(en P/E*717,on trouverait "le Festin de Babette" magnifique repas également (Gabriel Axel, 1987) ici c'est plus quelque chose qui serait l'envers du poème - tout est simple, assaini, calme et tranquille - tout est bien - certes au début - rien ne va cependant plus : ce sont les soixante ans d'une ordure qui sont fêtés et on ne le sait pas au début - on craint un peu de le comprendre et on le sait parfaitement ensuite - alors après l'esthétique du film dit correspondre à un mouvement intitulé Dogme 95 lancé pour les cent ans du cinéma par deux esthètes danois (Lars Von Trier et Thomas Vinterberg donc), lequel mouvement (en dix commandements suprêmes (on pense à Cecil B. De Mille, mais c'est plus pour rire) oblige la réalisation du film et abolit les genres, les moyens de production pharaoniques des grosses productions, stipule l'obligation de tourner caméra à l'épaule en 35 millimètres etc. - ce que personne ne peut tenir, ce qui ne tient pas, ni ne tiendra jamais - le mouvement s'éteint en 2005 - on n'en entend plus guère parler (c'est un avatar classique du cinéma, est-ce pour faire vendre ? qui peut savoir ? ça n'a pas en tous les cas marché) - ici le repas se termine assez mal - l'ambiance est complètement pourrie, la morale est abjecte et le récit atroce - prix du jury à Cannes cette année-là quand même (1998, président Martin Scorcese) - Festen (Thomas Vinterberg, 1998)(on a pu voir il y a peu un Kursk ((2018) -film sous-marinier) et un Drunk (2020) du même réalisateur)
oui, pas du tout - mais le rôle titre (si on peut dire) (Mads Michelsen) n'était pas mal (il jouait aussi dans le La Chasse (merdik) du même réalisateur) (en réalité j'ai vaguement le sentiment que le cinéma danois aime à tutoyer l'abject - et ça a quelque chose de repoussant...) (voir la palme d'or de Cannes cette année) (on est juste à un an - à raison d'un poème par semaine - de la clôture du feuilleton, dis donc...) (mais vive le cinéma) (et la poésie) (quel beau couple !!)
DOUAI, le 17 janvier, rencontre avec une classe de 1ère du Lycée Châtelet autour de mon dernier roman "Rivière"
BRUXELLES, les 31 mars et 1er avril, présence à la Foire du Livre, lecture publique en compagnie de Jacques Darras le vendredi soir dans le cadre d'un entretien avec Alexandra Oury et pendant les deux jours, le vendredi et le samedi matin, signature de mon roman "Rivière" sur le stand des éditions Cours toujours. Organisation par l'AR2L.
MONTREUIL SUR MER, 6 avril, à 19 h, dans la salle de musique de l'Hôtel Loysel Le Gaucher, avec la Fabrique poétique, lecture-performance sur le thème des jardins
METZ, les 15 et 16 avril, invité par le festival POEMA dans le cadre du "Livre à Metz". Signature de "Rivière" et participation à une table ronde le dimanche à 15 h sur "Le Vertige de l’amour" en compagnie de Fanny Chiarello pour son roman "L'Evaporée" écrit en duo avec Wendy Delorme (animation par Elodie Karaki). Signature sur le stand de la librairie "Autour du Monde".
AMIENS, le Réseau des maisons d'écrivain et des patrimoines littéraires des Hauts-de-France qui organise depuis 2016 le Festival Résonances, rencontres du patrimoine littéraire et de la création, m'invite à participer à la conclusion de sa journée d'étude qui se tiendra le 4 mai 2023 à l'Université de Picardie Jules Verne, Pôle Citadelle. Je participerai à la table ronde "Visages d'écrivains" avec des lectures d'extraits de mes ouvrages tout en répondant aux questions d'Alexandra Oury.
CHÂTEAU-THIERRY, le 13 mai, présence aux Rencontres poétiques, signatures et dédicaces, présentation à la médiathèque : "Poésie sonore au Nord" lecture-performance (20 mn)
HAZEBROUCK, le 17 mai, à 18 h 30, Musée des Augustins, salle Jonas, lecture publique de "La Justification de l'abbé Lemire", dans le cadre du festival Résonances 2023
PARIS, le 22 juin, dans le cadre des Périphéries du marché de la poésie et à l'occasion de la re-parution de la revue DOC(k)S, soirée de performance à la Bibliothèque Marguerite Audoux, avec Ségolène Thuillart, Natacha Guiller, Ma Desheng et Lucien Suel
SETE, du 21 au 29 juillet, invité au Festival Voix Vives...
LIMOGES, le 23 septembre, parution du "Livre des poèmes express" aux éditions du Dernier Télégramme
ALENÇON, du 14 au 16 octobre, invité au festival Poésie & Davantage
4 Comments:
(en P/E*717,on trouverait "le Festin de Babette" magnifique repas également (Gabriel Axel, 1987) ici c'est plus quelque chose qui serait l'envers du poème - tout est simple, assaini, calme et tranquille - tout est bien - certes au début - rien ne va cependant plus : ce sont les soixante ans d'une ordure qui sont fêtés et on ne le sait pas au début - on craint un peu de le comprendre et on le sait parfaitement ensuite - alors après l'esthétique du film dit correspondre à un mouvement intitulé Dogme 95 lancé pour les cent ans du cinéma par deux esthètes danois (Lars Von Trier et Thomas Vinterberg donc), lequel mouvement (en dix commandements suprêmes (on pense à Cecil B. De Mille, mais c'est plus pour rire) oblige la réalisation du film et abolit les genres, les moyens de production pharaoniques des grosses productions, stipule l'obligation de tourner caméra à l'épaule en 35 millimètres etc. - ce que personne ne peut tenir, ce qui ne tient pas, ni ne tiendra jamais - le mouvement s'éteint en 2005 - on n'en entend plus guère parler (c'est un avatar classique du cinéma, est-ce pour faire vendre ? qui peut savoir ? ça n'a pas en tous les cas marché) - ici le repas se termine assez mal - l'ambiance est complètement pourrie, la morale est abjecte et le récit atroce - prix du jury à Cannes cette année-là quand même (1998, président Martin Scorcese) - Festen (Thomas Vinterberg, 1998)(on a pu voir il y a peu un Kursk ((2018) -film sous-marinier) et un Drunk (2020) du même réalisateur)
tout était très modeste dans l'estomac
J'ai bu, pardon, j'ai vu Drunk. Amusant, mais pas indispensable...
oui, pas du tout - mais le rôle titre (si on peut dire) (Mads Michelsen) n'était pas mal (il jouait aussi dans le La Chasse (merdik) du même réalisateur) (en réalité j'ai vaguement le sentiment que le cinéma danois aime à tutoyer l'abject - et ça a quelque chose de repoussant...) (voir la palme d'or de Cannes cette année) (on est juste à un an - à raison d'un poème par semaine - de la clôture du feuilleton, dis donc...) (mais vive le cinéma) (et la poésie) (quel beau couple !!)
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