(c'est une terreur, d'ailleurs je n'ai pas supporté le film et je suis parti avant la fin) (du cinéma, gros, lourd, qui tache et qui se fait quand même (entrées : cinquante mille...) : (ce n'est pas 'histoire d'un père qui séquestre et tue ses enfants ("les séquestrés de Cleveland" : "Cleveland Abduction", (2016 Alex Kalymnios)), ça a été trop pour moi) (évidemment d'extrême droite : cette mode de nos jours, cette horreur détestable (89 sièges au parlement quand même) (le dégoût) (quelque chose de la modernité : on en a tiré des films (des séries aussi semble-t-il tellement le truc fascine : en parler fait partie de cette fascination je suppose) (mais n'en rien dire serait le cacher le taire le mettre au secret) (des faits dits divers - enlèvements séquestrations viols meurtres tout : le kit) (à pleurer sur la "nature" humaine - le genre - les turpitudes) mettons qu'il s'agisse d'un film français, réalisé par un Gilles Bannier, dans le rôle principal Reda Kateb (inculpé à tort) (lequel acteur sera aussi du "À moi seul" (Frédéric Videau, 2012) inspiré de l'enlèvement séquestration de Natacha Kampush, en 2006)), dans celui de la mère de l'enlevée Léa Drucker - inspiré de l'enlèvement (tiré d'une histoire vraie) d'Elisabeth Smart, 14 ans, juin 2002) (une horreur) (j'en parle tant pis pour moi) d'autres (commeon dit) "affaires" (Guardo, Fritzl etc. : l'horreur) : toute une panoplie fictionnelle tirée d'histoires vraies qui ne grandissent certes pas l'humanité (quoi qu'on en fasse) ici donc "Arrêtez-moi là" (Gilles Bannier, 2016)
DOUAI, le 17 janvier, rencontre avec une classe de 1ère du Lycée Châtelet autour de mon dernier roman "Rivière"
BRUXELLES, les 31 mars et 1er avril, présence à la Foire du Livre, lecture publique en compagnie de Jacques Darras le vendredi soir dans le cadre d'un entretien avec Alexandra Oury et pendant les deux jours, le vendredi et le samedi matin, signature de mon roman "Rivière" sur le stand des éditions Cours toujours. Organisation par l'AR2L.
MONTREUIL SUR MER, 6 avril, à 19 h, dans la salle de musique de l'Hôtel Loysel Le Gaucher, avec la Fabrique poétique, lecture-performance sur le thème des jardins
METZ, les 15 et 16 avril, invité par le festival POEMA dans le cadre du "Livre à Metz". Signature de "Rivière" et participation à une table ronde le dimanche à 15 h sur "Le Vertige de l’amour" en compagnie de Fanny Chiarello pour son roman "L'Evaporée" écrit en duo avec Wendy Delorme (animation par Elodie Karaki). Signature sur le stand de la librairie "Autour du Monde".
AMIENS, le Réseau des maisons d'écrivain et des patrimoines littéraires des Hauts-de-France qui organise depuis 2016 le Festival Résonances, rencontres du patrimoine littéraire et de la création, m'invite à participer à la conclusion de sa journée d'étude qui se tiendra le 4 mai 2023 à l'Université de Picardie Jules Verne, Pôle Citadelle. Je participerai à la table ronde "Visages d'écrivains" avec des lectures d'extraits de mes ouvrages tout en répondant aux questions d'Alexandra Oury.
CHÂTEAU-THIERRY, le 13 mai, présence aux Rencontres poétiques, signatures et dédicaces, présentation à la médiathèque : "Poésie sonore au Nord" lecture-performance (20 mn)
HAZEBROUCK, le 17 mai, à 18 h 30, Musée des Augustins, salle Jonas, lecture publique de "La Justification de l'abbé Lemire", dans le cadre du festival Résonances 2023
PARIS, le 22 juin, dans le cadre des Périphéries du marché de la poésie et à l'occasion de la re-parution de la revue DOC(k)S, soirée de performance à la Bibliothèque Marguerite Audoux, avec Ségolène Thuillart, Natacha Guiller, Ma Desheng et Lucien Suel
SETE, du 21 au 29 juillet, invité au Festival Voix Vives...
LIMOGES, le 23 septembre, parution du "Livre des poèmes express" aux éditions du Dernier Télégramme
ALENÇON, du 14 au 16 octobre, invité au festival Poésie & Davantage
2 Comments:
une lumière de force et de fatigue
(c'est une terreur, d'ailleurs je n'ai pas supporté le film et je suis parti avant la fin) (du cinéma, gros, lourd, qui tache et qui se fait quand même (entrées : cinquante mille...) : (ce n'est pas 'histoire d'un père qui séquestre et tue ses enfants ("les séquestrés de Cleveland" : "Cleveland Abduction", (2016 Alex Kalymnios)), ça a été trop pour moi) (évidemment d'extrême droite : cette mode de nos jours, cette horreur détestable (89 sièges au parlement quand même) (le dégoût) (quelque chose de la modernité : on en a tiré des films (des séries aussi semble-t-il tellement le truc fascine : en parler fait partie de cette fascination je suppose) (mais n'en rien dire serait le cacher le taire le mettre au secret) (des faits dits divers - enlèvements séquestrations viols meurtres tout : le kit) (à pleurer sur la "nature" humaine - le genre - les turpitudes) mettons qu'il s'agisse d'un film français, réalisé par un Gilles Bannier, dans le rôle principal Reda Kateb (inculpé à tort) (lequel acteur sera aussi du "À moi seul" (Frédéric Videau, 2012) inspiré de l'enlèvement séquestration de Natacha Kampush, en 2006)), dans celui de la mère de l'enlevée Léa Drucker - inspiré de l'enlèvement (tiré d'une histoire vraie) d'Elisabeth Smart, 14 ans, juin 2002) (une horreur) (j'en parle tant pis pour moi) d'autres (commeon dit) "affaires" (Guardo, Fritzl etc. : l'horreur) : toute une panoplie fictionnelle tirée d'histoires vraies qui ne grandissent certes pas l'humanité (quoi qu'on en fasse) ici donc "Arrêtez-moi là" (Gilles Bannier, 2016)
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