(c'est une terreur, d'ailleurs je n'ai pas supporté le film et je suis parti avant la fin) (du cinéma, gros, lourd, qui tache et qui se fait quand même (entrées : cinquante mille...) : (ce n'est pas 'histoire d'un père qui séquestre et tue ses enfants ("les séquestrés de Cleveland" : "Cleveland Abduction", (2016 Alex Kalymnios)), ça a été trop pour moi) (évidemment d'extrême droite : cette mode de nos jours, cette horreur détestable (89 sièges au parlement quand même) (le dégoût) (quelque chose de la modernité : on en a tiré des films (des séries aussi semble-t-il tellement le truc fascine : en parler fait partie de cette fascination je suppose) (mais n'en rien dire serait le cacher le taire le mettre au secret) (des faits dits divers - enlèvements séquestrations viols meurtres tout : le kit) (à pleurer sur la "nature" humaine - le genre - les turpitudes) mettons qu'il s'agisse d'un film français, réalisé par un Gilles Bannier, dans le rôle principal Reda Kateb (inculpé à tort) (lequel acteur sera aussi du "À moi seul" (Frédéric Videau, 2012) inspiré de l'enlèvement séquestration de Natacha Kampush, en 2006)), dans celui de la mère de l'enlevée Léa Drucker - inspiré de l'enlèvement (tiré d'une histoire vraie) d'Elisabeth Smart, 14 ans, juin 2002) (une horreur) (j'en parle tant pis pour moi) d'autres (commeon dit) "affaires" (Guardo, Fritzl etc. : l'horreur) : toute une panoplie fictionnelle tirée d'histoires vraies qui ne grandissent certes pas l'humanité (quoi qu'on en fasse) ici donc "Arrêtez-moi là" (Gilles Bannier, 2016)
Clermont-Ferrand, semaine de la poésie, en mars 2024
Dunkerque, performance au LAAC, le 5 mai 2024
Hazebrouck, pour les 30 ans du Marais du livre, le 5 septembre 2024
VILLENEUVE D'ASCQ, le samedi 15 février 2025, à 16h, lecture publique en solo, dans le cadre de l'exposition "éd. etc." organisée par l'association "La belle époque" à L'Isolée, Galerie de La Belle Epoque, 17 chemin des Vieux Arbres, Villeneuve d’Ascq (Métro Hôtel de ville). Je lirai en priorité "Chapelet des Plages", un portefolio de poèmes sérigraphiés consacrés aux plages belges, de La Panne à Knokke-Le-Zoute. Entrée libre.
METZ, dans le cadre de Poema, à la librairie "Autour du monde" le 25 avril 2025 à 18h30, soirée Dernier Télégramme avec L. Suel et J. Boutonnier
BULLY LES MINES, le 15 novembre 2025, je serai présent au Salon du Livre organisé par la Médiathèque
TOULOUSE, le 13 janvier 2026, à La Cave Poésie René-Gouzenne, exposition, lecture-performance... plus d'informations bientôt
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2 Comments:
une lumière de force et de fatigue
(c'est une terreur, d'ailleurs je n'ai pas supporté le film et je suis parti avant la fin) (du cinéma, gros, lourd, qui tache et qui se fait quand même (entrées : cinquante mille...) : (ce n'est pas 'histoire d'un père qui séquestre et tue ses enfants ("les séquestrés de Cleveland" : "Cleveland Abduction", (2016 Alex Kalymnios)), ça a été trop pour moi) (évidemment d'extrême droite : cette mode de nos jours, cette horreur détestable (89 sièges au parlement quand même) (le dégoût) (quelque chose de la modernité : on en a tiré des films (des séries aussi semble-t-il tellement le truc fascine : en parler fait partie de cette fascination je suppose) (mais n'en rien dire serait le cacher le taire le mettre au secret) (des faits dits divers - enlèvements séquestrations viols meurtres tout : le kit) (à pleurer sur la "nature" humaine - le genre - les turpitudes) mettons qu'il s'agisse d'un film français, réalisé par un Gilles Bannier, dans le rôle principal Reda Kateb (inculpé à tort) (lequel acteur sera aussi du "À moi seul" (Frédéric Videau, 2012) inspiré de l'enlèvement séquestration de Natacha Kampush, en 2006)), dans celui de la mère de l'enlevée Léa Drucker - inspiré de l'enlèvement (tiré d'une histoire vraie) d'Elisabeth Smart, 14 ans, juin 2002) (une horreur) (j'en parle tant pis pour moi) d'autres (commeon dit) "affaires" (Guardo, Fritzl etc. : l'horreur) : toute une panoplie fictionnelle tirée d'histoires vraies qui ne grandissent certes pas l'humanité (quoi qu'on en fasse) ici donc "Arrêtez-moi là" (Gilles Bannier, 2016)
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