jeudi 2 juin 2022

Poème express n° 946

posted by Lucien Suel at 07:28

2 Comments:

Anonymous Anonyme said...

(il y en aurait des milliers - je vais choisir - (je voulais dire Rosi, quelque chose comme Salvatore Giuliano (ça aurait eu de la classe) (1963) :c'eut été parfait - mais un peu éloigné - à peine) (c'est une affaire de mafia) j'ai cherché à savoir si j'avais déjà posé ce Robert-là - non - il s'agit de l'arbitraire du nazisme - on essaye de s'en accommoder, si on n'est pas vraiment l'objet de la prédation; on ne comprend pas qu'on puisse le devenir - pour ma part, j'ai vaguement l'impression que j'aurais su choisir mon camp (il y avait aussi le Lacombe Lucien (Louis Malle, 1974 - scénar Modiano)qui aurait convenu - peut-être) je préfère penser que Joseph buvait tranquillement de la vodka - il avait été blacklisté par la grâce de cette saloperie de McCarthy (une ordure qui portait le même prénom) -je préfère savoir que Charles Chaplin ne revint jamais aux États-Unis - c'est vrai que ce Robert-là est aussi quelque chose comme une ordure mais enfin la frontière est toujours très trouble - et Delon, dans le rôle, a quelque chose de parfait (le film est de 76, le premier rôle est aussi producteur)(Joseph est comme Charlot : à cette époque-là, il n'a (plus) rien à prouver) j'aime bien ces années-là (j'avais un peu plus de vingt ans,et ce n'est pas que ce soit le plus bel âge de la vie car il n'y en a pas, mais c'est joli, un peu comme tous - je me souviens de l'avoir vu au Hautefeuille - je me souviens aussi dans ces temps-là (le souvenir vient de revenir) j'avais vu L'Œuf du serpent (Ingmar Bergamn, 1977) dans la même salle (le cinéma et sa salle sont indissociables) - le temps passera pour Robert Klein (qu'avait-il bien pu faire de moche pour qu'ainsi la vie s'acharne contre lui ?) (le film est une merveille, Klein est ce qu'on appelle un salaud, il possède son double lequel le possède tout autant - le"ça s'est bien passé" du poème fait référence à une scène du début du film où une femme juive (Isabelle Sadoyan, formidable comme à l'accoutumée) raconte sa visite médicale (l'ambiance est une vraie terreur) (comme il y a Isabelle il y a aussi Jean Bouise - deux de mes acteurs préférés) Monsieur Klein (Joseph Losey, 1976) (image Gerry Fisher et cadre Pierre William Glenn (entre autres) - production outre Delon, Raymond Danon et Norbert Saada) (on a droit à un cameo du réalisateur)

12:32  
Anonymous ste said...

jamais en vous

02:47  

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