TRANSPORT VISAGE DECOUVERT (épisode 13)
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ODEUR DE L’IMAGE IMAGE DU SON SON DE LA CARESSE.
Yaourt jaune coulant de l'oeil outremer d'un veau.
La population est conviée à revoir ce film, réactiver le (la) pain qui leurre Peter, serrer la main d’Orlac, le frère des sœurs Papin, tourner la clé de contact avec Carlos, sucer le canon du petit .22, l’arme de la divertissante Thérèse. Elle connaît son pouvoir. Tous les autres sont interprètes. Il s’agit d’éviter les spectateurs trop enthousiastes, ceux qui pleurent ou qui s’exclament : « C’est épatant ! Encore, encore, encore ! » Il vaut mieux les enrôler dans la production, le jeu, même les plus petits rôles, un balai à chiottes, un ramasse-poussière, une brosse à dents. Le metteur en scène, il mentira, il cajolera, il astiquera. En fin de compte tous se retrouveront toutous.
Le pré moelleux cache les ossements des animaux massacrés.
La réalité dépasse l’infection. Dans le bleu d’orgone, William Lee démarre son prône. L'éducation sera sévère et injuste, contradictoire et harmonieuse. Malgré tout, on envisage une rééducation annuelle, notamment pour la génération lyrique.
Je touche jaune.
Je mords bleu.
Libellés : Cosmik Galata, Feuilleton, Lucien Suel, Poésie, TVD, william lee
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