jeudi 30 juin 2022

Poème express n° 952

posted by Lucien Suel at 07:26

2 Comments:

Anonymous ste said...

les murs nus avec le distributeur d'angle

09:23  
Anonymous Anonyme said...

(c'est la salle de bain de chez Addie Ross - tout est bien rangé en effet - elle vient d'écrire ses trois lettres, elle les a postées - elle se recoiffe et s'en va)(la scène a été coupée au montage) le film commence donc quand les trois destinataires des lettres vont se promener ensemble, pique nique pour la journée, laissant leurs maris respectifs à ce qu'ils souhaitent - la lettre indique qu'Addie est partie avec l'un d'eux - lequel ? c'est toute la question - trois flasbacks successifs montrent pour chacune des trois femmes (Linda Darnell, magique évidemment; Ann Sothern, si sensible mais qui ne le montrerait jamais; Jeanne Crain, si naïve...) une raison possible (vraisemblable)(certaine peut-être) que le mari aurait pour s'enfuir avec Annie... (car les 3 en sembleraient épris) : après le film est (évidemment, c'est Jo Mankiewicz qui réalise après avoir écrit le scénario) formidable - drôle cynique cruel tout ce que tu veux - formidable - un suspens terrible - une merveille - une charge virulente contre cette société de consommation (il est de 1949) étazunienne, le rêve, la solution ... certes : on voit aujourd'hui ce qu'il en est... - Chaînes conjugales (Joseph Mankiewicz, 1949) (musique magnifique signée Alfred Newman) (et production Don Siegel qui imposa Jo à Darryl Zanuck, le pdg d'alors de fox du vingtième siècle) extra...

13:34  

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