lundi 18 juillet 2022

Poème express n° 957

posted by Lucien Suel at 07:41

3 Comments:

Anonymous ste said...

maman ment

07:48  
Anonymous Anonyme said...

(alors de deux - trois - choses l'une :
a) au P/E* 809 adverbiablement et diablement l'emploi de ce type de vocable invariable comme on sait (dans un film dont je ne me souviens plus mais probablement de Sacha Guitry);
b) au P/E* 904 le magnifique Mia Madre (Nanni Moretti, 2015) déjà pris cependant) donc
c) ce "maman"-là est issu du point b) car enfin il s'agit d'une même actrice (elle joue dans le "Mia Madre" la fille (et la sœur); elle joue ici le rôle de la mère - son fils s'en va, son mari est un juge rigide et froid va jusqu'à l'abjection pour un père de lui demander de choisir entre lui-même et ce fils - insoluble - merveilleuse actrice, scénario d'acier qui impose la vision d'un immeuble aux trois étages duquel vivent ces gens - mais oui, ici tellement tellement maman - il y a là aussi Alba Rohrwacher qui elle aussi joue le rôle d'une mère et dont la propre mère semble assez proche du gouffre - elle aussi - si vous ne l'avez vu, allez-y, c'est un film magnifique (ainsi qu'à peu près tous les films cités ici - ainsi que tous les poèmes qu'on a l'honneur de commenter) (encore merci) : Tre Piani (Nanni Moretti, 2021) dans le rôle de la mère sublimement dirigée Marguerita Buy

15:14  
Blogger Lucien Suel said...

Merci pour ce retour du commentaire, cher ami anonyme érudit (et enthousiaste.)

15:19  

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