TRANSPORT VISAGE DECOUVERT (épisode 17)
17
SON DE L’ODEUR ODEUR DE LA CARESSE CARESSE DE L’IMAGE.
Pôles en cours d'action ! Écrans totalement plats ! Ebola incorporated ! Encéphalogrammes de limaces ! Y en aura, de l’électrique grésillant ! Devrait être sur le label Germland !
Mâchoires soudées dans la terre de la tranchée.
Approchez, citoyens et consommateurs ! C’est l’heure de la méga teuf-teuf parade off-off avec des gros supporters, des gros amplis, des grosses pompes à bière, avec l’équipe des dogs et l’équipe des nounours. Goldorak, Spiderman, Casimir & Jules Verne présentent ! Alors, autant dire : laissez-vous aller ! Et ce, jusqu’à la parésie ! Ce soir, le maître Lee farcira les entrailles des Survivants.
Du yaourt jauni suinte à l’œil outremer du veau.
La chute est au début. L’outillage n’est pas réparable. La danse a lieu dans le trou. La paix est un combat. La technique tout. Oui, à VUE de NEZ, la LANGUE glisse sur la PEAU de l'OREILLE. On va s’enrouler les manches sur les bras. On va se cracher dans les paumes. On va serrer les dents. On va se taire.
FIN
Lucien Suel
La Tiremande
Nov. – déc. 2005
Libellés : Anthoveaulogie, Cosmik Galata, Feuilleton, Lucien Suel, Poésie, TVD, william lee
2 Comments:
(y'a du boulot hein !)
Pour sûr, amigo !
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