Rome, à n'en pas douter - la fontaine où on jette des pièces - le film a fait scandale à sa sortie (interdit au moins de 18 ans comme un film X)(il est de 1960) : à le voir aujourd'hui, on se demande un peu pourquoi (c'est que l'église et la démocratie chrétienne ont perdu de leurs superbes) - tout est en place, la musique (formidable) les acteurs (Marcello, inouï, surtout à la fin - l'épilogue est une merveille, la plus pure incarnation du cinéma de tous les temps et de tout l'univers) - c'est le septième film de Federico - le huitième sera augmenté d'un demi (merveilles des merveilles aussi, sans doute plus dans le cœur du rédacteur (P/E*653 et 786) mais peu importe) c'est l'un des plus achevés, structure d'acier scénario d"airain interprétation magistrale musique exceptionnelle : que demander de plus ? Mais rien, sinon le revoir, et le revoir, encore... (palme d'or à Cannes en 1960 - président Georges Simenon)(on s'en fout, mais quand même) gloire à Federico ...! La Dolce vita (Federico Fellini, 1960) (musique Nino Rota, formidable dis-je à nouveau)
VILLENEUVE D'ASCQ, le samedi 15 février, à 16h, lecture publique en solo, dans le cadre de l'exposition "éd. etc." organisée par l'association "La belle époque" à L'Isolée, Galerie de La Belle Epoque, 17 chemin des Vieux Arbres, Villeneuve d’Ascq (Métro Hôtel de ville). Je lirai en priorité "Chapelet des Plages", un portefolio de poèmes sérigraphiés consacrés aux plages belges, de La Panne à Knokke-Le-Zoute. Entrée libre.
METZ, dans le cadre de Poema, à la librairie "Autour du monde" le 25 avril à 18h30, soirée Dernier Télégramme avec L. Suel et J. Boutonnier
2 Comments:
nous avons Rome
Rome, à n'en pas douter - la fontaine où on jette des pièces - le film a fait scandale à sa sortie (interdit au moins de 18 ans comme un film X)(il est de 1960) : à le voir aujourd'hui, on se demande un peu pourquoi (c'est que l'église et la démocratie chrétienne ont perdu de leurs superbes) - tout est en place, la musique (formidable) les acteurs (Marcello, inouï, surtout à la fin - l'épilogue est une merveille, la plus pure incarnation du cinéma de tous les temps et de tout l'univers) - c'est le septième film de Federico - le huitième sera augmenté d'un demi (merveilles des merveilles aussi, sans doute plus dans le cœur du rédacteur (P/E*653 et 786) mais peu importe) c'est l'un des plus achevés, structure d'acier scénario d"airain interprétation magistrale musique exceptionnelle : que demander de plus ? Mais rien, sinon le revoir, et le revoir, encore... (palme d'or à Cannes en 1960 - président Georges Simenon)(on s'en fout, mais quand même) gloire à Federico ...! La Dolce vita (Federico Fellini, 1960) (musique Nino Rota, formidable dis-je à nouveau)
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