent - tout se perd) (à l'occasion en dvd peut-être) - Maigret (Patrice Leconte, 2022) une production Jean-Louis Livi (le neveu d'Yves Montand (qui vivait dans "la roulotte" sur le même quai, tout comme le père à Jean-Louis et Jean-Louis lui-même mais deux étages au dessus) ou si tu préfères successeur de Gérard Lebovici dans les années 80) (à l'image Yves Angelo)
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